Introduction avant les introductions
Dans le contrat bdsm encadrant notre jeu bdsm nous avons décidé que je peux, 4 fois dans l’année, lui dire d’être ma soumise une journée entière. Je lui dis soit en avance, soit immédiatement lorsque ça doit débuter, elle doit accepter -point-. Voici le vrai récit, 100% vécu, de la soirée qui a ouvert l’une de ces sessions de 24 heures…
Hier pendant une journée de repos j’ai positionné des crochets un peu partout chez nous (bdsm-gear) : un dans le salon au plafond, un dans notre chambre au plafond et 5 sur le mur au pied du lit, dans notre chambre. Ceux au plafond servent à attacher en hauteur et peuvent permettre des suspensions en shibari et les 5 du mur permettent d’attacher en croix, et de soulever la partenaire dans une moindre mesure. En gros, un peu comme ceci mais sur un mur classique en plâtre et papier peint.
Le jeu commence
J’étais bien excité à l’idée d’essayer et de lui faire découvrir… Mon épouse était au travail, j’ai décidé de lui envoyer le message suivant, à 18h30.
Dès que tu arriveras tu seras ma soumise. Tu devras me dire quand tu pars du travail et également lorsque tu arriveras en bas de l’immeuble. Tu n’as pas le droit de dépasser notre entrée, j’irais à ta rencontre.
J’ai reçu très rapidement sa réponse :
Bien mon cœur.
Le temps passe un peu, une demi-heure plus tard je reçois le SMS pour me dire qu’elle part. Une vingtaine de minute plus tard elle m’écrit : elle est en bas. Tout est déjà prêt dans l’appartement pour la recevoir dignement. Je suis déjà nu. Il faut dire que cette belle journée d’été est propice à des tenues légères.
J’entends la clef dans la serrure, elle tourne, elle ouvre la porte, je l’embrasse et lui dis de se mettre à genoux en position du collier ou d’exposition. Ma future esclave s’exécute, je retire la chaîne en or qu’elle portait et la remplace par un collier de soumise assez lourd… Elle ne le sait pas, mais le but de cette séance est de l’humilier, et l’inconfort y participe . J’ai donc choisi en conséquence.
Je câline ma soumise qui se détend, puis lui ordonne de se mettre debout, toujours mains sur la tête. Elle porte une robe portefeuille : idéal pour les jeux que j’ai prévu, j’ai beaucoup de chance. Je l’ouvre, et la déshabille entièrement en la caressant.
La faire briller…
L’heure est venue de placer des menottes à ses poignets, ceux en métal sur la photo juste au dessus, les deux mains attachées ensemble. Je l’emmène ensuite à la salle de bain en la tenant par l’anneau du collier. Je tire fermement dessus afin de lui rappeler ce qu’elle est : une soumise. Une fois dans la baignoire je la lave entièrement, doucement, sensuellement, la rince puis la sèche entièrement. Elle est debout, mains sur la tête en position dite “d’inspection”.
À sa grande surprise, je me mets à genoux et la lèche : l’autre but de la séance est de lui donner du plaisir, malgré l’humiliation. Mon souhait est qu’elle prenne son pied, tout en étant rabaissée, qu’elle mélange ces deux sentiments et s’abandonne totalement. Elle est déjà un peu ouverte, le début de la séance a été doux et excitant pour elle, elle gémit, se tord.
Je retire les bracelets et les remplace par des attaches sur lesquelles on peut tirer sans faire des points de compressions trop durs. En bref, je remplace les bracelets en métal par des bracelets molletonnés.
… puis la dégrader doucement
Nous sommes de retour dans l’entrée, elle ne comprend pas trop car nous sommes passés devant la porte de notre chambre, généralement lieux de prédilection pour ces jeux. Il faut la perturber, elle doit perdre ses repères. Là, je lui enlève un des sens les plus important : la vue, je place une fine cagoule sur sa tête. Il n’y a alors que sa bouche et ses long cheveux blonds qui sortent de la cagoule. Nous échangeons un long baiser tandis qu’elle plonge dans la soumission.
J’ajoute un harnais de poitrine en cuir. Une lanière passe derrière le cou et une autre passe dans le dos. À l’avant, il donne l’impression d’un soutien-gorge ouvert formé de deux triangles de cuir entourant les seins. Cet tenue sert, habille et fait ressortir la poitrine arrogante de ma chienne. J’applique ensuite un sert-taille léger autour de son ventre, et enfin j’accroche une lourde chaîne à l’anneau de son collier.
