Soumise offerte par son Maître (Vraie histoire BDSM)

Le récit d’aujourd’hui, celui d’une soumise offerte, est présentée par mademois_elle_x. Il était sur instagram, je l’ai trouvé honnête, beau, intense. Et doux, quelque part.

Elle a accepté que je le publie ici pour vous, ce sont ses photographies, si vous voulez voir d’autres partages, sa page Instagram est ici https://www.instagram.com/mademois_elle_x/

J’ajoute des informations sur l’auteur à la fin. Merci à elle. Voici donc une soumise offerte :

soumise à genoux mains dans le dos attachées

Première présentation en tant que soumise

Le temps s’écoule doucement. Je me prépare sous ses indications, nous allons sortir, Maître me veut jolie, comme d’habitude dirais-je mais ce soir là-, encore plus.
Il choisit mes dessous et je prépare mes bas. J’aime bien les bas. Cela me permet de mettre en valeur mes jambes et me fait sentir l’air frais passer sous ma robe. Je ressens encore plus le fait d’être ouverte et disponible.
Il est un peu plus de 22 heures et nous allons sortir. J’ai enfilé ma robe en dentelle couleur bordeaux, je l’aime bien cette robe. Ce soir je me regarde dans le miroir je me sens femme, je me sens belle. Maître me regarde, je me maquille, il m’inspecte et veille à ce que je sois parfaite. Je me dois de l’être. Être à la hauteur de mon Maître et le rendre fier.

L’Uber est là, nous allons partir…
Après 10 minutes de voiture en sa compagnie, nous arrivons dans un bar assez jeune, comme les bars que je fréquente avec mes ami(e)s. J’ai mon collier autour du cou, large bout de métal qui entoure mon cou et qui me rappelle à chaque instant que je suis sienne.
Les gens nous scrutent, nous regardent, je suis si fière…

Fière d’être à lui, de pouvoir l’assumer.

Je ne dis pas que c’est facile, mais cette sensation ou pour moi se mélange la provocation envers autrui et l’humilité envers mon Maître me satisfait.

Il n’y a pas de place à l’intérieur, nous nous installons dehors. Il fait froid, mais mon corps brûle d’excitation. Maître me laisse pour aller nous chercher un verre. Je l’attends.
L’attente me paraît longue et le froid n’est pas agréable mais je suis en plénitude, là à ma place, avec lui, à l’attendre. 1 minutes… 5 minutes… 10 minutes… je ne sais pas. Le temps, pendant ces moments-là, se fige, et j’aime cette bulle qui m’englobe et me fait profiter de l’instant présent.

Puis Maître revient, je dessine un sourire sur mes lèvres. Il reprend sa place à côté de moi et nous discutons quelques instants. Des mots, des sourires, le regard baissé, j’écoute…

Soumise en collier tête haute

 

« Nous ne sommes pas là par hasard »

Une phrase, une seule qui me traverse, m’intrigue, m’excite et me terrifie.

J’écoute les instructions de Maître.
Aller à la rencontre d’un Dominant qui est là, nous observe… Me présenter, pour la première fois. Être à ma place et la respecter. J’ai peur. Peur de ne pas remplir mes devoirs, peur de paraître ridicule aux yeux de ce Dominant et surtout aux yeux de mon Maître.
J’ai les instructions : un homme en costume dans le bar avec une pince sur sa cravate. 
Maître me soutient, je le sais, il ne le montre pas mais je le sais qu’il croit en moi, je ne dois pas le décevoir.Alors, j’entre dans le bar mes pas ne sont pas assurés mais j’ai hâte. Je me sens tellement petite, insignifiante. J’inspecte et je cherche. Je le vois, doucement je m’approche. Monsieur est dos à moi. Je veux montrer ma présence, je ne dois pas avoir peur, je vais prouver celle que je suis.
Je me positionne face à lui et d’une voix aussi assurée que tremblante je me cite…

Un silence.

Je le vois faire tourner son verre dans ses mains.

