Soumise offerte par son Maître (Vraie histoire BDSM)

Le récit d’aujourd’hui, celui d’une soumise offerte, est présentée par mademois_elle_x. Il était sur instagram, je l’ai trouvé honnête, beau, intense. Et doux, quelque part.

Elle a accepté que je le publie ici pour vous, ce sont ses photographies, si vous voulez voir d’autres partages, sa page Instagram est ici https://www.instagram.com/mademois_elle_x/

J’ajoute des informations sur l’auteur à la fin. Merci à elle. Voici donc une soumise offerte :

soumise à genoux mains dans le dos attachées

Première présentation en tant que soumise

Le temps s’écoule doucement. Je me prépare sous ses indications, nous allons sortir, Maître me veut jolie, comme d’habitude dirais-je mais ce soir là-, encore plus.
Il choisit mes dessous et je prépare mes bas. J’aime bien les bas. Cela me permet de mettre en valeur mes jambes et me fait sentir l’air frais passer sous ma robe. Je ressens encore plus le fait d’être ouverte et disponible.
Il est un peu plus de 22 heures et nous allons sortir. J’ai enfilé ma robe en dentelle couleur bordeaux, je l’aime bien cette robe. Ce soir je me regarde dans le miroir je me sens femme, je me sens belle. Maître me regarde, je me maquille, il m’inspecte et veille à ce que je sois parfaite. Je me dois de l’être. Être à la hauteur de mon Maître et le rendre fier.

L’Uber est là, nous allons partir…
Après 10 minutes de voiture en sa compagnie, nous arrivons dans un bar assez jeune, comme les bars que je fréquente avec mes ami(e)s. J’ai mon collier autour du cou, large bout de métal qui entoure mon cou et qui me rappelle à chaque instant que je suis sienne.
Les gens nous scrutent, nous regardent, je suis si fière…

Fière d’être à lui, de pouvoir l’assumer.

Je ne dis pas que c’est facile, mais cette sensation ou pour moi se mélange la provocation envers autrui et l’humilité envers mon Maître me satisfait.

Il n’y a pas de place à l’intérieur, nous nous installons dehors. Il fait froid, mais mon corps brûle d’excitation. Maître me laisse pour aller nous chercher un verre. Je l’attends.
L’attente me paraît longue et le froid n’est pas agréable mais je suis en plénitude, là à ma place, avec lui, à l’attendre. 1 minutes… 5 minutes… 10 minutes… je ne sais pas. Le temps, pendant ces moments-là, se fige, et j’aime cette bulle qui m’englobe et me fait profiter de l’instant présent.

Puis Maître revient, je dessine un sourire sur mes lèvres. Il reprend sa place à côté de moi et nous discutons quelques instants. Des mots, des sourires, le regard baissé, j’écoute…

Soumise en collier tête haute

 

« Nous ne sommes pas là par hasard »

Une phrase, une seule qui me traverse, m’intrigue, m’excite et me terrifie.

J’écoute les instructions de Maître.
Aller à la rencontre d’un Dominant qui est là, nous observe… Me présenter, pour la première fois. Être à ma place et la respecter. J’ai peur. Peur de ne pas remplir mes devoirs, peur de paraître ridicule aux yeux de ce Dominant et surtout aux yeux de mon Maître.
J’ai les instructions : un homme en costume dans le bar avec une pince sur sa cravate. 
Maître me soutient, je le sais, il ne le montre pas mais je le sais qu’il croit en moi, je ne dois pas le décevoir.Alors, j’entre dans le bar mes pas ne sont pas assurés mais j’ai hâte. Je me sens tellement petite, insignifiante. J’inspecte et je cherche. Je le vois, doucement je m’approche. Monsieur est dos à moi. Je veux montrer ma présence, je ne dois pas avoir peur, je vais prouver celle que je suis.
Je me positionne face à lui et d’une voix aussi assurée que tremblante je me cite…

Un silence.

Je le vois faire tourner son verre dans ses mains.

Monsieur me pose plusieurs questions, il veut me connaître, connaître ma motivation, ma dévotion et je suis prête. Prête à montrer que je ne joue pas. Que j’ai conscience de ma condition et des conséquences qui en découlent.
Monsieur s’interroge sur mes expériences passées et sur mes capacités de soumise. Toujours les yeux baissés je réponds. Il me donne l’autorisation de les lever, de le regarder. J’obéis, non pas sans difficultés mais j’obéis.

À ce moment, Maître nous retrouve. J’ai appris un peu avant qu’il est là à nous observer depuis un petit moment. Maître et Monsieur discutent entre eux. J’attends…
Monsieur nous dit qu’on va y aller… Ou je ne sais pas… L’excitation et la crainte se mélangent…

Un Uber arrive et je suis assise entre Maître et Monsieur. Monsieur me demande d’écarter les jambes, j’ai peur. Je sens ma respiration s’accélérer. J’ai peur, non pas de ce qu’il va m’arriver mais peur de décevoir.

 
femme soumise 4 pattes penchée

C’est le grand jour.

La première sortie, la première fois que Maître me présente. Je suis Sienne je ne dois pas le décevoir, je dois garder ma place et montrer l’éducation qu’il m’enseigne au quotidien.

 
Ma peur est là, je veux qu’il soit fier. La voiture s’arrête, nous sortons. Dans la rue, il fait nuit. Il pleut et je sens le froid de la nuit m’envelopper. Je ne suis plus là. Mon esprit est concentré, je ne réfléchis plus. J’attends un ordre, une consigne… J’obéis.
Dans une ruelle dos à un mur Monsieur m’inspecte. Jambes écartées, robe relevée. Monsieur me fait retirer mon string noir et rouge. Je n’en ai pas besoin, c’est vrai. Je dois rester ouverte et disponible.Monsieur me scrute et je sens le regard de Maître sur moi. Monsieur passe sa main sur mon sexe, j’ai chaud, je ne sens plus le froid. Il met 1 doigt en moi et me caresse. Je sens mon corps se raidir d’excitation. Mon excitation est à un stade jusque là encore inconnu.Je ne me contrôle pas et j’aime cette perte de contrôle de mon corps. J’attends accroupi dans la rue, le sexe dénudé. Je suis heureuse, mon Maître m’offre je vais être digne de cette offrande qu’il fait à Monsieur. Je suis Sienne, je suis sa soumise.

Il sera fier.

 
Nous repartons…
Nous rentrons dans l’appartement de Monsieur.
Debout dans l’entrée, j’attends. Maître m’enlève ma veste, me dit d’attendre. Je suis debout. Je ne cerne pas très bien leur discussion. De toute manière, je n’ai pas à les écouter. Telle une statue je patiente. Maître m’appelle, me dit de venir. Près du canapé un coussin par terre je comprends que je dois être à genoux.

