Comment faire un lavement anal ?

Le lavement dans le cadre BDSM

Suite à une discussion sur le forum, j’aborde aujourd’hui la question du lavement anal et particulièrement dans le cadre D/s. Il y a ici globalement deux raisons au lavement :

  • Soit le côté humiliant de celui-ci, pratiqué par ou avec la personne dominante (Clystérophilie, klysmaphilie, ou enema en anglais)
  • L’envie de se sentir propre avant une sodomie ou des jeux avec l’anus (doigts, plugs etc)…
  • Ou bien les deux !

Je ne vais pas parler des détails concernant la sodomie, même si c’est intéressant ce n’est pas le sujet du présent article

En quoi ça consiste ?

Schématiquement, le principe est d’injecter de l’eau dans le rectum par l’anus, dans le but d’éliminer les traces de selles. Ce texte n’est pas un conseil médical. Dans divers cas il n’est pas conseillé d’effectuer un lavement : troubles cardiaques sévères, grossesse, intervention chirurgicale récente de l’abdomen, hémorroïdes, fissures anales ou saignements intestinaux par exemple. Si vous avez un doute, abstenez-vous et demandez à un médecin avant.

L’intestin est fait comme ceci, le rectum, notre fameuse salle de jeu est en rouge.

Intestin et rectum

Si on veut être plus précis, réalisons un zoom sur la zone qui nous intéresse :

Rectum expliqué

Il n’est pas nécessaire, ni souhaitable de rincer plus haut en dehors d’un protocole médical établi.

Avec quels outils ?

  • Le Bock à lavement c’est à dire un réservoir, et un tuyau. Il m’est arrivé d’utiliser une casserole et un tuyau souple acheté en magasin de bricolage, le diamètre est à prendre petit et il faut avoir un embout pour la fin par confort et pour éviter les coupures
  • Le sac à lavement, plus ou moins identique au bock, mais en poche souple (image au-dessus)
  • La poire à lavement  (une bien disponible en boutique)Poire à lavement

 

  • D’un point de vue historique, il y a aussi le Clystère  sorte de grosse seringue… Pour des jeux, pourquoi pas, si vous en trouvez !

 

Préparations préalables

Il faut être dans un état d’esprit calme, serein. Sinon les muscles lisses autour de l’anus et plus profondément peuvent se crisper et vous n’obtiendrez rien de bon. Prévoir quand même suffisamment de temps : disons une demi-heure à une heure. Bien plus si vous prévoyez de jouer ensuite.

  • Préparation de la solution de lavage :
    • Prendre 2 litres d’eau.
    • Ajouter environs 18 grammes de sel de table (soit 9 grammes par litre d’eau).
    • Remuer jusqu’à ce que ce soit dissout. Faire chauffer avant ou après, la température doit être proche de 37°C à un degré près en entrant dans le corps
    • Variantes : Certains mettent une poignée de camomille, calmant, à la place (pas essayé). D’autres mettent du lait (ça gaspille un peu, mais je ne vois pas le mal d’un point de vu biologique). D’autres encore du café : attention la muqueuse est perméable, la caféine va rentrer dans le corps de la personne et c’est d’ailleurs le but puisque la caféine dilate les sphincters et rend le tout plus difficile à « retenir ».

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Faire le plein

D’une manière générale, la position dans laquelle on est le mieux c’est « À 4 pattes », on peut également se mettre sur le dos jambes fléchies (pieds sur le sol) ou sur le côté jambes relevées. Durant toute la procédure il faut y aller doucement, et parler en permanence. La personne aura le sentiment d’être remplie, c’est normal. Mais ça ne doit pas être douloureux.

Avec le bock
  • Placer le bock en hauteur, avec l’eau dedans, plus il sera haut plus ça va couler rapidement, trop bas cela sera lent ou même ça peut ne pas couler. Plus votre tuyau est long plus l’eau se refroidira avant de rentrer…
  • Faire couler l’eau pour enlever tout l’air du tuyau
  • Introduire la canule dans l’anus avec un peu de lubrifiant
  • Ouvrir doucement le robinet, puis plus grand. On peut mettre jusqu’à 1 litre.
  • Se masser doucement le ventre si vous voulez
  • Gardez, ou pas, avant de vous libérer aux toilettes, ou ailleurs.