Monsieur me pose plusieurs questions, il veut me connaître, connaître ma motivation, ma dévotion et je suis prête. Prête à montrer que je ne joue pas. Que j’ai conscience de ma condition et des conséquences qui en découlent.
Monsieur s’interroge sur mes expériences passées et sur mes capacités de soumise. Toujours les yeux baissés je réponds. Il me donne l’autorisation de les lever, de le regarder. J’obéis, non pas sans difficultés mais j’obéis.

À ce moment, Maître nous retrouve. J’ai appris un peu avant qu’il est là à nous observer depuis un petit moment. Maître et Monsieur discutent entre eux. J’attends…
Monsieur nous dit qu’on va y aller… Ou je ne sais pas… L’excitation et la crainte se mélangent…

Un Uber arrive et je suis assise entre Maître et Monsieur. Monsieur me demande d’écarter les jambes, j’ai peur. Je sens ma respiration s’accélérer. J’ai peur, non pas de ce qu’il va m’arriver mais peur de décevoir.

 
femme soumise 4 pattes penchée

C’est le grand jour.

La première sortie, la première fois que Maître me présente. Je suis Sienne je ne dois pas le décevoir, je dois garder ma place et montrer l’éducation qu’il m’enseigne au quotidien.

 
Ma peur est là, je veux qu’il soit fier. La voiture s’arrête, nous sortons. Dans la rue, il fait nuit. Il pleut et je sens le froid de la nuit m’envelopper. Je ne suis plus là. Mon esprit est concentré, je ne réfléchis plus. J’attends un ordre, une consigne… J’obéis.
Dans une ruelle dos à un mur Monsieur m’inspecte. Jambes écartées, robe relevée. Monsieur me fait retirer mon string noir et rouge. Je n’en ai pas besoin, c’est vrai. Je dois rester ouverte et disponible.Monsieur me scrute et je sens le regard de Maître sur moi. Monsieur passe sa main sur mon sexe, j’ai chaud, je ne sens plus le froid. Il met 1 doigt en moi et me caresse. Je sens mon corps se raidir d’excitation. Mon excitation est à un stade jusque là encore inconnu.Je ne me contrôle pas et j’aime cette perte de contrôle de mon corps. J’attends accroupi dans la rue, le sexe dénudé. Je suis heureuse, mon Maître m’offre je vais être digne de cette offrande qu’il fait à Monsieur. Je suis Sienne, je suis sa soumise.

Il sera fier.

 
Nous repartons…
Nous rentrons dans l’appartement de Monsieur.
Debout dans l’entrée, j’attends. Maître m’enlève ma veste, me dit d’attendre. Je suis debout. Je ne cerne pas très bien leur discussion. De toute manière, je n’ai pas à les écouter. Telle une statue je patiente. Maître m’appelle, me dit de venir. Près du canapé un coussin par terre je comprends que je dois être à genoux.

Je reste de marbre je ne bouge pas. Ce n’est pas compliqué, étonnament je me surprend à rester immobile et j’aime ça. Une laisse attachée à mon collier. Je suis mise nue, ne reste que mon soutien-gorge. Je marche à quatre pattes jusqu’au pied de Maître jusqu’à ma place. Je suis bien.

Les hommes discutent, parlent de moi comme si je n’étais pas là. Et c’est vrai. Mon corps est là physiquement, mon esprit est ailleurs, je cherche à garder au mieux ma place de soumise je suis concentrée. Tout cela n’est pas joué, c’est même plutôt naturel cet état. Je suis bien. J’ai envie de sourire, je ne bouge pas.

soumise en laisse à 4 pattes

 

Je suis heureuse.

Monsieur me prend la laisse et m’emmène. Je suis fière de marcher à quatre pattes. Je me concentre. Il faut que je reste gracieuse à quatre pattes.
On me dit de me mettre debout. Face à moi une table avec divers instruments posés dessus. Je distingue un martinet et une cravache. Monsieur m’avait précisé au bar, que la cravache est son instrument favori.
J’ai peur, je ne connais pas bien la cravache. Je dois rester concentrée. Monsieur m’attache les mains à chaque coin de la table. Je dois me cambrer…

Tenant la position Monsieur m’explique, ce qui va se passer, me demande si je comprends. Monsieur me précise aussi que le NON chez lui veut dire NON. Il n’y a pas de mot d’alerte.
Je sais à ce moment précis que je ne dois pas perdre le contrôle de mon esprit. Parfois le non est tellement soudain. Maître continue de me regarder. Je dois être forte. Je vais avoir mal, je le veux. Du plus profond de moi, je veux montrer que je ne joue pas, je ne suis pas là pour réaliser un fantasme.

