Depuis plusieurs années, je vois des structures en métal, du mobilier BDSM, dans les films, souvent hard d’ailleurs, et je me dis que je m’amuserais bien avec ce genre d’accessoires ! Au fil du temps, j’ai pensé à plusieurs solutions et je les ai éliminées une par une pour des raisons de prix, de solidité, de facilité d’utilisation, d’entretien ou de rangement…
Il y a également les artisans, qui font des choses pour une ou deux utilités, mais les tarifs fond froid dans le dos
Et là, je tiens ma solution. J’ai conçu plusieurs versions, et options :
Version de base
Version de base, la personne se met à 4 pattes au dessus, on peut attacher les poignets et les chevilles, à vous de voir lesquels vous écartez.
Hauteur : 30 ou 50 cm (les deux prévus dans le kit)
Longueur du tube vertical : 10 cm
Des choix à faire
Certains modèles “similaires” inclus des attaches en cuir ou en tissus pour directement attacher les poignets, les chevilles : ce n’est pas le cas des nôtres. Parce que nous avons tous nos propres attaches ! Inutile d’en ajouter d’autres : ça augmenterait le prix et ça ne serait pas de la qualité de ce qu’on a déjà.
Les plus de ce mobilier BDSM
Vraiment solide
Modulable selon les envie et les mophologies
Modifiable à souhait
compatible avec des extensions
Version à venir : un remonte cul à l’arrière, des cadres pour bloquées les poignets / chevilles / nuque… C’est déjà fait, il faut “juste” réaliser les photographies et la mise en ligne.
Vu le manque de retour que j’aurais en publiant le fournisseur et les plans, pour le moment je ne publie rien. En attendant de voir si je commercialise les plans des objets, ou directement les montages découpés etc… Un avis ?
Le BDSM est un mode de relation entre aux moins deux personnes consentantes. C’est une vision extrêmement simpliste, mais en gros l’une choisit volontairement d’obéir à l’autre pour être guidée vers quelque chose qui lui plaît. Il y a bien trop de modes de fonctionnement pour les traiter de manière exhaustive, même si j’étend un peu le sujet ici.
De l’autre côté il y a l’abus : l’une des deux personnes dominent tout ou presque tout, le libre arbitre de la victime est piétiné et décrédibilisé. Notez bien qu’il n’y a pas besoin d’être dans une relation de type BDSM pour subir des abus, la plupart des choses dont je vais parler s’appliquent parfaitement à des couples “vanilles” ! On parle également de violences sexuelles non consentis… Et il y en a beaucoup.
Le consentement
Il s’agit de ce que veulent les personnes en jeu. Soyez d’accord avec ce que vous êtes en train de faire, ou ce qui vous est infligé. Ce consentement peut parfois être tacite ou exprimé clairement, mais en aucun cas il n’est donné pour tout. Une soumise qui accepte d’être soumise n’accepte pas forcément “tout” et elle n’a pas à le faire. Toi qui me lis, tu peux retirer ton consentement à tout moment dans une relation saine. En BDSM on se sert souvent de checklist BDSM pour réfléchir à tout ça.
Une image vaut mieux qu’un long discours
Dans ce cas, trois images, c’est sûrement encore mieux (j’ai réalisé ces images en traduisant majoritairement deux documents d’origine inconnue) :
Dans le BDSM sain, il doit régner une bienveillance permanente. Oui la soumise s’abandonne, mais elle le fait parce-que des règles ont été établies, qu’elle a confiance en son dominant et que celui-ci va rester strictement dans le cadre établis. À tout moment les deux partenaires doivent être à l’écoute l’un de l’autre. Pour cette raison notamment, lors de la découverte de nouveaux jeux je déconseille fortement le bâillon (voir l’article Comment débuter une relation BDSM ?). Enfin, n’ayez pas peur de demander à l’autre si tout va bien, c’est crucial, surtout lors de nouvelles pratiques. Nous avons la vie entière pour s’amuser, si vous n’êtes pas sûr, ne faites pas : ce n’est que partie remise ! Dans un autre article je parlerais des mes erreurs… Au final, la plupart sont basées sur un manque de dialogue ou une précipitation et je les regrette. Prenez votre temps.
La confiance ? Elle se mérite.
Au sein d’un couple, normalement on a confiance en l’autre. Lorsqu’il s’agit d’être attachée intégralement et de ne plus pouvoir bouger, pour potentiellement être baisée et / ou fouettée : la confiance prend une définition radicale. Apprenez à faire confiance à l’autre, mais retirez cette confiance si nécessaire, avancez doucement. Si quelqu’un se présente à vous comme “maître(sse)” et vous ordonne immédiatement d’obéir, passez à quelqu’un d’autre.
Enfin, un autre article en cours de rédaction : des présentations de films sur le BDSM. Jusqu’ici je n’en trouve aucun qui soit propre d’un point de vue du consentement : aidez-moi, donnez-moi vos propositions !