Avec une poire à lavement
  • Appuyer sur la poire pour vider l’air
  • Plonger la canule dans l’eau et relâcher : l’eau rentre dans la poire.
  • Remettez la poire en position verticale et appuyer de nouveau pour enlever l’air, dès que l’eau sort, arrêter
  • Remettre la canule dans l’eau et finir le remplissage (cette étape permet de vider tout l’air de la poire, sinon il y a possibilité de mettre de l’air dans le rectum, et ce n’est pas ce qu’on veut).
  • Introduire la canule dans l’anus, toujours avec du lubrifiant
  • Appuyer doucement sur la poire pour la vider, et remplir la personne
  • Vous pouvez renouveler l’opération, pour remplir de plus en plus, avant de vider.

Vous pouvez faire entre 2 et 4 fois le processus, le but est que ce qui coule soit clair, propre. Restez en contact en permanence, à deux, surveillez le regard les micro-émotions de la personne qui se fait remplir. Parlez, demandez si tout va bien. De l’eau peut sortir pendant une vingtaine de minutes.

soumise attachée en lavement

La mention spéciale « danger »

Certains prennent directement de l’eau, voire utilisent des adaptateurs à mettre sur le tuyau de la douche. Je le déconseille pour plusieurs raisons. Déjà, il me semble compliqué dans ces conditions de bien gérer la 

lavement douche adaptateur

température : trop chaud provoquerait des brûlures, trop froid et c’est la crampe assurée. La pression ensuite : une trop grande pression pourrait faire remonter l’eau et des matières trop haut : rappelez-vous, on vise juste l’entrée. Enfin, une autre trop peu riche en sels minéraux pourrait causer également des crampes.

Je le dis pour d’autres pratiques, c’est le cas ici aussi : pourquoi ne pas essayer sur vous, avant ?

Et le BDSM ?

Pour les bases, c’est tout bon. Mais, et la domination là-dedans ? Pour certain(e)s, subir un lavement sera déjà largement assez humiliant comme ça. Pour d’autres, et c’est au dominant de juger, on peut agrémenter la séance…

  • Faire porter un collier
  • Mettre différents liquides (voir plus haut)
  • Ordonner à la soumise de dire « remplie-moi » avant de le faire
  • Obliger à demander avant de se libérer
  • La regarder pendant qu’elle se vide, voir la tenir par les cheveux comme une chienne. Pour le premier lavement, néanmoins, il peut y avoir une odeur, à vous de voir.
  • L’autoriser à jouir, mais seulement si elle est pleine.
  • La prendre après l’avoir remplie d’eau. Exquis… Elle se concentre pour ne rien perdre pendant que vous barbotez dans une douce chaleur de son cul déjà plein.

lavement soumise japonaise aquarium

 

Le conseil du Dominant malin :

Les poires et autres sont bien moins chères en magasin santé / paramédicale qu’en sexshop de la rue ou sur internet

Si vous avez des questions, des remarques, d’autres idées pour agrémenter l’article : allez y en commentaire, ou bien il y a déjà un post sur notre forum : https://intime-photographie.fr/forums/hygiene-securite-psychologie/la-sodomie-questions-pratiques mais vous pouvez tout à fait en ouvrir un autre.

 

 

 

Soumise attachée au plafond et au mur (vrai récit bdsm)

Introduction avant les introductions

Dans le contrat bdsm encadrant notre jeu bdsm  nous avons décidé que je peux, 4 fois dans l’année, lui dire d’être ma soumise une journée entière. Je lui dis soit en avance, soit immédiatement lorsque ça doit débuter, elle doit accepter -point-. Voici  le vrai  récit, 100% vécu, de la soirée qui a ouvert l’une de ces sessions de 24 heures…

Hier pendant une journée de repos j’ai positionné des crochets un peu partout chez nous (bdsm-gear) : un dans le salon au plafond, un dans notre chambre au plafond et 5 sur le mur au pied du lit, dans notre chambre. Ceux au plafond servent à attacher en hauteur et peuvent permettre des suspensions en shibari et les 5 du mur permettent d’attacher en croix, et de soulever la partenaire dans une moindre mesure. En gros, un peu comme ceci mais sur un mur classique en plâtre et papier peint.

soumise attachée au mur

Le jeu commence

J’étais bien excité à l’idée d’essayer et de lui faire découvrir… Mon épouse était au travail, j’ai décidé de lui envoyer le message suivant, à 18h30.