Je suis là parce que je dois être là.

C’est ma place.

Monsieur débute les coups. Le premier est surprenant mais pas insupportable. Mon mental est là je dois et je veux tenir coûte que coûte. J’aime sentir les coups s’accélérer : le martinet, la cravache. Les mots de Monsieur sont importants, le regard de Maître l’est tout autant. Je ne dois pas montrer ma douleur, même si à ce jour elle me paraît minime. Je ne dois pas montrer ma peur, ma crainte.

Après des échanges vifs et intenses de coups maîtrisés, Maître a décidé de stopper les coups, pour une première, c’était déjà bien. J’avais peur, qu’il arrête, par déception, de ne pas avoir été à la hauteur…
A ce moment-là, un regard, un échange, j’ai lu dans les yeux de Maître qu’il était satisfait. Pas besoin de grands discours, notre connexion nous permet de nous comprendre. Et j’ai su.

selfie de soumise en tenue

 

Je suis retournée m’agenouiller sur le coussin mains dans le dos. Maître et Monsieur ont continué de discuter. Cette position me plaît beaucoup. J’aime être là, telle une statue que l’on expose, que l’on regarde. Je me suis même surprise à ne pas bouger, ni même gigoter. Faisant abstraction de la douleur et de l’engourdissement, je me sentais belle. Dans mon monde, dans ma bulle, dans ma soumission. ABSOLUE… TOTALE…

Le reste de la soirée s’est déroulé à merveille. Pas de longs discours sur la suite de la soirée. C’est entre nous…

Ma première soirée de soumise… il y a un an déjà. Je débutais dans ce monde. J’ai évolué… j’ai grandi…

Un bonheur d’une grandeur inégalable.
Cela restera gravé en moi toute ma vie.

⛓// Je suis soumise, je suis moi… Je suis une soumise offerte //⛓

soumise blonde visage cachée

Qui est l’auteur ?

Sa bio insta : Sans identité mais pas sans conviction. Le bonheur dans l’asservissement. Ma place, là où je me sens revivre

Le plus important n’est pas ce que l’on est mais ce que l’on choisit d’être…
Mes interrogations ont commencées très jeunes mais je ne comprenais pas…
Pourquoi j’étais différentes… pourquoi je n’aimais pas les princes charmants comme les petites filles de mon âge ? Moi ce qui me donnait des chatouilles dans le ventre c’était les méchants. Ressentir la crainte du danger telle une proie mais l’envie incandescente de jouer avec le feu pour se brûler les ailes.

Je me rappelle encore de cette scène de film, cette jeune fille kidnappée, se tenant à genoux enchaînée. Je voulais sa place.

En grandissant j’ai fait mes expériences parfois désastreuses, parfois fortes en prise de conscience.

Je me suis posée 1000 questions. Pourquoi suis-je différente ? Pourquoi je n’arrive pas à me contenter d’une vie vanille comme les gens normaux ? MAIS QU’EST-CE QUE LA NORMALITÉ ?
Suis je si différente alors que moi je sais ce qui me permettra de m’épanouir et d’être heureuse ?
Mon masochisme me transforme et me transporte dans une extase indéfinissable.

Le besoin de me soumettre m’a appris à accepter mon MOI intérieur. Je me suis écoutée… tout simplement.

selfie de soumise en tenue

 
Aujourd’hui j’ai 27 ans et je me suis posée les bonnes questions. J’ai trouvé mes réponses, la chance d’être sous collier et de me sentir apaiser à ses pieds… J’ai cette chance de m’être découverte tôt et sais qu’un monde s’ouvre à moi.

J’aime cette place, je me sens grandit quand je suis à genoux, femme quand je porte ce collier et belle dans l’attente. La soumission m’a permis de prendre confiance en moi même si le chemin sera encore long… au même niveau que mon éducation dans ce monde.J’ai la chance d’avoir été libre de choisir de m’épanouir dans l’asservissement. Je me sens femme, je me sens belle, je me sens MOI.