Ça ne fait pas un peu beaucoup ? me demande-t-elle
Je lui répond que non, et qu’elle est magnifique ainsi. C’est d’ailleurs vrai, je le pense et la regarde un moment. Par la contrainte et le poids l’abondance de matériels vient renforcer l’humiliation qui débute.
Premier crochet
Comme avec une chienne, je l’emmène dans le salon, elle sent la lourde chaîne la tirer vers le sol. La honte monte doucement en elle… Mains devant elle, j’accroche une barre d’écartement à ses chevilles, puis tire sur la chaîne qu’elle a au cou pour l’attacher au milieu de la barre d’écartement. Elle est donc contrainte à rester penchée en avant. Cette posture écarte légèrement ses fesses, ouvre timidement son cul, sa chatte et impose que cela reste ainsi.
Je ne peux plus me redresser, c’est ça ?
Essaye ma belle.
Et c’est ce qu’elle fait : elle tente de se redresser et constate être bloquée, elle frémit. Je me frotte à elle, la branle. Là je commence à la doigter de mon pouce, c’est pourtant contre nos règles et j’aurais à m’en excuser plus loin dans la séance… Elle semblait suffisamment mouillée et j’ai été emporté par l’élan.
Je continue, elle me parle, me dit si je vais trop vite, trop fort, si je suis trop sur le clitoris. Je suis fier car je me bats pour ça, pour qu’elle parle, pour qu’elle me dise ce qu’elle ressent. Il y a peu, lors d’une séance j’ai dû lui promettre de la gifler à chaque fois qu’elle ferait un soubresaut sans m’expliquer pourquoi elle bougeait. Il faut admettre que cette méthode a donné des résultats très positif pour l’éducation de ma soumise.
J’augmente sa honte en passant ses mains dans son dos et en attachant ses poignets en l’air, elle comprend qu’il y a un crochet quelque part en hauteur. Cette posture inconfortable l’oblige à se cambrer, ouvrant encore un peu plus ses orifices. La Belle ne dit pourtant rien, elle suit, elle obéit et elle mouille. Impudique au milieu de son propre salon, ouverte, offerte et prête à souffrir un peu désormais.
Que préfères-tu, fouet, martinet, badine ?
Je… Hum… Je ne sais pas. Lequel fera le moins mal ?
Tout dépend de l’utilisation petite pute. Choisi.
Je n’y arrive pas, je ne sais pas.
Dans ce cas, je les prends tous, tu me diras celui que tu auras préféré.
Bien mon Prince
La douleur
Je pars donc dans la chambre et reviens avec les trois objets, plus un paddle offert dans son calendrier de l’après et que nous n’avons pas encore vraiment essayé. C’est le premier à s’abattre sur sa peau, elle trouve que ça claque bien. Je lui demande comment elle se sent, “très humiliés“, “très soumise” me dit-elle. C’est le but, et néanmoins sa chatte suinte : les deux objectifs de la séance sont atteints et je peux poursuivre ainsi.
Je prends quelques photos, elle le sait et ça ajoute à son avilissement. Je lui dis qu’elle est belle, c’est important qu’elle le sache, qu’elle prenne confiance et qu’elle puisse être fière d’être humiliée devant moi.
Un peu de fouet maintenant. ** Claque **. Immédiatement elle me dit “4”. Nous avons l’habitude au début de la séance qu’elle me dise sur une échelle de 1 à 10 combien elle a mal. Je vois qu’elle a commencé m’aiguiller dès le premier coup, elle est lucide et bien éduquée. Je suis très fier, je lui dis. Elle m’a dit “4” et pour le faible coup qu’elle vient de recevoir, cela veux dire qu’elle est est sensible aujourd’hui. En effet, on a tous des jours ou l’on encaisse et d’autres où l’on est fragile. Elle est fragile, là. Je joue au fouet, puis je passe à la badine, et enfin au martinet à 9 queues. J’y suis allé doucement, la douleur la désexcite assez vite et je veux l’abaisser sans la faire pleurer ni la faire craquer.
La honte de la femme objet
Reprise des caresses, elle est réceptive mais calmée de l’excitation par la douleur. Je décide alors de présenter ma queue à sa bouche.