Dès que tu arriveras tu seras ma soumise. Tu devras me dire quand tu pars du travail et également lorsque tu arriveras en bas de l’immeuble. Tu n’as pas le droit de dépasser notre entrée, j’irais à ta rencontre.

J’ai reçu très rapidement sa réponse :

Bien mon cœur.

Le temps passe un peu, une demi-heure plus tard je reçois le SMS pour me dire qu’elle part. Une vingtaine de minute plus tard elle m’écrit : elle est en bas. Tout est déjà prêt dans l’appartement pour la recevoir dignement. Je suis déjà nu. Il faut dire que cette belle journée d’été est propice à des tenues légères.

J’entends la clef dans la serrure, elle tourne, elle ouvre la porte, je l’embrasse et lui dis de se mettre à genoux en position du collier ou d’exposition. Ma future esclave s’exécute, je retire la chaîne en or qu’elle portait et la remplace par un collier de soumise assez lourd… Elle ne le sait pas, mais le but de cette séance est de l’humilier, et l’inconfort y participe . J’ai donc choisi en conséquence.

Collier et attaches de soumise en inox
Le collier choisi pour la séance et les bracelet pour la suite.

Je câline ma soumise qui se détend, puis lui ordonne de se mettre debout, toujours mains sur la tête. Elle porte une robe portefeuille : idéal pour les jeux que j’ai prévu, j’ai beaucoup de chance. Je l’ouvre, et la déshabille entièrement en la caressant.

La faire briller…

L’heure est venue de placer des menottes à ses poignets, ceux en métal sur la photo juste au dessus, les deux mains attachées ensemble. Je l’emmène ensuite à la salle de bain en la tenant par l’anneau du collier. Je tire fermement dessus afin de lui rappeler ce qu’elle est : une soumise. Une fois dans la baignoire je la lave entièrement, doucement, sensuellement, la rince puis la sèche entièrement. Elle est debout, mains sur la tête en position dite « d’inspection ».

Soumise qui se deshabille on / off et se met en position de soumission

À sa grande surprise, je me mets à genoux et la lèche : l’autre but de la séance est de lui donner du plaisir, malgré l’humiliation. Mon souhait est qu’elle prenne son pied, tout en étant rabaissée, qu’elle mélange ces deux sentiments et s’abandonne totalement. Elle est déjà un peu ouverte, le début de la séance a été doux et excitant pour elle, elle gémit, se tord.

Je retire les bracelets et les remplace par des attaches sur lesquelles on peut tirer sans faire des points de compressions trop durs. En bref, je remplace les bracelets en métal par des bracelets molletonnés.

… puis la dégrader doucement

Nous sommes de retour dans l’entrée, elle ne comprend pas trop car nous sommes passés devant la porte de notre chambre, généralement lieux de prédilection pour ces jeux. Il faut la perturber, elle doit perdre ses repères. Là, je lui enlève un des sens les plus important : la vue, je place une fine cagoule sur sa tête. Il n’y a alors que sa bouche et ses long cheveux blonds qui sortent de la cagoule. Nous échangeons un long baiser tandis qu’elle plonge dans la soumission.

 

Soumise avec cagoule pourbouche ouverte

J’ajoute un harnais de poitrine en cuir. Une lanière passe derrière le cou et une autre passe dans le dos. À l’avant, il donne l’impression d’un soutien-gorge ouvert formé de deux triangles de cuir entourant les seins. Cet tenue sert, habille et fait ressortir la poitrine arrogante de ma chienne. J’applique ensuite un sert-taille léger autour de son ventre, et enfin j’accroche une lourde chaîne à l’anneau de son collier.

Ça ne fait pas un peu beaucoup ? me demande-t-elle

Je lui répond que non, et qu’elle est magnifique ainsi. C’est d’ailleurs vrai, je le pense et la regarde un moment. Par la contrainte et le poids l’abondance de matériels vient renforcer l’humiliation qui débute.

Premier crochet

Comme avec une chienne, je l’emmène dans le salon, elle sent la lourde chaîne la tirer vers le sol. La honte monte doucement en elle… Mains devant elle, j’accroche une barre d’écartement à ses chevilles, puis tire sur la chaîne qu’elle a au cou pour l’attacher au milieu de la barre d’écartement. Elle est donc contrainte à rester penchée en avant. Cette posture écarte légèrement ses fesses, ouvre timidement son cul, sa chatte et impose que cela reste ainsi.

Je ne peux plus me redresser, c’est ça ?