Aujourd’hui sous collier et comblée, je me languis de chaque rencontre. Ma peau tremble au son de sa voix et mon regard rempli de dévotion se perd dans le sien. Ma folie est à la hauteur de sa perversion.

Sienne et satisfaite. Chaque jour je me rends compte de la chance que j’ai de m’être trouvée. Chaque jour je me rends compte de la chance que j’ai d’être Sienne.

Une soirée de dressage… (vraie femme soumise)

Cette histoire est véridique, il y a quelques semaines, Mademoiselle a oublié de piocher ses actions de notre jeu pour couple. Elle doit normalement le faire le 1er jour du mois. J’ai donc attendu, attendu… Et nous étions le 7 du mois, sans qu’elle n’ai pioché, j’ai donc réagi : en avant pour le dressage de ma soumise…

(Photos non personnelles, les notres sont en en accès restreint, quelques-unes sur instagram)

Un dressage de soumise en règle.

Constatation

Voici le SMS qu’elle a reçu :

Très chère soumise, nous sommes le 7 du mois et vous n’avez point pioché. Vous voilà bien indigne de votre rang ! Afin de vous rattraper, quatre possibilités :
– Tu seras ma soumise une demi-journée, quand je veux.
– Tu seras ma soumise deux soirées, quand je veux. (à partir de ton arrivée jusqu’au coucher)
– Tu n’auras pas de point pour les actions de ce mois-ci,
– Tu pioches 2 actions en plus ce mois-ci, pour lesquelles tu n’auras pas de point.

Compte tenue de notre emploi du temps, elle a choisi la deuxième solution :  être ma soumise deux soirées, quand je voulais, pour un dressage de soumise.

Mise au point

soumise blonde visage cachéeLe temps a passé, et de de mon côté j’ai préparé quelques idées, puis je les ai regroupées et organisées. J’avais alors deux programmes assez bien ficelés, et j’ai demandé à ma soumise si elle préférait une séance avec beaucoup d’humiliation et peu de  douleur, ou bien l’inverse, ou bien enfin un peu des deux. Son choix s’est porté sur les deux : humiliation et douleur dans une gamme modérée.

Action !

J’ai laissé le temps passer du nouveau jusqu’en décembre, jusqu’à un autre SMS :

Ce soir, ce sera une soirée où tu seras ma soumise.

Lorsque tu rentreras, tu resteras dans l’entrée. Tu poseras juste ton sac mais garderas tout ce que tu portes d’autres. Tu écarteras largement tes jambes, poseras les mains sur ta tête, fermeras les yeux. Puis, assez fort pour que je t’entende tu diras “Je suis là mon prince”. Je viendrais, et ferais différents jeux.

Ensuite, je t’ordonnerais de monter dans la chambre, tu porteras ce qu’il y aura sur le lit, plus des chaussures à talon. Tu te prépareras afin que tu sois prête à être prise par devant. Tu as le droit de t’exciter comme tu le souhaites, j’aimerai que tu sois proche de jouir. Ensuite tu m’écriras avec ton portable “Je suis prête”. Tu poseras ta tête sur le lit, et tu écarteras ton cul de tes mains. Tu seras bien cambrée.
Alors je te baiserais et jouirais en toi, ce sera rapide.
Toute la soirée, tu continueras d’être ma soumise, et obéiras si j’ordonne. Si tu as des questions ou des envies au cours de la soirée, demandes mon amour :)

soumise penchée tenue à la gorgeJ’ai alors rapidement reçu la réponse : “Bien mon Prince”, c’est d’ailleurs la réponse que j’attendais de ma soumise.

L’entrée

Quelques heures après, elle est arrivée, a posé son sac, s’est mise en position, puis j’ai entendu d’une voix anxieuse mais claire : “Je suis là mon Prince”. Je suis allé vers elle, et je l’ai admirée : parfaitement en position main sur la tête, yeux fermées et cuisses largement ouvertes. Je l’ai saisi par le cou, je l’ai embrassée. J’ai passé ma main sous son pull et j’ai soulevé son soutien-gorge pour pouvoir la caresser sans la déshabiller, comme une chienne que l’on saisit comme on veut, quand on veut.