Je reste de marbre je ne bouge pas. Ce n’est pas compliqué, étonnament je me surprend à rester immobile et j’aime ça. Une laisse attachée à mon collier. Je suis mise nue, ne reste que mon soutien-gorge. Je marche à quatre pattes jusqu’au pied de Maître jusqu’à ma place. Je suis bien.

Les hommes discutent, parlent de moi comme si je n’étais pas là. Et c’est vrai. Mon corps est là physiquement, mon esprit est ailleurs, je cherche à garder au mieux ma place de soumise je suis concentrée. Tout cela n’est pas joué, c’est même plutôt naturel cet état. Je suis bien. J’ai envie de sourire, je ne bouge pas.

soumise en laisse à 4 pattes

 

Je suis heureuse.

Monsieur me prend la laisse et m’emmène. Je suis fière de marcher à quatre pattes. Je me concentre. Il faut que je reste gracieuse à quatre pattes.
On me dit de me mettre debout. Face à moi une table avec divers instruments posés dessus. Je distingue un martinet et une cravache. Monsieur m’avait précisé au bar, que la cravache est son instrument favori.
J’ai peur, je ne connais pas bien la cravache. Je dois rester concentrée. Monsieur m’attache les mains à chaque coin de la table. Je dois me cambrer…

Tenant la position Monsieur m’explique, ce qui va se passer, me demande si je comprends. Monsieur me précise aussi que le NON chez lui veut dire NON. Il n’y a pas de mot d’alerte.
Je sais à ce moment précis que je ne dois pas perdre le contrôle de mon esprit. Parfois le non est tellement soudain. Maître continue de me regarder. Je dois être forte. Je vais avoir mal, je le veux. Du plus profond de moi, je veux montrer que je ne joue pas, je ne suis pas là pour réaliser un fantasme.

Je suis là parce que je dois être là.

C’est ma place.

Monsieur débute les coups. Le premier est surprenant mais pas insupportable. Mon mental est là je dois et je veux tenir coûte que coûte. J’aime sentir les coups s’accélérer : le martinet, la cravache. Les mots de Monsieur sont importants, le regard de Maître l’est tout autant. Je ne dois pas montrer ma douleur, même si à ce jour elle me paraît minime. Je ne dois pas montrer ma peur, ma crainte.

Après des échanges vifs et intenses de coups maîtrisés, Maître a décidé de stopper les coups, pour une première, c’était déjà bien. J’avais peur, qu’il arrête, par déception, de ne pas avoir été à la hauteur…
A ce moment-là, un regard, un échange, j’ai lu dans les yeux de Maître qu’il était satisfait. Pas besoin de grands discours, notre connexion nous permet de nous comprendre. Et j’ai su.

selfie de soumise en tenue

 

Je suis retournée m’agenouiller sur le coussin mains dans le dos. Maître et Monsieur ont continué de discuter. Cette position me plaît beaucoup. J’aime être là, telle une statue que l’on expose, que l’on regarde. Je me suis même surprise à ne pas bouger, ni même gigoter. Faisant abstraction de la douleur et de l’engourdissement, je me sentais belle. Dans mon monde, dans ma bulle, dans ma soumission. ABSOLUE… TOTALE…

Le reste de la soirée s’est déroulé à merveille. Pas de longs discours sur la suite de la soirée. C’est entre nous…

Ma première soirée de soumise… il y a un an déjà. Je débutais dans ce monde. J’ai évolué… j’ai grandi…

Un bonheur d’une grandeur inégalable.
Cela restera gravé en moi toute ma vie.

⛓// Je suis soumise, je suis moi… Je suis une soumise offerte //⛓

soumise blonde visage cachée

Qui est l’auteur ?

Sa bio insta : Sans identité mais pas sans conviction. Le bonheur dans l’asservissement. Ma place, là où je me sens revivre

Le plus important n’est pas ce que l’on est mais ce que l’on choisit d’être…
Mes interrogations ont commencées très jeunes mais je ne comprenais pas…
Pourquoi j’étais différentes… pourquoi je n’aimais pas les princes charmants comme les petites filles de mon âge ? Moi ce qui me donnait des chatouilles dans le ventre c’était les méchants. Ressentir la crainte du danger telle une proie mais l’envie incandescente de jouer avec le feu pour se brûler les ailes.

Je me rappelle encore de cette scène de film, cette jeune fille kidnappée, se tenant à genoux enchaînée. Je voulais sa place.

En grandissant j’ai fait mes expériences parfois désastreuses, parfois fortes en prise de conscience.

Je me suis posée 1000 questions. Pourquoi suis-je différente ? Pourquoi je n’arrive pas à me contenter d’une vie vanille comme les gens normaux ? MAIS QU’EST-CE QUE LA NORMALITÉ ?
Suis je si différente alors que moi je sais ce qui me permettra de m’épanouir et d’être heureuse ?
Mon masochisme me transforme et me transporte dans une extase indéfinissable.

Le besoin de me soumettre m’a appris à accepter mon MOI intérieur. Je me suis écoutée… tout simplement.

selfie de soumise en tenue

 
Aujourd’hui j’ai 27 ans et je me suis posée les bonnes questions. J’ai trouvé mes réponses, la chance d’être sous collier et de me sentir apaiser à ses pieds… J’ai cette chance de m’être découverte tôt et sais qu’un monde s’ouvre à moi.

J’aime cette place, je me sens grandit quand je suis à genoux, femme quand je porte ce collier et belle dans l’attente. La soumission m’a permis de prendre confiance en moi même si le chemin sera encore long… au même niveau que mon éducation dans ce monde.J’ai la chance d’avoir été libre de choisir de m’épanouir dans l’asservissement. Je me sens femme, je me sens belle, je me sens MOI.

Aujourd’hui sous collier et comblée, je me languis de chaque rencontre. Ma peau tremble au son de sa voix et mon regard rempli de dévotion se perd dans le sien. Ma folie est à la hauteur de sa perversion.

Sienne et satisfaite. Chaque jour je me rends compte de la chance que j’ai de m’être trouvée. Chaque jour je me rends compte de la chance que j’ai d’être Sienne.