Essaye ma belle.

Et c’est ce qu’elle fait : elle tente de se redresser et constate être bloquée, elle frémit. Je me frotte à elle, la branle. Là je commence à la doigter de mon pouce, c’est pourtant contre nos règles et j’aurais à m’en excuser plus loin dans la séance… Elle semblait suffisamment mouillée et j’ai été emporté par l’élan.

Je continue, elle me parle, me dit si je vais trop vite, trop fort, si je suis trop sur le clitoris. Je suis fier car je me bats pour ça, pour qu’elle parle, pour qu’elle me dise ce qu’elle ressent. Il y a peu, lors d’une séance j’ai dû lui promettre de la gifler à chaque fois qu’elle ferait un soubresaut sans m’expliquer pourquoi elle bougeait. Il faut admettre que cette méthode a donné des résultats très positif pour l’éducation de ma soumise.

chienne soumise penchée et attachée mains en l'air

J’augmente sa honte en passant ses mains dans son dos et en attachant ses poignets en l’air, elle comprend qu’il y a un crochet quelque part en hauteur. Cette posture inconfortable l’oblige à se cambrer, ouvrant encore un peu plus ses orifices. La Belle ne dit pourtant rien, elle suit, elle obéit et elle mouille. Impudique au milieu de son propre salon, ouverte, offerte et prête à souffrir un peu désormais.

Que préfères-tu, fouet, martinet, badine ?

Je… Hum… Je ne sais pas. Lequel fera le moins mal ?

 

Tout dépend de l’utilisation petite pute. Choisi.

Je n’y arrive pas, je ne sais pas.

Dans ce cas, je les prends tous, tu me diras celui que tu auras préféré.

Bien mon Prince

La douleur

Je pars donc dans la chambre et reviens avec les trois objets, plus un paddle offert dans son calendrier de l’après et que nous n’avons pas encore vraiment essayé. C’est le premier à s’abattre sur sa peau, elle trouve que ça claque bien. Je lui demande comment elle se sent, « très humiliés« , « très soumise » me dit-elle. C’est le but, et néanmoins sa chatte suinte : les deux objectifs de la séance sont atteints et je peux poursuivre ainsi.

Je prends quelques photos, elle le sait et ça ajoute à son avilissement. Je lui dis qu’elle est belle, c’est important qu’elle le sache, qu’elle prenne confiance et qu’elle puisse être fière d’être humiliée devant moi.

Ariel Anderssen bound in the spreader bar strappado position, naked and ballgagged

Un peu de fouet maintenant. ** Claque **. Immédiatement elle me dit « 4 ». Nous avons l’habitude au début de la séance qu’elle me dise sur une échelle de 1 à 10 combien elle a mal. Je vois qu’elle a commencé m’aiguiller dès le premier coup, elle est lucide et bien éduquée. Je suis très fier, je lui dis. Elle m’a dit « 4 » et pour le  faible coup qu’elle vient de recevoir, cela veux dire qu’elle est est sensible aujourd’hui. En effet, on a tous des jours ou l’on encaisse et d’autres où l’on est fragile. Elle est fragile, là. Je joue au fouet, puis je passe à la badine, et enfin au martinet à 9 queues. J’y suis allé doucement, la douleur la désexcite assez vite et je veux l’abaisser sans la faire pleurer ni la faire craquer.

La honte de la femme objet

Reprise des caresses, elle est réceptive mais calmée de l’excitation par la douleur. Je décide alors de présenter ma queue à sa bouche.

Allez petite chienne, tu es là pour ça, fais ton boulot

Elle suce comme elle peut, la position n’est pas évidente et elle manque d’amplitude. Ce n’est pas assez pour moi, je bouge donc ma queue en elle. Elle supporte tant bien que mal. Lorsque je me retire je vois de la joie et du contentement en elle : c’est finit et elle a bien résisté. Elle a tenu, certes, mais elle se trompe si elle pense que j’en ai fini avec sa bouche. Je caresse sa chatte qui commence à bien mouiller. Puis j’en veux plus : j’attrape ses cheveux et me branle littéralement dans sa bouche, elle peine déjà bien plus, elle gémit, salive beaucoup.