Je l’ai ensuite fais mettre à genoux, et lui ai demandée

  • Pourquoi es-tu là, ainsi ?
  • Je suis ta soumise, ce soir, car j’ai oublié de piocher mes actions, je dois donc être punie
  • Ce n’est donc pas une soirée uniquement de soumission, mais de punition, sommes-nous d’accord ?
  • Oui Monsieur

Elle a alors senti ma queue dure se coller à sa bouche, contre ses lèvres qu’elles a ouvertes pour me permettre d’y pénétrer. J’ai sentie sa lSoumise à genoux doigts dans la boucheangue commencer à travailler, tandis que je faisais des va-et-vient dans sa bouche. Je l’ai ensuite saisi par les cheveux pour m’enfoncer plus profondément, et elle a commencé à grimacer distinctement. Ma réponse ? J’ai enfoncé ma queue entièrement dans sa bouche, au fond de sa gorge, joignant la parole au geste, je lui ai rappelé que c’était une putain à mon service.

Doucement, mais sûrement

Je l’ai ensuite menée au salon, juste à quelques mètres et je lui ai demandé de se mettre debout et de baisser son pantalon, puis la dentelle qui protégeait son intimité d’un regard direct. Elle remet les mains sur sa nuque, et je me place derrière elle. Je m’assure de son état et de ses souvenirs de nos mots de secours.

  • Que dis-tu si tu veux que l’on se calme ?
  • Orange, maître
  • Que dis-tu si tu veux tout arrêter ?
  • Rouge, maître
  • si je souhaite te pénétrer que réponds-tu selon ton envie ?
  • “Oui”, “Je l’accepte pour toi mon prince”, “S’il te plaît, non”
  • Parfait (elle m’a dit qu’elle pouvait vivre une pénétration au mauvais moment comme un viol, nous avons convenu de ce code avec ma soumise. Même si je peux en effet choisir de la prendre ou pas, quelle que soit sa réponse, lorsqu’elle est ma soumise)

La douleur

Soumise durement marquées badineUne fessée s’abat, puis deux, puis trois, de plus en plus lourde sur son cul qui rougie très rapidement, ma soumise se cambre et crie. Elle peut crier, je sais que personne n’est autour de chez nous. Je la saisis par les cheveux, quatre, cinq, six. Elle continue de compter en criant. Je l’embrasse tendrement.

Je m’assoie alors sur le canapé, elle en face de moi, et lui ordonne de se mettre entièrement nue, je la regardais en me caressant.

  • Ouvre ta chatte. Qu’est ce que tu es ?
  • Je suis ta pute, ton vide couille

Elle a honte de me le dire ainsi : nue au milieu de chez elle le cul rouge et la chatte humide. Puis ma chienne obéissante est venue s’agenouiller devant moi, je lui ai passé son collier avant de saisir doucement ses tétons.

  • Tu me dis “stop” ?
  • Oui mon prince

Je commence alors à serrer ses tétons entre mon pouce et mon index, de plus en plus fort, elle se tord, résiste, encore et encore… Elle recule, se tortille, sert les dents. Je relâche l’étreinte un peu, elle soupire, puis je resserre de plus belle. Une larme perle, puis un souffle lui échappe “s’il te plaît”, et je m’arrête immédiatement. Elle est soulagée, car elle sait que son avis n’est qu’un avis de chienne, et que je peux continuer si j’ai envie. Elle est heureuse de voir que j’ai suivi sa limite à ce moment,

téton soumise très pincé

 et je l’ai fait justement car je l’ai vu attendre, attendre pour me rendre fier. Elle est allée au bout d’elle même, je profite du spectacle et ne va pas plus loin.

Courte pause

Je la récompense très brièvement, elle peut venir se coller contre moi. Puis je lui tends sa robe de chambre, et ses bottes fourrées. Elle ne comprends pas bien, mais enfile le tout. J’attache alors une laisse à son collier et l’emmène dehors.

