Cette histoire est véridique, il y a quelques semaines, Mademoiselle a oublié de piocher ses actions de notre jeu pour couple. Elle doit normalement le faire le 1er jour du mois. J’ai donc attendu, attendu… Et nous étions le 7 du mois, sans qu’elle n’ai pioché, j’ai donc réagi : en avant pour le dressage de ma soumise…
(Photos non personnelles, les notres sont en en accès restreint, quelques-unes sur instagram)
Un dressage de soumise en règle.
Constatation
Voici le SMS qu’elle a reçu :
Très chère soumise, nous sommes le 7 du mois et vous n’avez point pioché. Vous voilà bien indigne de votre rang ! Afin de vous rattraper, quatre possibilités :
– Tu seras ma soumise une demi-journée, quand je veux.
– Tu seras ma soumise deux soirées, quand je veux. (à partir de ton arrivée jusqu’au coucher)
– Tu n’auras pas de point pour les actions de ce mois-ci,
– Tu pioches 2 actions en plus ce mois-ci, pour lesquelles tu n’auras pas de point.
Compte tenue de notre emploi du temps, elle a choisi la deuxième solution : être ma soumise deux soirées, quand je voulais, pour un dressage de soumise.
Mise au point
Le temps a passé, et de de mon côté j’ai préparé quelques idées, puis je les ai regroupées et organisées. J’avais alors deux programmes assez bien ficelés, et j’ai demandé à ma soumise si elle préférait une séance avec beaucoup d’humiliation et peu de douleur, ou bien l’inverse, ou bien enfin un peu des deux. Son choix s’est porté sur les deux : humiliation et douleur dans une gamme modérée.
Action !
J’ai laissé le temps passer du nouveau jusqu’en décembre, jusqu’à un autre SMS :
Ce soir, ce sera une soirée où tu seras ma soumise.
Lorsque tu rentreras, tu resteras dans l’entrée. Tu poseras juste ton sac mais garderas tout ce que tu portes d’autres. Tu écarteras largement tes jambes, poseras les mains sur ta tête, fermeras les yeux. Puis, assez fort pour que je t’entende tu diras « Je suis là mon prince ». Je viendrais, et ferais différents jeux.
Ensuite, je t’ordonnerais de monter dans la chambre, tu porteras ce qu’il y aura sur le lit, plus des chaussures à talon. Tu te prépareras afin que tu sois prête à être prise par devant. Tu as le droit de t’exciter comme tu le souhaites, j’aimerai que tu sois proche de jouir. Ensuite tu m’écriras avec ton portable « Je suis prête ». Tu poseras ta tête sur le lit, et tu écarteras ton cul de tes mains. Tu seras bien cambrée.
Alors je te baiserais et jouirais en toi, ce sera rapide.
Toute la soirée, tu continueras d’être ma soumise, et obéiras si j’ordonne. Si tu as des questions ou des envies au cours de la soirée, demandes mon amour :)
J’ai alors rapidement reçu la réponse : « Bien mon Prince », c’est d’ailleurs la réponse que j’attendais de ma soumise.
L’entrée
Quelques heures après, elle est arrivée, a posé son sac, s’est mise en position, puis j’ai entendu d’une voix anxieuse mais claire : « Je suis là mon Prince ». Je suis allé vers elle, et je l’ai admirée : parfaitement en position main sur la tête, yeux fermées et cuisses largement ouvertes. Je l’ai saisi par le cou, je l’ai embrassée. J’ai passé ma main sous son pull et j’ai soulevé son soutien-gorge pour pouvoir la caresser sans la déshabiller, comme une chienne que l’on saisit comme on veut, quand on veut.
Je l’ai ensuite fais mettre à genoux, et lui ai demandée
- Pourquoi es-tu là, ainsi ?
- Je suis ta soumise, ce soir, car j’ai oublié de piocher mes actions, je dois donc être punie
- Ce n’est donc pas une soirée uniquement de soumission, mais de punition, sommes-nous d’accord ?