Soumise à genoux mains dans le dos forcée à sucer son maitre

À ce moment, elle est totalement immobilisée, elle ne peux que subir, et je sens qu’elle est vraiment en train de se dire « je suis sa pute, je ne suis plus que son vide couille », il faut que je sois vigilant ou elle craquera. Elle est en confiance, je me retire et constate que des petites larmes ont coulé. Après un tel facefuck c’est logique. Mais elle est sereine et me répond lorsque je l’interroge.

Comment te sens-tu ?

Très, très soumise mon Prince.

Qu’est ce que tu es ?

Je suis ta putain.

Bien, je t’aime.

Un peu de leste en moins

Femme soumise en lingerie attachée mains en l'air

Je suis allé loin, son esprit est très impacté et je peux relâcher son corps : je libère donc ses jambes car elle peine beaucoup. Mon esclave me remercie. Je fouette un peu son cul encore avant de détacher ses poignets. Je repasse ses bras devant elle, vérifie que tout va bien côté circulation et les attache au dessus de sa tête. Ainsi redressée et face à moi, je décide d’utiliser le martinet sur tout son corps.

Il s’agit d’un martinet lourd à 9 queues qui impacte plus qu’il ne claque. Il faut vraiment y aller fort pour faire mal, ce n’est pas ce que je souhaite aujourd’hui. Spontanément, elle se met à compter. « Un… Deux… Trois…« . À chaque coups qui s’abat sur elle compte. Je n’ai rien eu à lui dire, elle comprend que l’échauffement est terminé, que je sais comment elle est sensible et que le reste sera mon choix : lui faire mal ou pas, elle doit compter. Je suis très satisfait d’elle, de son comportement à tout niveau et je lui dis.

De nouveau je la récompense : je la lèche. Elle est toujours attachée et pour moi c’est un délice d’alterner humiliation et plaisir, voir d’associer les deux directement.

Deuxième crochet

Je lui dis de se mettre à quatre pattes, je positionne le manche du martinet dans sa gueule, détache ses poignets et la mène jusqu’à la chambre. Je tire sur la chaîne pour la guider, elle ne voit rien toujours rien. Elle est apprivoisée, docile.

On arrive à la chambre, je la lève et lui dit de se mette à genoux. Je la gratifie de quelques caresses dans cette position, puis la fait s’asseoir sur le bord du

Soumise à genoux attachée mains en l'air tied_on_knees

lit. De nouveau, je la lèche, mais là elle est plus décontractée. Je décide de passer à la suite des réjouissances et la mets sur ses genoux au milieu du lit, sous le crochet fraîchement posé. Le temps de rattacher ses poignets en l’air, elle s’exclame « tu en as mis partout ?! ». Je prends de nouveau quelques photos, puis la caresse. Au moment de rentrer mes doigts en elle, je lui demande « Je peux ? » Elle acquiesce mais elle est surprise que je demande… Elle me rappelle alors que je ne l’ai pas demandé plus tôt dans le salon, bien que je l’ai doigté. Je présente mes excuses, et lui dit que pour me faire pardonner je ne lui ferait plus mal durant la séance : plus de fouet, plus de martinet, pas de travail des tétons ni des seins… Elle accepte, je la branle puis lubrifie et doigte son cul.

Lui remplir le cul, la faire crier

Je lui explique qu’elle doit mettre le crochet, pour que cela se passe au mieux je décide de la laisser faire. Après avoir préparé un peu son cul, je détache ses mains et lui donne l’instrument de sa dégradation volontaire.  Elle le met, il rentre facilement. J’y met une corde et l’attache autour de sa taille. Ça maintient le crochet au fond de son anus et l’empêche de bouger.

Bourgeoise soumise avec un crochet anal

Conscient d’être bien trop excité pour la baiser avec force comme je le veux, je me mets du spray retardant. Je lui annonce que je vais l’attacher au mur et lui demande ce qui est le plus humiliant : 

Tu serais plus humiliée dos à moi ou face à moi ?

De face je pense

Tu es sûre ?

Oui mon Prince

Mon choix

Naturellement, je l’attache de face. Je place une corde autour de chaque membre, je tends bien ses bras mais laisse les jambes faiblement écartées, sans serrer les liens. La chaîne de son cou est également reliée à un crochet au dessus de sa tête. Ça tire sur sa nuque et la gêne beaucoup, je détends donc un peu : le côté humiliant est toujours là, mais sans gêne physique.