L’humiliation

Je la fais s’agenouiller de nouveau, la terre est dure contre ses genoux fragiles. Je lui ordonne de se branler, tandis que j’enfonce ma queue dans sa bouche. D’une main je me saisis de ses cheveux, de l’autre j’approche mon majeur et mon annulaire de sa bouche : elle comprend tout de suite et commence à sucer mes doigts pour les humidifier avant de les enfoncer elle-même dans sa gorge.

J’arrache alors la robe de chambre : immédiatement, ses tétons pointent, toute sa peau douce témoigne des températures négatives. Elle continue de se branler, comme une bonne chienne bien dressée.

Je lui ordonne de se mettre en position de prosternation, les genoux au sol, le cul largement offert par une cambrure des reins et les bras tellement avancés que la poitrine touche le sol. Ses seins frottent sur le sol glacé, sa peau pourrait s’écorcher si je la secoue, et ce qu’elle a de plus intime sera offert au souffle glacial qui nous enrobe. Elle me regarde une seconde, juste le temps de savoir si c’est vrai ordre ou non. Un test ou un ordre ? Mais comme le dit l’Empereur Marc Aurèle, “Avant que tu ne parles, on doit pouvoir lire sur ton visage ce que tu vas dire“. Je n’ai donc pas à parler : elle  s’exécute. Je salive sur sa chatte, puis la doigte avec vigueur.

 

  • Reste ainsi, chienne, c’est très bien. Je vais me faire un thé chaud, il fait froid.
  • ***

Elle n’a rien dit : ni à mon ordre, ni lorsqu’elle m’a vu partir, ni lorsque elle a entendu la porte se refermer sur moi.

Tenir, tenir encore

 Je suis revenu dans les 30 secondes.

  • Et bien, et ton thé ?
  • Je ne voulais pas vraiment m’en faire un, je souhaitais voir ta réaction et je suis très satisfait, bravo mon amour
  • Merci mon Prince
  • Debout ! (je l’aide à se relever), écarte tes cuisses, écarte encore…!
  • C’est dur
  • *clac* (une fessée), écarte salope (elle ouvre grand) voilà, c’est bien.

soumise dehors nue glaceEt elle a bien écarté encore, mais c’était très difficile, le froid commençait à mordre. Nous sommes au milieu du jardin, dans résidence généralement vide, pas encore occupée. Mais, on ne sait jamais…

  • Qu’est ce que tu es ?
  • Je suis ton esclave
  • Je suis ta putain
  • Je suis ta chienne
  • Plus fort
  • Je suis ton esclave
  • Je suis ta putain
  • Je suis ta chienne
  • Plus fort petite pute
  • Je suis ton esclave
  • Je suis ta putain
  • Je suis ta chienne
  • Mmmh parfait ma belle

Le réconfort

Je lui ai donné mon manteau fourré qui portait ma propre chaleur et nous sommes rentrés. Au total, cet épisode à l’extérieur a duré moins de cinq minutes, je suis sain d’esprit et je prends soin de cette femme qui se livre à moi librement, entièrement et avec amour.

Soumise debout maintenueUne fois à l’intérieur, je lui ai tendu une bouillotte que j’avais préparée avant son arrivée, elle était encore trop chaude pour pouvoir la poser contre sa peau nue, mais entourée d’une couverture polaire la chaleur diffusée et mes bras tendres ont faillit faire craquer ma soumise. Comme si c’était la fin de la séance. Hors, elle savait qu’elle devait encore aller à l’étage et découvrir ce que j’avais préparé pour elle. Elle se retiens… Elle se prépare pour le reste. Je lui ai dit que lorsqu’elle se sentirait prête elle pourrait monter pour la suite et la fin, que j’avais annoncée comme rapide.

  • “La douleur est fini pour ce soir mon amour, si tu obéis et que je n’ai pas à punir”, ça a finit de la rassurer et l’a détendue pour la suite.

Une esclave admirable

Se sentant prête, elle est montée à l’étage. Elle y trouva une paire de bottes, une cagoule avec juste un trou pour la bouche, une chaîne en croix avec 4 pinces au bout pour relier ses tétons aux lèvres de sa chatte. Un dernier élément pour son sexe encore : deux pinces munies de poids, avec 3 poids chacune : le maximum.