Soumise attachée au plafond et au mur (vrai récit bdsm)

Introduction avant les introductions

Dans le contrat bdsm encadrant notre jeu bdsm  nous avons décidé que je peux, 4 fois dans l’année, lui dire d’être ma soumise une journée entière. Je lui dis soit en avance, soit immédiatement lorsque ça doit débuter, elle doit accepter -point-. Voici  le vrai  récit, 100% vécu, de la soirée qui a ouvert l’une de ces sessions de 24 heures…

Hier pendant une journée de repos j’ai positionné des crochets un peu partout chez nous (bdsm-gear) : un dans le salon au plafond, un dans notre chambre au plafond et 5 sur le mur au pied du lit, dans notre chambre. Ceux au plafond servent à attacher en hauteur et peuvent permettre des suspensions en shibari et les 5 du mur permettent d’attacher en croix, et de soulever la partenaire dans une moindre mesure. En gros, un peu comme ceci mais sur un mur classique en plâtre et papier peint.

soumise attachée au mur

Le jeu commence

J’étais bien excité à l’idée d’essayer et de lui faire découvrir… Mon épouse était au travail, j’ai décidé de lui envoyer le message suivant, à 18h30.

Dès que tu arriveras tu seras ma soumise. Tu devras me dire quand tu pars du travail et également lorsque tu arriveras en bas de l’immeuble. Tu n’as pas le droit de dépasser notre entrée, j’irais à ta rencontre.

J’ai reçu très rapidement sa réponse :

Bien mon cœur.

Le temps passe un peu, une demi-heure plus tard je reçois le SMS pour me dire qu’elle part. Une vingtaine de minute plus tard elle m’écrit : elle est en bas. Tout est déjà prêt dans l’appartement pour la recevoir dignement. Je suis déjà nu. Il faut dire que cette belle journée d’été est propice à des tenues légères.

J’entends la clef dans la serrure, elle tourne, elle ouvre la porte, je l’embrasse et lui dis de se mettre à genoux en position du collier ou d’exposition. Ma future esclave s’exécute, je retire la chaîne en or qu’elle portait et la remplace par un collier de soumise assez lourd… Elle ne le sait pas, mais le but de cette séance est de l’humilier, et l’inconfort y participe . J’ai donc choisi en conséquence.

Collier et attaches de soumise en inox
Le collier choisi pour la séance et les bracelet pour la suite.

Je câline ma soumise qui se détend, puis lui ordonne de se mettre debout, toujours mains sur la tête. Elle porte une robe portefeuille : idéal pour les jeux que j’ai prévu, j’ai beaucoup de chance. Je l’ouvre, et la déshabille entièrement en la caressant.

La faire briller…

L’heure est venue de placer des menottes à ses poignets, ceux en métal sur la photo juste au dessus, les deux mains attachées ensemble. Je l’emmène ensuite à la salle de bain en la tenant par l’anneau du collier. Je tire fermement dessus afin de lui rappeler ce qu’elle est : une soumise. Une fois dans la baignoire je la lave entièrement, doucement, sensuellement, la rince puis la sèche entièrement. Elle est debout, mains sur la tête en position dite “d’inspection”.

Soumise qui se deshabille on / off et se met en position de soumission

À sa grande surprise, je me mets à genoux et la lèche : l’autre but de la séance est de lui donner du plaisir, malgré l’humiliation. Mon souhait est qu’elle prenne son pied, tout en étant rabaissée, qu’elle mélange ces deux sentiments et s’abandonne totalement. Elle est déjà un peu ouverte, le début de la séance a été doux et excitant pour elle, elle gémit, se tord.

Je retire les bracelets et les remplace par des attaches sur lesquelles on peut tirer sans faire des points de compressions trop durs. En bref, je remplace les bracelets en métal par des bracelets molletonnés.

… puis la dégrader doucement

Nous sommes de retour dans l’entrée, elle ne comprend pas trop car nous sommes passés devant la porte de notre chambre, généralement lieux de prédilection pour ces jeux. Il faut la perturber, elle doit perdre ses repères. Là, je lui enlève un des sens les plus important : la vue, je place une fine cagoule sur sa tête. Il n’y a alors que sa bouche et ses long cheveux blonds qui sortent de la cagoule. Nous échangeons un long baiser tandis qu’elle plonge dans la soumission.

 

Soumise avec cagoule pourbouche ouverte

J’ajoute un harnais de poitrine en cuir. Une lanière passe derrière le cou et une autre passe dans le dos. À l’avant, il donne l’impression d’un soutien-gorge ouvert formé de deux triangles de cuir entourant les seins. Cet tenue sert, habille et fait ressortir la poitrine arrogante de ma chienne. J’applique ensuite un sert-taille léger autour de son ventre, et enfin j’accroche une lourde chaîne à l’anneau de son collier.

Ça ne fait pas un peu beaucoup ? me demande-t-elle

Je lui répond que non, et qu’elle est magnifique ainsi. C’est d’ailleurs vrai, je le pense et la regarde un moment. Par la contrainte et le poids l’abondance de matériels vient renforcer l’humiliation qui débute.

Premier crochet

Comme avec une chienne, je l’emmène dans le salon, elle sent la lourde chaîne la tirer vers le sol. La honte monte doucement en elle… Mains devant elle, j’accroche une barre d’écartement à ses chevilles, puis tire sur la chaîne qu’elle a au cou pour l’attacher au milieu de la barre d’écartement. Elle est donc contrainte à rester penchée en avant. Cette posture écarte légèrement ses fesses, ouvre timidement son cul, sa chatte et impose que cela reste ainsi.

Je ne peux plus me redresser, c’est ça ?

Essaye ma belle.

Et c’est ce qu’elle fait : elle tente de se redresser et constate être bloquée, elle frémit. Je me frotte à elle, la branle. Là je commence à la doigter de mon pouce, c’est pourtant contre nos règles et j’aurais à m’en excuser plus loin dans la séance… Elle semblait suffisamment mouillée et j’ai été emporté par l’élan.

Je continue, elle me parle, me dit si je vais trop vite, trop fort, si je suis trop sur le clitoris. Je suis fier car je me bats pour ça, pour qu’elle parle, pour qu’elle me dise ce qu’elle ressent. Il y a peu, lors d’une séance j’ai dû lui promettre de la gifler à chaque fois qu’elle ferait un soubresaut sans m’expliquer pourquoi elle bougeait. Il faut admettre que cette méthode a donné des résultats très positif pour l’éducation de ma soumise.

chienne soumise penchée et attachée mains en l'air

J’augmente sa honte en passant ses mains dans son dos et en attachant ses poignets en l’air, elle comprend qu’il y a un crochet quelque part en hauteur. Cette posture inconfortable l’oblige à se cambrer, ouvrant encore un peu plus ses orifices. La Belle ne dit pourtant rien, elle suit, elle obéit et elle mouille. Impudique au milieu de son propre salon, ouverte, offerte et prête à souffrir un peu désormais.

Que préfères-tu, fouet, martinet, badine ?

Je… Hum… Je ne sais pas. Lequel fera le moins mal ?