Je pensais lancer un tirages au sort pour les 1000 followers, mais le temps passe et nous sommes déjà à 1200. Merci beaucoup !
Il est donc largement temps de lancer le tirage au sort avec 100% gagnant !
Avec l’idée du jeu en tête j’ai mis de côté pour vous plein d’idées de lots, et plein de lots. Je vais en donner quelques-uns ici et j’en ajouterais peut-être d’autres d’ici la fin du compte à rebours !
Les 15 premiers lots (photo en bas) :
[Palier non atteint] Une surprise d’une valeur de 80€ si on arrive à 2300 followers cumulés insta + twitter (neuve, achetée pour le concours)
[Lot déjà pris] Un bâillon avec pince à téton (neuf, acheté pour le tirage au sort, 23€).
[Lot déjà pris] Des boules de geisha en métal (neuves, achetées pour le tirage au sort 17€)
Je ferais un tirage au sort le mercredi 20 novembre à 21 heures. Trois gagnants seront choisis sur Instagram, les autres seront choisis sur Twitter. Je tirerais donc deux fois le nombre de personnes correspondant aux nombres de lot. Puis je les contacterais une par une pour savoir quel lot ils souhaitent, lorsqu’un lot sera choisis il ne sera plus disponible pour la personne suivante. Avant de contacter, je vérifierais si vous êtes bien abonné ;) Si les gens ne répondent pas, ne sont pas abonnés, ou si aucun lot restant ne les intéressent je continuerais sur la liste en contactant les tirés au sort dans l’ordre.
100% de gagnant tu dis ?!
Absolument ! À l’issu du tirage au sort, je posterais une version de notre jeu moins bridée que celle actuellement en libre téléchargement…
Il y a quelque temps, je vous avais présenté C. Ezekiel, un artiste dont j’avais acheté 3 œuvres. Aujourd’hui, je souhaite vous présenter le travail d’une artiste française : Camy. Commençons par deux autoportraits, la jeune femme en produit pas mal, en voici deux :
Oui, la demoiselle semble très jolie, ce qui ne gâche rien. Mais néanmoins, ce n’est pas pour cette raison que je vous la présente.
Cette artiste autodidacte a réalisé une campagne de financement sur Ulule en fin d’année 2018. À cette époque je ne la connaissais pas et n’ai donc pas contribué, malheureusement ! Véritable succès, la cagnotte a atteint les 300%. Vous pouvez toujours commander ses artbook chez Flibusk en cliquant ici et ici.
L’auteur est très très prolifique, son compte Twitter est donc régulièrement agrémenté de nouvelles œuvres.
Pourquoi ?
Pourquoi est-ce que j’apprécie cette artiste ? Tout d’abord, pour ses visages… Et oui, je les trouve sublime.
Ensuite, parce que visage ou pas visage, ses dessins sont très réalistes. Le temps de regarder l’oeuvre, on est projeté dans l’univers qui y est reproduit. En tant que photographe, je suis impressionné par les artistes qui arrivent à ce niveau de réalisme.
Pas mal de ces originaux sont à vendre, et elle accepte par ailleurs les commandes perso’ comme elle nous le dit dans une vidéo :
Comme vous pouvez le voir dans la galerie ci dessous (cliquable), ses œuvres dégoulinent littéralement de sexe, mais également d’amour et de passion lorsqu’un couple est représenté. Certaines scènes BDSM m’attirent particulièrement, l’abandon des modèles, les regards pleins d’envie… La commande devrait être pour bientôt, juste des originaux ou une commande perso en plus ?
Des mystères restent néanmoins : qu’est ce qui motive son art ? Pourquoi, souvent, ses dessins lui ressemblent beaucoup ? Est-ce qu’elle préfère le mojito au cosmo’ ?
Sur des forums, tchats et en vidéo on voit souvent ce terme. Mais qu’est ce que ça veut dire ? On parle souvent d’humiliation publique (public humiliation en version anglaise.) Pour certains c’est un fantasme, pour d’autres un but à atteindre, une crainte ultime ou un frisson d’un soir… Voyons ensemble deux grandes conceptions :
Qu’est ce qu’une soumise à l’abattage ?
1-La femme bien baisée
On parle ici de l’aboutissement d’un fantasme de femme qui veut être prise rudement par plusieurs hommes, un genre de gang bang mais avec une notion BDSM : la modèle est soumise. Concrètement les hommes sont néanmoins là pour son plaisir à elle, des règles sont clairement établies et rarement la soumise a mal. Les hommes y trouvent leur compte du fait d’une situation excitante, un “vide couille” à disposition. Et puis, il s’agit de montrer qui est le plus fort et qui fera bien crier cette salope !