Je la caresse puis la branle fermement. Elle se tortille doucement. Je sors un gros vibromasseur « classique » et le pose contre son clitoris. C’est trop tôt, elle me le dit et je le vois. Je place donc plusieurs couches de tissus entre le jouet et elle. La vibration intense mais diffuse lui fait bientôt lâcher des gémissements. D’une main je maintiens le sextoy, de l’autre je tends les cordes de ses chevilles, ses jambes s’écartent au rythme que j’impose mais elle n’y fait pas attention. La chaleur dans son ventre monte encore et encore. Elle est désormais liée en croix. Elle se tord, se cambre, me remercie.

Soumise nue attachée avec un vibromasseur forcée à jouir

Je peux enlever le tissu et plaquer l’engin directement contre elle. Elle crie presque, et malgré les attaches elle plaque sa chatte contre le jouet, elle appuie fort : elle a faim ma petite chienne.

Toujours en tenant le vibro contre elle, je détache ses bras, son cou et enlève le crochet de son cul. Je la penche sur le lit, les jambes toujours tenues par les cordes et reliées au mur. Je présente ma queue contre son cul pour lui rappeler que tous ses trous m’appartiennent à ce moment. C’est très serré, elle me demande de ne pas l’enculer : son cul a eu le temps de bien se refermer. Je décide de ne pas forcer, ce serait lui faire très mal à coup sûr et détruire tout le travail d’excitation.

La baiser, enfin

femme prise à 4 pattes en shibariJ’enfile un préservatif, c’est actuellement notre moyen de contraception, et m’introduis en elle très fermement. Je la baise avec une brutalité rare, elle se branle, je pose un pied sur le lit et la démonte littéralement tandis qu’elle coule  et s’époumone de plaisir. Mon corps claque contre le sien, je reprends le vibro et le plaque contre sa chatte, ce qui la rend encore plus folle. Je suis heureux d’avoir mis du retardant, je peux la prendre comme je le souhaite et nous donner beaucoup de plaisir en la baisant ainsi. Je la laisse tenir le jouet d’une main, je place l’autre dans son dos en la plaquant contre le lit. De mon autre main je saisis ses cheveux et tire dessus intensément, ça lui lève le buste je peux contempler une partie de visage rougie par la friandise qui s’agite en elle. Ça semble ne pas la déranger, elle est vraiment surexcitée.

Elle hurle, se tord contre le vibromasseur mais ne parvient pas à jouir. Moi j’explose en elle pendant qu’elle s’insulte pour moi :

Oui Maître, je suis ta pute, je suis ta putain, je suis ton vide couille ! Rempli moi, rempli ta salope !

L’explosion

Ma soumise me connait bien, elle sait que j’adore, et vraiment je prends un pied incroyable tandis que mon sperme coule dans son ventre. Après mon orgasme, je continue de la baiser.

Blonde soumise attachée cul en l'air et défoncée

Elle se branle, crie, puis son corps entier se relâche d’un coup : je comprends qu’elle abandonne. J’arrête de la prendre et me retire. Je profite de la voir ainsi remplie, suintante de son plaisir et du mien. Je la détache, retire sa cagoule, elle se blottit contre moi, pleure et s’excuse. Mon épouse est heureuse, pleine de plaisir, de frissons mais également de frustration. Ma chienne s’en veut de na pas avoir joui, pour moi, m’offrir le spectacle de son orgasme honteux ainsi attachée et malmenée. Elle s’en veut car elle aurait aimé exploser elle aussi. Je lui dit que c’est normal, que c’était très intense mais qu’elle est fatiguée et qu’il faut qu’elle se laisse aller. Nous prolongeons un peu le moment de tendresse, elle ouvre les yeux et elle peut voir les nouvelles lampes que j’ai posé dans la chambre… Elle est ravie.

Je lui amène de l’eau, puis un verre de punch. Elle lit calmement tandis que je vais cuisiner. Nous avons joué pendant plus de 2 heures, et nous sommes heureux.

After care avec soumise calin

Si cette fantaisie bdsm vous a plu, vous devriez aimer un autre moment que nous avons vécu  : Une soirée de dressage (vraie femme soumise)

Soumise mise à l’abattage (vidéos bdsm et photos)

Sur des forums, tchats et en vidéo on voit souvent ce terme. Mais qu’est ce que ça veut dire ? On parle souvent d’humiliation publique (public humiliation en version anglaise.) Pour certains c’est un fantasme,  pour d’autres un but à atteindre, une crainte ultime ou un frisson d’un soir… Voyons ensemble deux grandes conceptions :

Qu’est ce qu’une soumise à l’abattage ?