Allez petite chienne, tu es là pour ça, fais ton boulot
Elle suce comme elle peut, la position n’est pas évidente et elle manque d’amplitude. Ce n’est pas assez pour moi, je bouge donc ma queue en elle. Elle supporte tant bien que mal. Lorsque je me retire je vois de la joie et du contentement en elle : c’est finit et elle a bien résisté. Elle a tenu, certes, mais elle se trompe si elle pense que j’en ai fini avec sa bouche. Je caresse sa chatte qui commence à bien mouiller. Puis j’en veux plus : j’attrape ses cheveux et me branle littéralement dans sa bouche, elle peine déjà bien plus, elle gémit, salive beaucoup.
À ce moment, elle est totalement immobilisée, elle ne peux que subir, et je sens qu’elle est vraiment en train de se dire “je suis sa pute, je ne suis plus que son vide couille”, il faut que je sois vigilant ou elle craquera. Elle est en confiance, je me retire et constate que des petites larmes ont coulé. Après un tel facefuck c’est logique. Mais elle est sereine et me répond lorsque je l’interroge.
Comment te sens-tu ?
Très, très soumise mon Prince.
Qu’est ce que tu es ?
Je suis ta putain.
Bien, je t’aime.
Un peu de leste en moins
Je suis allé loin, son esprit est très impacté et je peux relâcher son corps : je libère donc ses jambes car elle peine beaucoup. Mon esclave me remercie. Je fouette un peu son cul encore avant de détacher ses poignets. Je repasse ses bras devant elle, vérifie que tout va bien côté circulation et les attache au dessus de sa tête. Ainsi redressée et face à moi, je décide d’utiliser le martinet sur tout son corps.
Il s’agit d’un martinet lourd à 9 queues qui impacte plus qu’il ne claque. Il faut vraiment y aller fort pour faire mal, ce n’est pas ce que je souhaite aujourd’hui. Spontanément, elle se met à compter. “Un… Deux… Trois…“. À chaque coups qui s’abat sur elle compte. Je n’ai rien eu à lui dire, elle comprend que l’échauffement est terminé, que je sais comment elle est sensible et que le reste sera mon choix : lui faire mal ou pas, elle doit compter. Je suis très satisfait d’elle, de son comportement à tout niveau et je lui dis.
De nouveau je la récompense : je la lèche. Elle est toujours attachée et pour moi c’est un délice d’alterner humiliation et plaisir, voir d’associer les deux directement.
Deuxième crochet
Je lui dis de se mettre à quatre pattes, je positionne le manche du martinet dans sa gueule, détache ses poignets et la mène jusqu’à la chambre. Je tire sur la chaîne pour la guider, elle ne voit rien toujours rien. Elle est apprivoisée, docile.
On arrive à la chambre, je la lève et lui dit de se mette à genoux. Je la gratifie de quelques caresses dans cette position, puis la fait s’asseoir sur le bord du
lit. De nouveau, je la lèche, mais là elle est plus décontractée. Je décide de passer à la suite des réjouissances et la mets sur ses genoux au milieu du lit, sous le crochet fraîchement posé. Le temps de rattacher ses poignets en l’air, elle s’exclame “tu en as mis partout ?!”. Je prends de nouveau quelques photos, puis la caresse. Au moment de rentrer mes doigts en elle, je lui demande “Je peux ?” Elle acquiesce mais elle est surprise que je demande… Elle me rappelle alors que je ne l’ai pas demandé plus tôt dans le salon, bien que je l’ai doigté. Je présente mes excuses, et lui dit que pour me faire pardonner je ne lui ferait plus mal durant la séance : plus de fouet, plus de martinet, pas de travail des tétons ni des seins… Elle accepte, je la branle puis lubrifie et doigte son cul.
Lui remplir le cul, la faire crier
Je lui explique qu’elle doit mettre le crochet, pour que cela se passe au mieux je décide de la laisser faire. Après avoir préparé un peu son cul, je détache ses mains et lui donne l’instrument de sa dégradation volontaire. Elle le met, il rentre facilement. J’y met une corde et l’attache autour de sa taille. Ça maintient le crochet au fond de son anus et l’empêche de bouger.
Conscient d’être bien trop excité pour la baiser avec force comme je le veux, je me mets du spray retardant. Je lui annonce que je vais l’attacher au mur et lui demande ce qui est le plus humiliant :
Tu serais plus humiliée dos à moi ou face à moi ?
De face je pense
Tu es sûre ?