- Oui Monsieur
Elle a alors senti ma queue dure se coller à sa bouche, contre ses lèvres qu’elles a ouvertes pour me permettre d’y pénétrer. J’ai sentie sa langue commencer à travailler, tandis que je faisais des va-et-vient dans sa bouche. Je l’ai ensuite saisi par les cheveux pour m’enfoncer plus profondément, et elle a commencé à grimacer distinctement. Ma réponse ? J’ai enfoncé ma queue entièrement dans sa bouche, au fond de sa gorge, joignant la parole au geste, je lui ai rappelé que c’était une putain à mon service.
Doucement, mais sûrement
Je l’ai ensuite menée au salon, juste à quelques mètres et je lui ai demandé de se mettre debout et de baisser son pantalon, puis la dentelle qui protégeait son intimité d’un regard direct. Elle remet les mains sur sa nuque, et je me place derrière elle. Je m’assure de son état et de ses souvenirs de nos mots de secours.
- Que dis-tu si tu veux que l’on se calme ?
- Orange, maître
- Que dis-tu si tu veux tout arrêter ?
- Rouge, maître
- si je souhaite te pénétrer que réponds-tu selon ton envie ?
- « Oui », « Je l’accepte pour toi mon prince », « S’il te plaît, non »
- Parfait (elle m’a dit qu’elle pouvait vivre une pénétration au mauvais moment comme un viol, nous avons convenu de ce code avec ma soumise. Même si je peux en effet choisir de la prendre ou pas, quelle que soit sa réponse, lorsqu’elle est ma soumise)
La douleur
Une fessée s’abat, puis deux, puis trois, de plus en plus lourde sur son cul qui rougie très rapidement, ma soumise se cambre et crie. Elle peut crier, je sais que personne n’est autour de chez nous. Je la saisis par les cheveux, quatre, cinq, six. Elle continue de compter en criant. Je l’embrasse tendrement.
Je m’assoie alors sur le canapé, elle en face de moi, et lui ordonne de se mettre entièrement nue, je la regardais en me caressant.
- Ouvre ta chatte. Qu’est ce que tu es ?
- Je suis ta pute, ton vide couille
Elle a honte de me le dire ainsi : nue au milieu de chez elle le cul rouge et la chatte humide. Puis ma chienne obéissante est venue s’agenouiller devant moi, je lui ai passé son collier avant de saisir doucement ses tétons.
- Tu me dis « stop » ?
- Oui mon prince
Je commence alors à serrer ses tétons entre mon pouce et mon index, de plus en plus fort, elle se tord, résiste, encore et encore… Elle recule, se tortille, sert les dents. Je relâche l’étreinte un peu, elle soupire, puis je resserre de plus belle. Une larme perle, puis un souffle lui échappe « s’il te plaît », et je m’arrête immédiatement. Elle est soulagée, car elle sait que son avis n’est qu’un avis de chienne, et que je peux continuer si j’ai envie. Elle est heureuse de voir que j’ai suivi sa limite à ce moment,
et je l’ai fait justement car je l’ai vu attendre, attendre pour me rendre fier. Elle est allée au bout d’elle même, je profite du spectacle et ne va pas plus loin.
Courte pause
Je la récompense très brièvement, elle peut venir se coller contre moi. Puis je lui tends sa robe de chambre, et ses bottes fourrées. Elle ne comprends pas bien, mais enfile le tout. J’attache alors une laisse à son collier et l’emmène dehors.
L’humiliation
Je la fais s’agenouiller de nouveau, la terre est dure contre ses genoux fragiles. Je lui ordonne de se branler, tandis que j’enfonce ma queue dans sa bouche. D’une main je me saisis de ses cheveux, de l’autre j’approche mon majeur et mon annulaire de sa bouche : elle comprend tout de suite et commence à sucer mes doigts pour les humidifier avant de les enfoncer elle-même dans sa gorge.