 

Tout dépend de l’utilisation petite pute. Choisi.

Je n’y arrive pas, je ne sais pas.

Dans ce cas, je les prends tous, tu me diras celui que tu auras préféré.

Bien mon Prince

La douleur

Je pars donc dans la chambre et reviens avec les trois objets, plus un paddle offert dans son calendrier de l’après et que nous n’avons pas encore vraiment essayé. C’est le premier à s’abattre sur sa peau, elle trouve que ça claque bien. Je lui demande comment elle se sent, “très humiliés“, “très soumise” me dit-elle. C’est le but, et néanmoins sa chatte suinte : les deux objectifs de la séance sont atteints et je peux poursuivre ainsi.

Je prends quelques photos, elle le sait et ça ajoute à son avilissement. Je lui dis qu’elle est belle, c’est important qu’elle le sache, qu’elle prenne confiance et qu’elle puisse être fière d’être humiliée devant moi.

Ariel Anderssen bound in the spreader bar strappado position, naked and ballgagged

Un peu de fouet maintenant. ** Claque **. Immédiatement elle me dit “4”. Nous avons l’habitude au début de la séance qu’elle me dise sur une échelle de 1 à 10 combien elle a mal. Je vois qu’elle a commencé m’aiguiller dès le premier coup, elle est lucide et bien éduquée. Je suis très fier, je lui dis. Elle m’a dit “4” et pour le  faible coup qu’elle vient de recevoir, cela veux dire qu’elle est est sensible aujourd’hui. En effet, on a tous des jours ou l’on encaisse et d’autres où l’on est fragile. Elle est fragile, là. Je joue au fouet, puis je passe à la badine, et enfin au martinet à 9 queues. J’y suis allé doucement, la douleur la désexcite assez vite et je veux l’abaisser sans la faire pleurer ni la faire craquer.

La honte de la femme objet

Reprise des caresses, elle est réceptive mais calmée de l’excitation par la douleur. Je décide alors de présenter ma queue à sa bouche.

Allez petite chienne, tu es là pour ça, fais ton boulot

Elle suce comme elle peut, la position n’est pas évidente et elle manque d’amplitude. Ce n’est pas assez pour moi, je bouge donc ma queue en elle. Elle supporte tant bien que mal. Lorsque je me retire je vois de la joie et du contentement en elle : c’est finit et elle a bien résisté. Elle a tenu, certes, mais elle se trompe si elle pense que j’en ai fini avec sa bouche. Je caresse sa chatte qui commence à bien mouiller. Puis j’en veux plus : j’attrape ses cheveux et me branle littéralement dans sa bouche, elle peine déjà bien plus, elle gémit, salive beaucoup.

Soumise à genoux mains dans le dos forcée à sucer son maitre

À ce moment, elle est totalement immobilisée, elle ne peux que subir, et je sens qu’elle est vraiment en train de se dire “je suis sa pute, je ne suis plus que son vide couille”, il faut que je sois vigilant ou elle craquera. Elle est en confiance, je me retire et constate que des petites larmes ont coulé. Après un tel facefuck c’est logique. Mais elle est sereine et me répond lorsque je l’interroge.

Comment te sens-tu ?

Très, très soumise mon Prince.

Qu’est ce que tu es ?

Je suis ta putain.

Bien, je t’aime.

Un peu de leste en moins

Femme soumise en lingerie attachée mains en l'air

Je suis allé loin, son esprit est très impacté et je peux relâcher son corps : je libère donc ses jambes car elle peine beaucoup. Mon esclave me remercie. Je fouette un peu son cul encore avant de détacher ses poignets. Je repasse ses bras devant elle, vérifie que tout va bien côté circulation et les attache au dessus de sa tête. Ainsi redressée et face à moi, je décide d’utiliser le martinet sur tout son corps.

Il s’agit d’un martinet lourd à 9 queues qui impacte plus qu’il ne claque. Il faut vraiment y aller fort pour faire mal, ce n’est pas ce que je souhaite aujourd’hui. Spontanément, elle se met à compter. “Un… Deux… Trois…“. À chaque coups qui s’abat sur elle compte. Je n’ai rien eu à lui dire, elle comprend que l’échauffement est terminé, que je sais comment elle est sensible et que le reste sera mon choix : lui faire mal ou pas, elle doit compter. Je suis très satisfait d’elle, de son comportement à tout niveau et je lui dis.

De nouveau je la récompense : je la lèche. Elle est toujours attachée et pour moi c’est un délice d’alterner humiliation et plaisir, voir d’associer les deux directement.

Deuxième crochet

Je lui dis de se mettre à quatre pattes, je positionne le manche du martinet dans sa gueule, détache ses poignets et la mène jusqu’à la chambre. Je tire sur la chaîne pour la guider, elle ne voit rien toujours rien. Elle est apprivoisée, docile.

On arrive à la chambre, je la lève et lui dit de se mette à genoux. Je la gratifie de quelques caresses dans cette position, puis la fait s’asseoir sur le bord du

Soumise à genoux attachée mains en l'air tied_on_knees

lit. De nouveau, je la lèche, mais là elle est plus décontractée. Je décide de passer à la suite des réjouissances et la mets sur ses genoux au milieu du lit, sous le crochet fraîchement posé. Le temps de rattacher ses poignets en l’air, elle s’exclame “tu en as mis partout ?!”. Je prends de nouveau quelques photos, puis la caresse. Au moment de rentrer mes doigts en elle, je lui demande “Je peux ?” Elle acquiesce mais elle est surprise que je demande… Elle me rappelle alors que je ne l’ai pas demandé plus tôt dans le salon, bien que je l’ai doigté. Je présente mes excuses, et lui dit que pour me faire pardonner je ne lui ferait plus mal durant la séance : plus de fouet, plus de martinet, pas de travail des tétons ni des seins… Elle accepte, je la branle puis lubrifie et doigte son cul.

Lui remplir le cul, la faire crier

Je lui explique qu’elle doit mettre le crochet, pour que cela se passe au mieux je décide de la laisser faire. Après avoir préparé un peu son cul, je détache ses mains et lui donne l’instrument de sa dégradation volontaire.  Elle le met, il rentre facilement. J’y met une corde et l’attache autour de sa taille. Ça maintient le crochet au fond de son anus et l’empêche de bouger.

Bourgeoise soumise avec un crochet anal

Conscient d’être bien trop excité pour la baiser avec force comme je le veux, je me mets du spray retardant. Je lui annonce que je vais l’attacher au mur et lui demande ce qui est le plus humiliant : 

Tu serais plus humiliée dos à moi ou face à moi ?

De face je pense

Tu es sûre ?

