Ma première péripatétipute

Bon, puisque cela m'amuse de raconter ma vie ici (peut-être que cela vous amusera aussi), sachez que l'autre jour je me suis offert ma première professionnelle.

En fait, je suis allé sur le site LadyXena pour y chercher une trans Black (l'un de mes fantasmes).

Et puis je ne sais pas ce qui s'est passé, j'ai repéré un autre profil qui me plaisait bien, j'ai pris rendez-vous, 200 € la demi-heure (quand-même) mais je me suis dit qu'au vu des photos de ses seins je n'allais pas le regretter, et je ne l'ai pas regretté car non seulement j'ai baisé mais j'ai aussi été baisé vu que c'était une femme et non une trans...

Peu importe, l'expérience a été intéressante (pour un non habitué), d'où ce récit.

Un appel téléphonique pour confirmer le rdv, suivi d'un SMS avec les conditions détaillées de la dame (+100€ la sodo, etc.) et l'adresse, puis un immeuble (tout neuf, Port Marianne), puis un interphone, puis bâtiment A, puis un 2e interphone, puis 6e étage à gauche par l'ascenseur et me voilà devant la porte qui s'ouvre toute seule, j'étais attendu.

Bise, la dame est presque nue, avec un haut en lanières de cuir noir qui laisse passer ses seins (énormes, j'avais choisi sur son profil (oui, on peut choisir ça aussi)) et un string en cuir noir aussi, mais je n'ai pu voir s'il y avait une bite dedans ou pas.

Elle me montre sa chambre, me dit : "entrez" avec un accent brésilien, je rentre, je pose les sous sur un guéridon, je prends un air timide, je lui dis : "vous êtes ma première professionnelle", elle me sourit et me dit : "vous pouvez vous déshabiller et vous allonger sur le lit, je vais vous expliquer" (sic).

Honnêtement, pour un début, ça se passe plutôt bien (et ça a continué de mieux en mieux).

Après, elle m'a essuyé les mains avec une lingette imbibée de désinfectant, ou d'alcool anticovid, ou de permanganate de potassium, ou d'acide chlorhydrique concentré et chaud, je ne me souviens pas, puis le sexe, avec une grande délicatesse, me prenant le prépuce entre deux doigts (je ne suis pas circoncis) et me demandant si elle peut me décalotter, je branle le chef, elle ne désinfecte la bite, c'est mouillé et froid, délicieux. Rien à l'anus (sinon ça m'aurait fait bander aussi sec, mais bon... rien).

Ensuite, elle a enlevé son string et son haut, et c'est là que j'ai constaté qu'il y avait erreur sur le produit mais au point où j'en étais (je commençais à bander) je n'allais pas me barrer la queue haute, quoi.

Elle s'est allongée sur moi, m'a mis ses seins sur la tronchetta et m'a demandé ce dont j'avais envie, je lui ai dit : "de vous lécher", elle a dit : "ok", s'est mise sur le dos et j'ai eu droit à un spectacle presque aussi beau qu'un coucher de soleil sur la plage de Koh Samui : une chatte épilée laser irréprochable. Quel bonheur !

Après, je lui ai demandé de me sucer, elle m'a alors qu'elle ne suçait qu'avec capote, alors j'ai dit non merci (enfiler un présé me fait débander aussi sec). Alors elle s'est de nouveau allongée sur moi et a commencé à me poser plein de questions sur ma vie sexuelle, mes enfants, mon travail, mon bateau, mon whisky, mon cheval, mon relais de Poste du XVIIIe siècle que je viens d'acheter, ma vie de libertin, etc. etc. C'était inattendu mais très sympa. Elle m'a dit aussi qu'elle était brésilienne et qu'elle habitait Montpellier depuis dix ans.

Bref, on a papoté, ensuite elle m'a demandé si je voulais la pénétrer, je lui ai fait part de mon problème avec les présé, alors sans rien dire elle s'est allongée à mes côtés et a commencer à me masturber lentement, ses seins énormes bougeaient au rythme de sa caresse, et j'ai joui comme une bête.

A refaire, mais cette fois avec un trans, j'aimerais bien me faire défoncer par un Black à gros seins...

Lol.