J’arrache alors la robe de chambre : immédiatement, ses tétons pointent, toute sa peau douce témoigne des températures négatives. Elle continue de se branler, comme une bonne chienne bien dressée.
Je lui ordonne de se mettre en position de prosternation, les genoux au sol, le cul largement offert par une cambrure des reins et les bras tellement avancés que la poitrine touche le sol. Ses seins frottent sur le sol glacé, sa peau pourrait s’écorcher si je la secoue, et ce qu’elle a de plus intime sera offert au souffle glacial qui nous enrobe. Elle me regarde une seconde, juste le temps de savoir si c’est vrai ordre ou non. Un test ou un ordre ? Mais comme le dit l’Empereur Marc Aurèle, « Avant que tu ne parles, on doit pouvoir lire sur ton visage ce que tu vas dire« . Je n’ai donc pas à parler : elle s’exécute. Je salive sur sa chatte, puis la doigte avec vigueur.
- Reste ainsi, chienne, c’est très bien. Je vais me faire un thé chaud, il fait froid.
- ***
Elle n’a rien dit : ni à mon ordre, ni lorsqu’elle m’a vu partir, ni lorsque elle a entendu la porte se refermer sur moi.
Tenir, tenir encore
Je suis revenu dans les 30 secondes.
- Et bien, et ton thé ?
- Je ne voulais pas vraiment m’en faire un, je souhaitais voir ta réaction et je suis très satisfait, bravo mon amour
- Merci mon Prince
- Debout ! (je l’aide à se relever), écarte tes cuisses, écarte encore…!
- C’est dur
- *clac* (une fessée), écarte salope (elle ouvre grand) voilà, c’est bien.
Et elle a bien écarté encore, mais c’était très difficile, le froid commençait à mordre. Nous sommes au milieu du jardin, dans résidence généralement vide, pas encore occupée. Mais, on ne sait jamais…
- Qu’est ce que tu es ?
- Je suis ton esclave
- Je suis ta putain
- Je suis ta chienne
- Plus fort
- Je suis ton esclave
- Je suis ta putain
- Je suis ta chienne
- Plus fort petite pute
Je suis ton esclave
Je suis ta putain
Je suis ta chienne
- Mmmh parfait ma belle
Le réconfort
Je lui ai donné mon manteau fourré qui portait ma propre chaleur et nous sommes rentrés. Au total, cet épisode à l’extérieur a duré moins de cinq minutes, je suis sain d’esprit et je prends soin de cette femme qui se livre à moi librement, entièrement et avec amour.
Une fois à l’intérieur, je lui ai tendu une bouillotte que j’avais préparée avant son arrivée, elle était encore trop chaude pour pouvoir la poser contre sa peau nue, mais entourée d’une couverture polaire la chaleur diffusée et mes bras tendres ont faillit faire craquer ma soumise. Comme si c’était la fin de la séance. Hors, elle savait qu’elle devait encore aller à l’étage et découvrir ce que j’avais préparé pour elle. Elle se retiens… Elle se prépare pour le reste. Je lui ai dit que lorsqu’elle se sentirait prête elle pourrait monter pour la suite et la fin, que j’avais annoncée comme rapide.
- « La douleur est fini pour ce soir mon amour, si tu obéis et que je n’ai pas à punir », ça a finit de la rassurer et l’a détendue pour la suite.
Une esclave admirable
Se sentant prête, elle est montée à l’étage. Elle y trouva une paire de bottes, une cagoule avec juste un trou pour la bouche, une chaîne en croix avec 4 pinces au bout pour relier ses tétons aux lèvres de sa chatte. Un dernier élément pour son sexe encore : deux pinces munies de poids, avec 3 poids chacune : le maximum.
Pendant qu’elle se préparait, je faisait chauffer de l’eau physiologique afin de lui administrer un lavement à l’aide d’une poire.