Oui mon Prince

Mon choix

Naturellement, je l’attache de face. Je place une corde autour de chaque membre, je tends bien ses bras mais laisse les jambes faiblement écartées, sans serrer les liens. La chaîne de son cou est également reliée à un crochet au dessus de sa tête. Ça tire sur sa nuque et la gêne beaucoup, je détends donc un peu : le côté humiliant est toujours là, mais sans gêne physique.

Je la caresse puis la branle fermement. Elle se tortille doucement. Je sors un gros vibromasseur “classique” et le pose contre son clitoris. C’est trop tôt, elle me le dit et je le vois. Je place donc plusieurs couches de tissus entre le jouet et elle. La vibration intense mais diffuse lui fait bientôt lâcher des gémissements. D’une main je maintiens le sextoy, de l’autre je tends les cordes de ses chevilles, ses jambes s’écartent au rythme que j’impose mais elle n’y fait pas attention. La chaleur dans son ventre monte encore et encore. Elle est désormais liée en croix. Elle se tord, se cambre, me remercie.

Soumise nue attachée avec un vibromasseur forcée à jouir

Je peux enlever le tissu et plaquer l’engin directement contre elle. Elle crie presque, et malgré les attaches elle plaque sa chatte contre le jouet, elle appuie fort : elle a faim ma petite chienne.

Toujours en tenant le vibro contre elle, je détache ses bras, son cou et enlève le crochet de son cul. Je la penche sur le lit, les jambes toujours tenues par les cordes et reliées au mur. Je présente ma queue contre son cul pour lui rappeler que tous ses trous m’appartiennent à ce moment. C’est très serré, elle me demande de ne pas l’enculer : son cul a eu le temps de bien se refermer. Je décide de ne pas forcer, ce serait lui faire très mal à coup sûr et détruire tout le travail d’excitation.

La baiser, enfin

femme prise à 4 pattes en shibariJ’enfile un préservatif, c’est actuellement notre moyen de contraception, et m’introduis en elle très fermement. Je la baise avec une brutalité rare, elle se branle, je pose un pied sur le lit et la démonte littéralement tandis qu’elle coule  et s’époumone de plaisir. Mon corps claque contre le sien, je reprends le vibro et le plaque contre sa chatte, ce qui la rend encore plus folle. Je suis heureux d’avoir mis du retardant, je peux la prendre comme je le souhaite et nous donner beaucoup de plaisir en la baisant ainsi. Je la laisse tenir le jouet d’une main, je place l’autre dans son dos en la plaquant contre le lit. De mon autre main je saisis ses cheveux et tire dessus intensément, ça lui lève le buste je peux contempler une partie de visage rougie par la friandise qui s’agite en elle. Ça semble ne pas la déranger, elle est vraiment surexcitée.

Elle hurle, se tord contre le vibromasseur mais ne parvient pas à jouir. Moi j’explose en elle pendant qu’elle s’insulte pour moi :

Oui Maître, je suis ta pute, je suis ta putain, je suis ton vide couille ! Rempli moi, rempli ta salope !

L’explosion

Ma soumise me connait bien, elle sait que j’adore, et vraiment je prends un pied incroyable tandis que mon sperme coule dans son ventre. Après mon orgasme, je continue de la baiser.

Blonde soumise attachée cul en l'air et défoncée

Elle se branle, crie, puis son corps entier se relâche d’un coup : je comprends qu’elle abandonne. J’arrête de la prendre et me retire. Je profite de la voir ainsi remplie, suintante de son plaisir et du mien. Je la détache, retire sa cagoule, elle se blottit contre moi, pleure et s’excuse. Mon épouse est heureuse, pleine de plaisir, de frissons mais également de frustration. Ma chienne s’en veut de na pas avoir joui, pour moi, m’offrir le spectacle de son orgasme honteux ainsi attachée et malmenée. Elle s’en veut car elle aurait aimé exploser elle aussi. Je lui dit que c’est normal, que c’était très intense mais qu’elle est fatiguée et qu’il faut qu’elle se laisse aller. Nous prolongeons un peu le moment de tendresse, elle ouvre les yeux et elle peut voir les nouvelles lampes que j’ai posé dans la chambre… Elle est ravie.

Je lui amène de l’eau, puis un verre de punch. Elle lit calmement tandis que je vais cuisiner. Nous avons joué pendant plus de 2 heures, et nous sommes heureux.

After care avec soumise calin

Si cette fantaisie bdsm vous a plu, vous devriez aimer un autre moment que nous avons vécu  : Une soirée de dressage (vraie femme soumise)

L’art de la fâble

Voici deux fables détournées par Lia, membre d’un forum que je fréquente. Avec son aimable autorisation, et afin que ces textes ne disparaissent pas, les voici :

L’esclave et la soumise 

L’esclave ayant crié
Tout l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la gifle fût venue.
Plus un seul petit mot
De martinet ou de bécot.
Elle alla crier famine
Chez la soumise sa voisine,
La priant de lui prêter
Son dom adoré pour supporter
Jusqu’à la jouissance nouvelle.
Je vous lécherai, lui dit elle,
Avant l’août, foi de cochonne,
Avec mon amie et mon dom.
La soumise n’est pas prêteuse,
C’est là son moindre défaut.
Que faisiez vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette vicieuse.
Nuit et jour à tout venant,
Je baisais, ne vous déplaise.
Vous baisiez ? J’en suis fort aise,
Et bien ! Fantasmez maintenant.

 

Le corbeau et la renarde

Maître Corbeau, sur son arbre perché,
Tenait dans son bec une cravache.
Soumise la renarde, par le cul excité,
Lui tint à peu près ce langage :
Et bien bonjour Sir le Corbeau.
Que vous êtes sadique, que vous me semblez chaud !
Sans mentir, si votre dressage
Se rapporte à vos menaces,
Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
A ces mots, le Corbeau ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle autorité,
Il ouvre un large bec, et laisse tomber sa sévérité.
La renarde groupiste, et dit : mon bon Monsieur merci,
je sais qu’une soumise vit au dépend de l’écoute.
Cette leçon vaut bien une punition, sans doute.
Le corbeau heureux et détendu
Jura, plus tard, qu’il lui prendra le cul.

Journal d’une soumise 6 (récit BDSM)

Je souhaite aujourd’hui partager avec vous le fruit du travail de ma soumise, lors d’un nouvelle épisode du journal d’une soumise. Le but ? Ecrire un récit de soumission. Voici l’action piochée :

Action

59 – La soumise écrivaine
Tu dois écrire un récit qui nous met en scène, l’histoire de ce texte sera  majoritairement une séance de dressage. Le but est que ce récit me plaise bien sûr… !