1-La femme bien baisée

On parle ici de l’aboutissement d’un fantasme de femme qui veut être prise rudement par plusieurs hommes, un genre de gang bang mais avec une notion BDSM : la modèle est soumise. Concrètement les hommes sont néanmoins là pour son plaisir à elle, des règles sont clairement établies et rarement la soumise a mal. Les hommes y trouvent leur compte du fait d’une situation excitante, un « vide couille » à disposition. Et puis, il s’agit de montrer qui est le plus fort et qui fera bien crier cette salope !

gang bang squirt
Mise à l’abattage version « vanille » : elle prend bien son pied !

En dehors d’une situation « inhabituelle » et du fait que les hommes soient masqués et rarement la femme, il y a très peu d’humiliation, et globalement aucune prise de risque pour la soumise si c’est géré correctement. En quelques mots, c’est un gang bang mais avec une tenue de soumise. Après on peut trouver humiliant de se faire gicler dedans ou dessus pas 10 bonshommes, mais c’est assumé.

Illustration avec cette vidéo d’une femme française mise à l’abattage tel que je viens de le décrire, elle nous dit clairement « je suis contente et consentante »

 

2- La femme esclave ultime

Bon, ces 5 là ont l’air de pouvoir passer une bonne soirée

Au mieux, là, on utilise le terme abattage dans ce qu’il a de plus direct : le principe est d’être baisée « à la chaîne » par un grand nombre d’hommes. Dans l’idée, plus il y en a mieux c’est.

La spécificité : l’esclave est absolument sans volonté, elle acceptera tout, de tous. Oubliez totalement la notion de limite (checklist) et de safeword Et là j’y vois une possibilité d’abus. La possibilité ? Pas vraiment. Je ne sais pas comment le dire, car ce n’est plus ici une possibilité mais un but à atteindre : qu’on fasse à une personne non pas ce qu’elle aimerait, ou même ce avec quoi elle est d’accord, mais ce qu’on veut d’elle. Il s’agit de faire en sorte non pas qu’elle veuille tout, mais qu’elle ne veuille plus rien : une poupée 

de chair, à baiser, remplir, vider, maltraiter et bien d’autre.

Au quotidien à deux, on observe déjà fréquemment des contradictions entre les envies de l’un et les limites de l’autre. À 20 mâles venus pour défoncer de la salope soumise, j’imagine difficilement qu’on n’atteigne pas les limites de l’objet à souiller. Sauf si, en effet, il n’en a plus aucune… Ce qui me semble impossible : nous sommes humains, nous avons une intégrité physique, psychologique et psychique à préserver pour vivre correctement. Si c’est excitant à lire dans une BD, nous sommes bien différents.

Top départ

Soumise démontée en forêt. Ça vous tente ? Et si on propose aux chasseurs du coin de venir vous baiser aussi ?

Une fois attachée et ouverte, il n’est plus question de donner son avis. Au mieux et avec des personnes responsables et censées, La soumise cesse d’être une femme pour être déshumanisée et devenir des trous à remplir. Le plus souvent, ça impliquera d’être un sac à foutre, à urine, à salive, à crachats… Les scènes se déroulent parfois à l’extérieur, en ville, en forêt, afin de donner un rôle aux passants.

On monte en gamme, mais on reste dans une bonne soirée pour le moment !

La personne sera également violentée : gifles, torture des seins, étirement des lèvres : soit pour se faire plaisir, se défouler, soit pour la rendre plus dociles ou encore pour montrer à cette pute qu’elle n’est plus rien, que même à ces outrages ultimes elle ne bronche plus. L’humiliation est permanente, et à tous niveaux. Tout comme le risque réel pour la soumise.

Il y a des productions spécialisées dans ce type de film…

Etes vous prêtes à ça ?

Être montrée dehors, stop ou encore ?
Si on veut vous ouvrir le cul à ce point, et tirer vos lèvres ? Partante ?
Bon, ça je le fais à la maison, mais devant 15 ou 20 types… C’est différent.
Là déjà, ça devient pas évident à assumer.

Dans un « bon » cas, ça peut donner ça : le cul rempli de foutre par une dizaine d’homme.

Un but à atteindre ?