J’ai rapidement reçu le SMS « je suis prête », et je suis allez la rejoindre : elle s’était caressée, lubrifiée et avait faillit jouir -selon mes instructions-. Je suis arrivé et l’ai trouvé exactement comme je l’avais demandé, les pinces bien placées tiraient légèrement sur ses tétons, elle était penchée sur le lit avec les pieds au sol et le cul et la chatte largement ouvert de ses mains. Ses grandes lèvres souffraient sous le poids, et s’étiraient joleiment. À ce moment, je lui ai lié les chevilles au lit, j’en ai profité pour écarter encore un peu ses cuisses. Je colle ma queue contre sa chatte :
Dressage de soumise à la queue
Alors, je la baise comme la pute qu’elle est pour moi, en tenant fermement ses poignets qui écartaientt bien son cul. C’était la première fois de la séance qu’elle recevait ma queue, et elle était parfaitement prête à recevoir son homme en elle. Elle crie. J’adore ça. Elle hurle presque…
Sous l’agitation, une pince avec les poids tombe à ses pieds. Ses lèvres sont trempées, gonflées, étirées.
Puis je me suis retiré, elle s’est étonnée puisqu’elle pensait que je jouirais en elle a ce moment. Elle se demande ce que je fais, elle entends de l’eau. Elle sent son cul s’ouvrir un tout petit peu, et elle comprends tandis que je commence à la remplir d’eau. Initialement, je pensais verser le contenu d’une ou deux poire à lavement, juste pour le geste et l’humiliation. Mais, du fait qu’elle se sentait bien et se comportait très bien j’en ai mis sept ou huit…
Et je l’ai reprise. Avec son cul gonflé d’eau sa chatte était bien serrée, je l’ai branlé d’une main et j’ai enfoncé mon pouce dans son cul avec l’autre. Elle reste parfaitement étanche et soumise à mes caprices. À ce moment, elle sentait que j’allais bientôt répandre mon plaisir en elle, de ses deux mains elle tire fort sur son cul et sa chatte pour me faire plaisir et elle sentit son orgasme monter à son tour :
- (en criant) Je peux jouir ?
- Pas encore petite putain
- S’il te plaît mon prince, ta queue est trop bonne !!
- Non, je te l’interdis
Je l’ai sentis se retenir, nier la chaleur dans son ventre. Puis, comprenant qu’il s’agissait de son dressage, elle c’est sentie fière et bientôt libérée, tout en acceptant son sort et en m’encourageant au moment fatidique :
- Oui mon amour, remplis ta pute ! Je suis là pour ça, baise moi
« baise moi ! »
J’arrête de la branler et saisi ses cheveux de ma main tout en doigtant son cul de l’autre… Parfait.
Je me suis retiré, et lui ai dit de maintenir la position tandis que je déliais ses jambes et plaçait une assiette sur le sol entre ses cuisses. J’ai alors quitté la pièce pour voir sa réaction face à l’abandon, tremblante de plaisir, le cul remplis d’humiliation et la chatte suintante de foutre…
Je l’observe de loin, elle ne bouge pas, mon sperme coule de sa chatte et se dépose sur l’assiette. Elle maintient son cul ouvert, même si retenir l’eau devient pénible. Je me lave les mains, prépare ma douche, puis je vais la rejoindre. J’attrape sa laisse, la place le visage au dessus de l’assiette et lui dis de lécher. Je pourrais presque jouir une deuxième fois de la voir si soumise, mon esclave lèche tout… Ce dressage de soumise est une vraie réussite… Je détache son collier et lui glisse à l’oreille :
« Je t’aime tellement mon amour, je suis fier de toi. Tu es parfaite, merci. »
Fin de cette histoire bdsm, totalement vécue.
Précisions sur ce dressage de soumise
Je tiens à préciser que là, nous étions en couple depuis 4 ans, nous apprenions à nous connaitre et à voir nos limites depuis tout ce temps et même un peu avant. Cette séance fait partie de notre jeu clairement établi, pas d’une jeune femme soumise à son premier RDV. Voici, un peu, comment dresser une soumise pleinement consentante et heureuse….