Voici les mots qu’elle a couché pour moi :

Séance de dressage d’une chienne soumise

          Le Maître travaillait sur son ordinateur lorsqu’il demanda à sa Soumise de s’approcher de lui. Elle s’avança donc et il lui demanda de se déshabiller sous ses yeux, ce qu’elle fit timidement avant de recevoir l’ordre d’aller sortir sa tenue d’esclave et plusieurs objets de dressage. Elle due également,  préparer une bassine d’eau ainsi que le matériel de lavement.

          Lorsque la soumise eut obéit, le Maître l’emmena, à quatre pattes tirée par les cheveux, à la douche. Pendant qu’il profitait de l’eau chaude de la douche, il glissa le tuyau de lavement dans l’anus de sa chienne et commença à la remplir, avant de lui ordonner de se vider devant lui, sur les toilettes toutes proches de la baignoire. Une fois de lavement terminé, le Maître finit de laver sa chienne et lui ordonna d’enfiler les habits qu’elle avait sorti. Il lui inséra alors un plug dans l’anus et un anneau dans la bouche, puis il pinça les tétons de son esclave en lui demandant de le prévenir lorsque les pincements deviendraient trop douloureux.

Au bout de quelques secondes, l’esclave fit signe à son Maître que c’était trop dur de tenir plus longtemps et le Maître s’arrêta, avant de recommencer quelques fois. Il saisit ensuite la laisse de sa chienne pour l’emmener faire une petite promenade. Vêtue d’une tenue de chaînes en métal, d’un collier, d’un anneau dans la bouche et d’un plug dans son cul, la putain c’est faite traînée en dehors de leur appartement, fermement tirée par une laisse.

Courte promenade

          Après quelques secondes de balades, il demanda à sa chienne de s’asseoir, il ouvrit sa braguette et sorti son pénis bien dur de son pantalon. Le Maître ordonna à sa chienne de lui lécher ses testicules et sa queue, à travers l’anneau qui lui ouvrait la bouche de manière gênante. Tout puissant, il savoura pleinement la langue de sa putain sur son sexe, de plus en plus dur, puis il remmena sa chienne soumise à l’appartement.

Le Maître s’absenta de la chambra après avoir ordonné à sa putain de se caresser. Il revint et demanda à son esclave de fermer les yeux et d’ouvrir la bouche. Il retira l’anneau humiliant et glissa un glaçon dans la bouche de sa salope, qu’elle devait bien sûr garder sauf contre-ordre. Le Maître sorti alors son fouet : bien que son esclave avait parfaitement obéit jusque là, ça lui faisait terriblement plaisir de la fouetter quand même.

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Obéissante…

          Il pencha son esclave, elle pu poser ses mains sur  le lit, puis son Maître lui donna des coups de fouet sur son joli cul, sur son ventre, sur son dos, et ses jambes…

L’esclave ne pouvant par parler jusque là à cause du glaçon, pu enfin dire à son Maître à quel point c’était dur pour elle car le glaçon avait fondu, et des larmes coulait le long de ses joues. Le Maître mis à genoux son esclave et lui glissa sa belle queue dans sa bouche très fraîche de salope. Heureuse de le servir au mieux, elle salivait beaucoup.

Il fit des aller-retours dans la bouche de sa petite pute et lorsque celle-ci fût réchauffée il pencha sa soumise sur le lit et lui retira le plug pour y introduire sa queue à la place. Bien qu’habituée à être sienne par tout les trous, son cul était malgré tout encore un peu serré, ce qui le ravit d’autant plus.

Son prince éprouva un plaisir immense à pénétrer le cul de sa bonne esclave, qu’il fessa avec vigueur avant de lui demander de tirer le plus possible sur ses fesses pour s’ouvrir. Avant de jouir, il sorti son sexe et se branla pour gicler sur le cul et la chatte de sa soumise bien ouverte.

Le Maître fût comblé et félicita sa bonne soumise, qui pu se blottir sans ses bras et l’embrasser enfin.

Fin.

         Que pensez vous de ce court récit BDSM ?

Une soirée de dressage… (vraie femme soumise)

Cette histoire est véridique, il y a quelques semaines, Mademoiselle a oublié de piocher ses actions de notre jeu pour couple. Elle doit normalement le faire le 1er jour du mois. J’ai donc attendu, attendu… Et nous étions le 7 du mois, sans qu’elle n’ai pioché, j’ai donc réagi : en avant pour le dressage de ma soumise…

(Photos non personnelles, les notres sont en en accès restreint, quelques-unes sur instagram)

Un dressage de soumise en règle.

Constatation

Voici le SMS qu’elle a reçu :

Très chère soumise, nous sommes le 7 du mois et vous n’avez point pioché. Vous voilà bien indigne de votre rang ! Afin de vous rattraper, quatre possibilités :
– Tu seras ma soumise une demi-journée, quand je veux.
– Tu seras ma soumise deux soirées, quand je veux. (à partir de ton arrivée jusqu’au coucher)
– Tu n’auras pas de point pour les actions de ce mois-ci,
– Tu pioches 2 actions en plus ce mois-ci, pour lesquelles tu n’auras pas de point.

Compte tenue de notre emploi du temps, elle a choisi la deuxième solution :  être ma soumise deux soirées, quand je voulais, pour un dressage de soumise.

Mise au point

soumise blonde visage cachéeLe temps a passé, et de de mon côté j’ai préparé quelques idées, puis je les ai regroupées et organisées. J’avais alors deux programmes assez bien ficelés, et j’ai demandé à ma soumise si elle préférait une séance avec beaucoup d’humiliation et peu de  douleur, ou bien l’inverse, ou bien enfin un peu des deux. Son choix s’est porté sur les deux : humiliation et douleur dans une gamme modérée.

Action !

J’ai laissé le temps passer du nouveau jusqu’en décembre, jusqu’à un autre SMS :

Ce soir, ce sera une soirée où tu seras ma soumise.

Lorsque tu rentreras, tu resteras dans l’entrée. Tu poseras juste ton sac mais garderas tout ce que tu portes d’autres. Tu écarteras largement tes jambes, poseras les mains sur ta tête, fermeras les yeux. Puis, assez fort pour que je t’entende tu diras “Je suis là mon prince”. Je viendrais, et ferais différents jeux.