Chaque binôme / couple possède ses propres règles, ses propres envies, ses propres besoins. Pour certains, souvent novices, l’abattage est une fin, un but à atteindre. Dans la plupart des cas, je pense surtout que l’abattage est la forme la plus aboutie de manipulation d’une personne à qui on a fait croire que c’était bien de faire ça, qu’ensuite elle serait une esclave / personne accomplie. Une fois arrivée à ce stade, la personne est complètement endoctrinée, c’est le but. Du coup pourquoi le dominant ne pousserait pas encore un peu : scatologie, zoophilie, piercing, scalpel, dégradation publique, pourquoi pas devant ses proches ? Le risque d’une fuite en avant dans la dégradation de sa « chose » est réel.

Et souvent le pire

J’ai déjà vu (en vidéo) des femmes traînées par les cheveux dans la pisse et le foutre. Il y a également les clichées racistes, souvent une jolie blonde Blanche complètement détruite par des Noirs. Ne pas utiliser de préservatif est une technique d’humiliation… Et fréquemment des violences difficilement tenable. Si l’humiliation est souvent présente en BDSM, elle généralement contrôlée, avec peu de participant, là c’est bien autre chose. Pensez à ce que vous êtes capable d’assumer le reste de votre vie. Voyez cette annonce :

Je cherche des mecs sans scrupules pour mettre ma femme à l’abattage (caves, cités, parkings souterrains, chantiers, foyers). 
Par contre étant un peu récalcitrante elle à besoin d’être travaillée intensivement dans un pavillon isolé en banlieue parisienne (tabassages, tortures, viols, sodomies). 
Ma demande est réelle et très sérieuse. Je vous demande donc de la discrétion. 
Si ma femme vous intéresse contactez moi rapidement.

Et si on veut essayer ?

Ça rentre plutôt pour la catégorie fantasme et la première description de l’abattage, mais j’ai repéré deux sites qui pourraient vous aider à réaliser certains de vos fantasmes. Nous ne les avons pas essayé mais on en entend du bien :

Je suis à votre écoute pour toutes vos remarques, avis. Si vous avez un témoignage à faire, je suis preneur !

Journal d’une soumise 7 (soumise attachée dans les bois)

Bonjour à tous,

Dans ce nouvel épisode du journal d’une soumise, je vous parlerai de la réalisation d’une action de notre jeu pour soumise.

L’action

57 – Promenons-nous dans les bois

Nous allons aller dehors, chez nous, en forêt ou ailleurs et tu seras attachée nue à un arbre.

Au début de ce blog, j’avais montré les photos de ce moment de ma belle salope soumise attachée à un arbre. Je l’avais assez rudement fouettée, comme en témoignent les marques. Réalisées un 30 décembre… Je vous laisse imaginer : les tétons pointaient bien !

Voici ce qu’elle écrit dans son journal, et mes réponses :

Son journal de soumise

Lorsque j’ai pioché cette action, j’ai pensé que ça pouvait être plus ou moins difficile, en fonction de toi et de ce que tu souhaitais faire.

Je n’ai eu aucune difficulté avant l’action, nous avions le temps.

Ce que j’ai aimé ? Ça a été très difficile pour moi. À la rigueur, j’ai aimé que tu ai mis ton manteau chaud sur moi avant de m’attacher et après avoir défait les liens. Et aussi que tu te sois soucié de savoir si j’avais froid pendant.

Ce que je n’ai pas aimé : l’action était vraiment très longue. Et même quand j’ai cru que c’était fini, après le fouet et une fois mes poignets libérés, quand tu m’as fait m’allonger parterre, nue, c’était dur.

Ce que j’aurai aimé en plus : j’aurai bien évidemment aimé que ce soit moins dur.

Ce que j’ai pensé de mon comportement : J’ai pensé que j’avais fait vraiment de mon mieux.

Là n’est pas vraiment la question Princesse.

Je pense que je me suis bien comportée, d’après ce que je me souviens.

Difficulté avant : 0/5.

Difficulté pendant : 5/5 (le froid, le fouet)

L’humiliation : 5/5

Qu’est ce que tu as trouvé humiliant ?

Être attachée nue, et puis le moment ou tu m’as demandé de m’allonger par terre, sur le sol gelée, humide, comme une chienne.

Ma fierté après : 4/5

À quel point j’aimerai le refaire : 0/5

Cette nouvelle tranche de vie est terminée, qu’en avez vous pensez ? Avez vous déjà vécu quelque chose de similaire en tant que Dominant ou soumise ?

À très bientôt :)