En dehors d’une situation “inhabituelle” et du fait que les hommes soient masqués et rarement la femme, il y a très peu d’humiliation, et globalement aucune prise de risque pour la soumise si c’est géré correctement. En quelques mots, c’est un gang bang mais avec une tenue de soumise. Après on peut trouver humiliant de se faire gicler dedans ou dessus pas 10 bonshommes, mais c’est assumé.
Illustration avec cette vidéo d’une femme française mise à l’abattage tel que je viens de le décrire, elle nous dit clairement “je suis contente et consentante” :
2- La femme esclave ultime
Au mieux, là, on utilise le terme abattage dans ce qu’il a de plus direct : le principe est d’être baisée “à la chaîne” par un grand nombre d’hommes. Dans l’idée, plus il y en a mieux c’est.
La spécificité : l’esclave est absolument sans volonté, elle acceptera tout, de tous. Oubliez totalement la notion de limite (checklist) et de safewordEt là j’y vois une possibilité d’abus. La possibilité ? Pas vraiment. Je ne sais pas comment le dire, car ce n’est plus ici une possibilité mais un but à atteindre : qu’on fasse à une personne non pas ce qu’elle aimerait, ou même ce avec quoi elle est d’accord, mais ce qu’on veut d’elle. Il s’agit de faire en sorte non pas qu’elle veuille tout, mais qu’elle ne veuille plus rien : une poupée
de chair, à baiser, remplir, vider, maltraiter et bien d’autre.
Au quotidien à deux, on observe déjà fréquemment des contradictions entre les envies de l’un et les limites de l’autre. À 20 mâles venus pour défoncer de la salope soumise, j’imagine difficilement qu’on n’atteigne pas les limites de l’objet à souiller. Sauf si, en effet, il n’en a plus aucune… Ce qui me semble impossible : nous sommes humains, nous avons une intégrité physique, psychologique et psychique à préserver pour vivre correctement. Si c’est excitant à lire dans une BD, nous sommes bien différents.
Top départ
Une fois attachée et ouverte, il n’est plus question de donner son avis. Au mieux et avec des personnes responsables et censées, La soumise cesse d’être une femme pour être déshumanisée et devenir des trous à remplir. Le plus souvent, ça impliquera d’être un sac à foutre, à urine, à salive, à crachats… Les scènes se déroulent parfois à l’extérieur, en ville, en forêt, afin de donner un rôle aux passants.
La personne sera également violentée : gifles, torture des seins, étirement des lèvres : soit pour se faire plaisir, se défouler, soit pour la rendre plus dociles ou encore pour montrer à cette pute qu’elle n’est plus rien, que même à ces outrages ultimes elle ne bronche plus. L’humiliation est permanente, et à tous niveaux. Tout comme le risque réel pour la soumise.
Il y a des productions spécialisées dans ce type de film…
Etes vous prêtes à ça ?
Dans un “bon” cas, ça peut donner ça : le cul rempli de foutre par une dizaine d’homme.
Un but à atteindre ?
Chaque binôme / couple possède ses propres règles, ses propres envies, ses propres besoins. Pour certains, souvent novices, l’abattage est une fin, un but à atteindre. Dans la plupart des cas, je pense surtout que l’abattage est la forme la plus aboutie de manipulation d’une personne à qui on a fait croire que c’était bien de faire ça, qu’ensuite elle serait une esclave / personne accomplie. Une fois arrivée à ce stade, la personne est complètement endoctrinée, c’est le but. Du coup pourquoi le dominant ne pousserait pas encore un peu : scatologie, zoophilie, piercing, scalpel, dégradation publique, pourquoi pas devant ses proches ? Le risque d’une fuite en avant dans la dégradation de sa “chose” est réel.
Et souvent le pire
J’ai déjà vu (en vidéo) des femmes traînées par les cheveux dans la pisse et le foutre. Il y a également les clichées racistes, souvent une jolie blonde Blanche complètement détruite par des Noirs. Ne pas utiliser de préservatif est une technique d’humiliation… Et fréquemment des violences difficilement tenable. Si l’humiliation est souvent présente en BDSM, elle généralement contrôlée, avec peu de participant, là c’est bien autre chose. Pensez à ce que vous êtes capable d’assumer le reste de votre vie. Voyez cette annonce :
Je cherche des mecs sans scrupules pour mettre ma femme à l’abattage (caves, cités, parkings souterrains, chantiers, foyers). Par contre étant un peu récalcitrante elle à besoin d’être travaillée intensivement dans un pavillon isolé en banlieue parisienne (tabassages, tortures, viols, sodomies). Ma demande est réelle et très sérieuse. Je vous demande donc de la discrétion. Si ma femme vous intéresse contactez moi rapidement.
Et si on veut essayer ?
Ça rentre plutôt pour la catégorie fantasme et la première description de l’abattage, mais j’ai repéré deux sites qui pourraient vous aider à réaliser certains de vos fantasmes. Nous ne les avons pas essayé mais on en entend du bien :