Ensuite, je t’ordonnerais de monter dans la chambre, tu porteras ce qu’il y aura sur le lit, plus des chaussures à talon. Tu te prépareras afin que tu sois prête à être prise par devant. Tu as le droit de t’exciter comme tu le souhaites, j’aimerai que tu sois proche de jouir. Ensuite tu m’écriras avec ton portable “Je suis prête”. Tu poseras ta tête sur le lit, et tu écarteras ton cul de tes mains. Tu seras bien cambrée.
Alors je te baiserais et jouirais en toi, ce sera rapide.
Toute la soirée, tu continueras d’être ma soumise, et obéiras si j’ordonne. Si tu as des questions ou des envies au cours de la soirée, demandes mon amour :)

soumise penchée tenue à la gorgeJ’ai alors rapidement reçu la réponse : “Bien mon Prince”, c’est d’ailleurs la réponse que j’attendais de ma soumise.

L’entrée

Quelques heures après, elle est arrivée, a posé son sac, s’est mise en position, puis j’ai entendu d’une voix anxieuse mais claire : “Je suis là mon Prince”. Je suis allé vers elle, et je l’ai admirée : parfaitement en position main sur la tête, yeux fermées et cuisses largement ouvertes. Je l’ai saisi par le cou, je l’ai embrassée. J’ai passé ma main sous son pull et j’ai soulevé son soutien-gorge pour pouvoir la caresser sans la déshabiller, comme une chienne que l’on saisit comme on veut, quand on veut.

Je l’ai ensuite fais mettre à genoux, et lui ai demandée

  • Pourquoi es-tu là, ainsi ?
  • Je suis ta soumise, ce soir, car j’ai oublié de piocher mes actions, je dois donc être punie
  • Ce n’est donc pas une soirée uniquement de soumission, mais de punition, sommes-nous d’accord ?
  • Oui Monsieur

Elle a alors senti ma queue dure se coller à sa bouche, contre ses lèvres qu’elles a ouvertes pour me permettre d’y pénétrer. J’ai sentie sa lSoumise à genoux doigts dans la boucheangue commencer à travailler, tandis que je faisais des va-et-vient dans sa bouche. Je l’ai ensuite saisi par les cheveux pour m’enfoncer plus profondément, et elle a commencé à grimacer distinctement. Ma réponse ? J’ai enfoncé ma queue entièrement dans sa bouche, au fond de sa gorge, joignant la parole au geste, je lui ai rappelé que c’était une putain à mon service.

Doucement, mais sûrement

Je l’ai ensuite menée au salon, juste à quelques mètres et je lui ai demandé de se mettre debout et de baisser son pantalon, puis la dentelle qui protégeait son intimité d’un regard direct. Elle remet les mains sur sa nuque, et je me place derrière elle. Je m’assure de son état et de ses souvenirs de nos mots de secours.

  • Que dis-tu si tu veux que l’on se calme ?
  • Orange, maître
  • Que dis-tu si tu veux tout arrêter ?
  • Rouge, maître
  • si je souhaite te pénétrer que réponds-tu selon ton envie ?
  • “Oui”, “Je l’accepte pour toi mon prince”, “S’il te plaît, non”
  • Parfait (elle m’a dit qu’elle pouvait vivre une pénétration au mauvais moment comme un viol, nous avons convenu de ce code avec ma soumise. Même si je peux en effet choisir de la prendre ou pas, quelle que soit sa réponse, lorsqu’elle est ma soumise)

La douleur

Soumise durement marquées badineUne fessée s’abat, puis deux, puis trois, de plus en plus lourde sur son cul qui rougie très rapidement, ma soumise se cambre et crie. Elle peut crier, je sais que personne n’est autour de chez nous. Je la saisis par les cheveux, quatre, cinq, six. Elle continue de compter en criant. Je l’embrasse tendrement.

Je m’assoie alors sur le canapé, elle en face de moi, et lui ordonne de se mettre entièrement nue, je la regardais en me caressant.

  • Ouvre ta chatte. Qu’est ce que tu es ?
  • Je suis ta pute, ton vide couille

Elle a honte de me le dire ainsi : nue au milieu de chez elle le cul rouge et la chatte humide. Puis ma chienne obéissante est venue s’agenouiller devant moi, je lui ai passé son collier avant de saisir doucement ses tétons.

  • Tu me dis “stop” ?
  • Oui mon prince

Je commence alors à serrer ses tétons entre mon pouce et mon index, de plus en plus fort, elle se tord, résiste, encore et encore… Elle recule, se tortille, sert les dents. Je relâche l’étreinte un peu, elle soupire, puis je resserre de plus belle. Une larme perle, puis un souffle lui échappe “s’il te plaît”, et je m’arrête immédiatement. Elle est soulagée, car elle sait que son avis n’est qu’un avis de chienne, et que je peux continuer si j’ai envie. Elle est heureuse de voir que j’ai suivi sa limite à ce moment,

téton soumise très pincé

 et je l’ai fait justement car je l’ai vu attendre, attendre pour me rendre fier. Elle est allée au bout d’elle même, je profite du spectacle et ne va pas plus loin.

Courte pause

Je la récompense très brièvement, elle peut venir se coller contre moi. Puis je lui tends sa robe de chambre, et ses bottes fourrées. Elle ne comprends pas bien, mais enfile le tout. J’attache alors une laisse à son collier et l’emmène dehors.

L’humiliation

Je la fais s’agenouiller de nouveau, la terre est dure contre ses genoux fragiles. Je lui ordonne de se branler, tandis que j’enfonce ma queue dans sa bouche. D’une main je me saisis de ses cheveux, de l’autre j’approche mon majeur et mon annulaire de sa bouche : elle comprend tout de suite et commence à sucer mes doigts pour les humidifier avant de les enfoncer elle-même dans sa gorge.

J’arrache alors la robe de chambre : immédiatement, ses tétons pointent, toute sa peau douce témoigne des températures négatives. Elle continue de se branler, comme une bonne chienne bien dressée.

Je lui ordonne de se mettre en position de prosternation, les genoux au sol, le cul largement offert par une cambrure des reins et les bras tellement avancés que la poitrine touche le sol. Ses seins frottent sur le sol glacé, sa peau pourrait s’écorcher si je la secoue, et ce qu’elle a de plus intime sera offert au souffle glacial qui nous enrobe. Elle me regarde une seconde, juste le temps de savoir si c’est vrai ordre ou non. Un test ou un ordre ? Mais comme le dit l’Empereur Marc Aurèle, “Avant que tu ne parles, on doit pouvoir lire sur ton visage ce que tu vas dire“. Je n’ai donc pas à parler : elle  s’exécute. Je salive sur sa chatte, puis la doigte avec vigueur.

 

  • Reste ainsi, chienne, c’est très bien. Je vais me faire un thé chaud, il fait froid.
  • ***

Elle n’a rien dit : ni à mon ordre, ni lorsqu’elle m’a vu partir, ni lorsque elle a entendu la porte se refermer sur moi.