Oui mon Prince
Mon choix
Naturellement, je l’attache de face. Je place une corde autour de chaque membre, je tends bien ses bras mais laisse les jambes faiblement écartées, sans serrer les liens. La chaîne de son cou est également reliée à un crochet au dessus de sa tête. Ça tire sur sa nuque et la gêne beaucoup, je détends donc un peu : le côté humiliant est toujours là, mais sans gêne physique.
Je la caresse puis la branle fermement. Elle se tortille doucement. Je sors un gros vibromasseur “classique” et le pose contre son clitoris. C’est trop tôt, elle me le dit et je le vois. Je place donc plusieurs couches de tissus entre le jouet et elle. La vibration intense mais diffuse lui fait bientôt lâcher des gémissements. D’une main je maintiens le sextoy, de l’autre je tends les cordes de ses chevilles, ses jambes s’écartent au rythme que j’impose mais elle n’y fait pas attention. La chaleur dans son ventre monte encore et encore. Elle est désormais liée en croix. Elle se tord, se cambre, me remercie.
Je peux enlever le tissu et plaquer l’engin directement contre elle. Elle crie presque, et malgré les attaches elle plaque sa chatte contre le jouet, elle appuie fort : elle a faim ma petite chienne.
Toujours en tenant le vibro contre elle, je détache ses bras, son cou et enlève le crochet de son cul. Je la penche sur le lit, les jambes toujours tenues par les cordes et reliées au mur. Je présente ma queue contre son cul pour lui rappeler que tous ses trous m’appartiennent à ce moment. C’est très serré, elle me demande de ne pas l’enculer : son cul a eu le temps de bien se refermer. Je décide de ne pas forcer, ce serait lui faire très mal à coup sûr et détruire tout le travail d’excitation.
La baiser, enfin
J’enfile un préservatif, c’est actuellement notre moyen de contraception, et m’introduis en elle très fermement. Je la baise avec une brutalité rare, elle se branle, je pose un pied sur le lit et la démonte littéralement tandis qu’elle coule et s’époumone de plaisir. Mon corps claque contre le sien, je reprends le vibro et le plaque contre sa chatte, ce qui la rend encore plus folle. Je suis heureux d’avoir mis du retardant, je peux la prendre comme je le souhaite et nous donner beaucoup de plaisir en la baisant ainsi. Je la laisse tenir le jouet d’une main, je place l’autre dans son dos en la plaquant contre le lit. De mon autre main je saisis ses cheveux et tire dessus intensément, ça lui lève le buste je peux contempler une partie de visage rougie par la friandise qui s’agite en elle. Ça semble ne pas la déranger, elle est vraiment surexcitée.
Elle hurle, se tord contre le vibromasseur mais ne parvient pas à jouir. Moi j’explose en elle pendant qu’elle s’insulte pour moi :
Oui Maître, je suis ta pute, je suis ta putain, je suis ton vide couille ! Rempli moi, rempli ta salope !
L’explosion
Ma soumise me connait bien, elle sait que j’adore, et vraiment je prends un pied incroyable tandis que mon sperme coule dans son ventre. Après mon orgasme, je continue de la baiser.
Elle se branle, crie, puis son corps entier se relâche d’un coup : je comprends qu’elle abandonne. J’arrête de la prendre et me retire. Je profite de la voir ainsi remplie, suintante de son plaisir et du mien. Je la détache, retire sa cagoule, elle se blottit contre moi, pleure et s’excuse. Mon épouse est heureuse, pleine de plaisir, de frissons mais également de frustration. Ma chienne s’en veut de na pas avoir joui, pour moi, m’offrir le spectacle de son orgasme honteux ainsi attachée et malmenée. Elle s’en veut car elle aurait aimé exploser elle aussi. Je lui dit que c’est normal, que c’était très intense mais qu’elle est fatiguée et qu’il faut qu’elle se laisse aller. Nous prolongeons un peu le moment de tendresse, elle ouvre les yeux et elle peut voir les nouvelles lampes que j’ai posé dans la chambre… Elle est ravie.
Je lui amène de l’eau, puis un verre de punch. Elle lit calmement tandis que je vais cuisiner. Nous avons joué pendant plus de 2 heures, et nous sommes heureux.
Si cette fantaisie bdsm vous a plu, vous devriez aimer un autre moment que nous avons vécu : Une soirée de dressage (vraie femme soumise)