Pendant qu’elle se préparait, je faisait chauffer de l’eau physiologique afin de lui administrer un lavement à l’aide d’une poire.

J’ai rapidement reçu le SMS “je suis prête”, et je suis allez la rejoindre : elle s’était caressée, lubrifiée et avait faillit jouir -selon mes instructions-. Je suis arrivé et l’ai trouvé exactement comme je l’avais demandé, les pinces bien placées tiraient légèrement sur ses tétons, elle était penchée sur le lit avec les pieds au sol et le cul et la chatte largement ouvert de sesoumise attachée et très écartée cul offerts mains. Ses grandes lèvres souffraient sous le poids, et s’étiraient joleiment. À ce moment, je lui ai lié les chevilles au lit, j’en ai profité pour écarter encore un peu ses cuisses. Je colle ma queue contre sa chatte :

Dressage de soumise à la queue

Alors, je la baise comme la pute qu’elle est pour moi, en tenant fermement ses poignets qui écartaientt bien son cul. C’était la première fois de la séance qu’elle recevait ma queue, et elle était parfaitement prête à recevoir son homme en elle. Elle crie. J’adore ça. Elle hurle presque…

Sous l’agitation, une pince avec les poids tombe à ses pieds. Ses lèvres sont trempées, gonflées, étirées.

Puis je me suis retiré, elle s’est étonnée puisqu’elle pensait que je jouirais en elle a ce moment. Elle se demande ce que je fais, elle entends de l’eau. Elle sent son cul s’ouvrir un tout petit peu, et elle comprends tandis que je commence à la remplir d’eau. Initialement, je pensais verser le contenu d’une ou deux poire à lavement, juste pour le geste et l’humiliation. Mais, du fait qu’elle se sentait bien et se comportait très bien j’en ai mis sept ou huit…

femme squirt sodomiséeEt je l’ai reprise. Avec son cul gonflé d’eau sa chatte était bien serrée, je l’ai branlé d’une main et j’ai enfoncé mon pouce dans son cul avec l’autre. Elle reste parfaitement étanche et soumise à mes caprices. À ce moment, elle sentait que j’allais bientôt répandre mon plaisir en elle, de ses deux mains elle tire fort sur son cul et sa chatte pour me faire plaisir et elle sentit son orgasme monter à son tour :

  • (en criant) Je peux jouir ?
  • Pas encore petite putain
  • S’il te plaît mon prince, ta queue est trop bonne !!
  • Non, je te l’interdis

Je l’ai sentis se retenir, nier la chaleur dans son ventre. Puis, comprenant qu’il s’agissait de son dressage, elle c’est sentie fière et bientôt libérée, tout en acceptant son sort et en m’encourageant au moment fatidique :

  • Oui mon amour, remplis ta pute ! Je suis là pour ça, baise moi

“baise moi !”

J’arrête de la branler et saisi ses cheveux de ma main tout en doigtant son cul de l’autre… Parfait.

Je me suis retiré, et lui ai dit de maintenir la position tandis que je déliais ses jambes et plaçait une assiette sur le sol entre ses cuisses. J’ai alors quitté la pièce pour voir sa réaction face à l’abandon, tremblante de plaisir, le cul remplis d’humiliation et la chatte suintante de foutre…

Je l’observe de loin, elle ne bouge pas, mon sperme coule de sa chatte et se dépose sur l’assiette. Elle maintient son cul ouvert, même si retenir l’eau devient pénible. Je me lave les mains, prépare ma douche, puis je vais la rejoindre. J’attrape sa laisse, la place le visage au dessus de l’assiette et lui dis de lécher. Je pourrais presque jouir une deuxième fois de la voir si soumise, mon esclave lblonde sexy attachéeèche tout… Ce dressage de soumise est une vraie réussite… Je détache son collier et lui glisse à l’oreille :

“Je t’aime tellement mon amour, je suis fier de toi. Tu es parfaite, merci.”

 

Précisions sur ce dressage de soumise

 
Finalement, si cette fantaisie BDSM vous a émoustillé, vous devriez aimer un autre moment que nous avons vécus  : Soumise attachée au plafond et au mur.