Tenir, tenir encore

 Je suis revenu dans les 30 secondes.

  • Et bien, et ton thé ?
  • Je ne voulais pas vraiment m’en faire un, je souhaitais voir ta réaction et je suis très satisfait, bravo mon amour
  • Merci mon Prince
  • Debout ! (je l’aide à se relever), écarte tes cuisses, écarte encore…!
  • C’est dur
  • *clac* (une fessée), écarte salope (elle ouvre grand) voilà, c’est bien.

soumise dehors nue glaceEt elle a bien écarté encore, mais c’était très difficile, le froid commençait à mordre. Nous sommes au milieu du jardin, dans résidence généralement vide, pas encore occupée. Mais, on ne sait jamais…

  • Qu’est ce que tu es ?
  • Je suis ton esclave
  • Je suis ta putain
  • Je suis ta chienne
  • Plus fort
  • Je suis ton esclave
  • Je suis ta putain
  • Je suis ta chienne
  • Plus fort petite pute
  • Je suis ton esclave
  • Je suis ta putain
  • Je suis ta chienne
  • Mmmh parfait ma belle

Le réconfort

Je lui ai donné mon manteau fourré qui portait ma propre chaleur et nous sommes rentrés. Au total, cet épisode à l’extérieur a duré moins de cinq minutes, je suis sain d’esprit et je prends soin de cette femme qui se livre à moi librement, entièrement et avec amour.

Soumise debout maintenueUne fois à l’intérieur, je lui ai tendu une bouillotte que j’avais préparée avant son arrivée, elle était encore trop chaude pour pouvoir la poser contre sa peau nue, mais entourée d’une couverture polaire la chaleur diffusée et mes bras tendres ont faillit faire craquer ma soumise. Comme si c’était la fin de la séance. Hors, elle savait qu’elle devait encore aller à l’étage et découvrir ce que j’avais préparé pour elle. Elle se retiens… Elle se prépare pour le reste. Je lui ai dit que lorsqu’elle se sentirait prête elle pourrait monter pour la suite et la fin, que j’avais annoncée comme rapide.

  • “La douleur est fini pour ce soir mon amour, si tu obéis et que je n’ai pas à punir”, ça a finit de la rassurer et l’a détendue pour la suite.

Une esclave admirable

Se sentant prête, elle est montée à l’étage. Elle y trouva une paire de bottes, une cagoule avec juste un trou pour la bouche, une chaîne en croix avec 4 pinces au bout pour relier ses tétons aux lèvres de sa chatte. Un dernier élément pour son sexe encore : deux pinces munies de poids, avec 3 poids chacune : le maximum.

Pendant qu’elle se préparait, je faisait chauffer de l’eau physiologique afin de lui administrer un lavement à l’aide d’une poire.

J’ai rapidement reçu le SMS “je suis prête”, et je suis allez la rejoindre : elle s’était caressée, lubrifiée et avait faillit jouir -selon mes instructions-. Je suis arrivé et l’ai trouvé exactement comme je l’avais demandé, les pinces bien placées tiraient légèrement sur ses tétons, elle était penchée sur le lit avec les pieds au sol et le cul et la chatte largement ouvert de sesoumise attachée et très écartée cul offerts mains. Ses grandes lèvres souffraient sous le poids, et s’étiraient joleiment. À ce moment, je lui ai lié les chevilles au lit, j’en ai profité pour écarter encore un peu ses cuisses. Je colle ma queue contre sa chatte :

Dressage de soumise à la queue

Alors, je la baise comme la pute qu’elle est pour moi, en tenant fermement ses poignets qui écartaientt bien son cul. C’était la première fois de la séance qu’elle recevait ma queue, et elle était parfaitement prête à recevoir son homme en elle. Elle crie. J’adore ça. Elle hurle presque…

Sous l’agitation, une pince avec les poids tombe à ses pieds. Ses lèvres sont trempées, gonflées, étirées.

Puis je me suis retiré, elle s’est étonnée puisqu’elle pensait que je jouirais en elle a ce moment. Elle se demande ce que je fais, elle entends de l’eau. Elle sent son cul s’ouvrir un tout petit peu, et elle comprends tandis que je commence à la remplir d’eau. Initialement, je pensais verser le contenu d’une ou deux poire à lavement, juste pour le geste et l’humiliation. Mais, du fait qu’elle se sentait bien et se comportait très bien j’en ai mis sept ou huit…

femme squirt sodomiséeEt je l’ai reprise. Avec son cul gonflé d’eau sa chatte était bien serrée, je l’ai branlé d’une main et j’ai enfoncé mon pouce dans son cul avec l’autre. Elle reste parfaitement étanche et soumise à mes caprices. À ce moment, elle sentait que j’allais bientôt répandre mon plaisir en elle, de ses deux mains elle tire fort sur son cul et sa chatte pour me faire plaisir et elle sentit son orgasme monter à son tour :

  • (en criant) Je peux jouir ?
  • Pas encore petite putain
  • S’il te plaît mon prince, ta queue est trop bonne !!
  • Non, je te l’interdis

Je l’ai sentis se retenir, nier la chaleur dans son ventre. Puis, comprenant qu’il s’agissait de son dressage, elle c’est sentie fière et bientôt libérée, tout en acceptant son sort et en m’encourageant au moment fatidique :

  • Oui mon amour, remplis ta pute ! Je suis là pour ça, baise moi

“baise moi !”

J’arrête de la branler et saisi ses cheveux de ma main tout en doigtant son cul de l’autre… Parfait.

Je me suis retiré, et lui ai dit de maintenir la position tandis que je déliais ses jambes et plaçait une assiette sur le sol entre ses cuisses. J’ai alors quitté la pièce pour voir sa réaction face à l’abandon, tremblante de plaisir, le cul remplis d’humiliation et la chatte suintante de foutre…

Je l’observe de loin, elle ne bouge pas, mon sperme coule de sa chatte et se dépose sur l’assiette. Elle maintient son cul ouvert, même si retenir l’eau devient pénible. Je me lave les mains, prépare ma douche, puis je vais la rejoindre. J’attrape sa laisse, la place le visage au dessus de l’assiette et lui dis de lécher. Je pourrais presque jouir une deuxième fois de la voir si soumise, mon esclave lblonde sexy attachéeèche tout… Ce dressage de soumise est une vraie réussite… Je détache son collier et lui glisse à l’oreille :

“Je t’aime tellement mon amour, je suis fier de toi. Tu es parfaite, merci.”

 

Précisions sur ce dressage de soumise

 
Finalement, si cette fantaisie BDSM vous a émoustillé, vous devriez aimer un autre moment que nous avons vécus  : Soumise attachée au plafond et au mur.