J'hésite entre faire un nouveau sujet ou mettre ici :
Pour des pratiques de sounding et remplissage utérin, avez-vous des conseils spécifiques pour réduire les risques de cystite ?
Ce que je pratique :
Nettoyer les jouets à l'eau et au savon (mais l'intérieur d'un injecteur creux n'es pas accessible, donc actuellement je le rince abondamment après avoir mis une goutte de savon liquide à l'extrémité)
Si je voulais faire mieux, je pense que stérilisation thermique ou à l'alcool à 90° ferais l'affaire. Autant pour les jouets en métal, ça devrait le faire sans inquiétude, autant pour ceux en silicone ou autre plastique souple, je ne connais pas les risques de dégradation fonctionnelle ou toxique.
Coté liquide, j'utilise l'eau de ville, directement depuis la douche. Je pourrais avoir envie d'utiliser d'autres choses (lait, colorants alimentaires, gélifiants...), mais je ne sais pas à quel point ça augment les risques de contamination.
Avec un flux de l'extérieur vers la vessie, j'imagine que la consommation de cranberry ne changera rien à la remontée de l'urètre pour les bactéries ?
Jusqu'ici, je m'en tire généralement sans souci, ou avec une irritation notable durant les 2 à 4 heures qui suivent (que je remarque lors des mictions/que j'urine) puis plus rien.
Entre 1/4 et 1/10 après ce style de pratique j'ai droit à des symptômes de cystites qui disparaissent spontanément après 24 à 48h.
Il m'est arrivé une fois d'avoir une cystite persistante pendant un peu plus de 7 jours (mais le toubib que j'ai fini par aller voir à préféré attendre le résultat des analyses avant de me prescrire un antibio, du coup, j'ai eu des résultats confirmant qu'un antibio aurait été utile... mais j'étais guéris entre temps).
Lors de remplissage extrême, il m'est arrivé d'avoir des douleurs aux reins, pendant moins d'1h après la pratique, et une fois lors d'une cystite, durant 24 à 48h (peut-être l'équivalent d'une pyélonéphrite chez une personne à pénis) et je crois que cette fois j'étais allé voir un toubib et que j'avais eu un traitement antibio.
Bref, est-ce un miracle que je sois encore vivant ?
Ai-je expérimenté les risques associés à cette pratique et donc si je suis prêt à endurer des cystites occasionnelles, je peux continuer sans rien changer (en lâchant la pression si je commence à sentir les reins) ?
Y a-t-il un risque de fissure de la vessie et d'hémorragie interne ? Si oui, y'a-t-il une pression à mesurer et ne pas dépasser pour éviter ce risque ?
Y a-t-il un gros différentiel de risque entre pratique de remplissage de la vessie chez une personne à pénis, ou à vulve et si oui en quoi ?
J'ai créé un nouveau post, car il y a beaucoup à dire je pense. Et ça peut permettre ensuite de s'y référer plus facilement.
Je n'ai jamais pratiqué, ce que je réponds est donc assez "naif".
Avec un flux de l'extérieur vers la vessie, j'imagine que la consommation de cranberry ne changera rien à la remontée de l'urètre pour les bactéries ?
Si la canneberge a un effet c'est sur la fixation des bactéries (certaines) sur la parois (en inhibant une protéine d'accroche). Donc, je pense que si. Ca peut limiter la présence (si ça fonctionne).
Plusieurs papiers à ce propos ( https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=cramberry ), il faudrait que je prenne le temps d'en détailler quelques uns (prions pour une belle revue...)
mais je ne sais pas à quel point ça augment les risques de contamination.
Naivement, je dirais que s'il y a sucre (n'importe lequel, dont le lactose), ça augmente les risques. Sinon, pas vraiment. Sauf si ce qu'on a ajouté peut potentiellement contenir des bactéries "de base".
Jusqu'ici, je m'en tire généralement sans souci, ou avec une irritation notable durant les 2 à 4 heures qui suivent (que je remarque lors des mictions/que j'urine) puis plus rien.
Entre 1/4 et 1/10 après ce style de pratique j'ai droit à des symptômes de cystites qui disparaissent spontanément après 24 à 48h.
J'ai souffert d'une inflammation lié au stress pendant plus d'un an... Donc pour moi c'est juste du délire de le faire exprès :D mais on est tous le résultat de nos vécus, et heureusement différents.
, j'ai eu des résultats confirmant qu'un antibio aurait été utile... mais j'étais guéris entre temps
Bah, heureusement que ce n'est pas partie vers les reins. Mais quelle analyse de contamination prend une semaine ?! Ils ont fait quoi au labo ?!
Ai-je expérimenté les risques associés à cette pratique et donc si je suis prêt à endurer des cystites occasionnelles, je peux continuer sans rien changer (en lâchant la pression si je commence à sentir les reins) ?
Y a-t-il un risque de fissure de la vessie et d'hémorragie interne ? Si oui, y'a-t-il une pression à mesurer et ne pas dépasser pour éviter ce risque ?
Y a-t-il un gros différentiel de risque entre pratique de remplissage de la vessie chez une personne à pénis, ou à vulve et si oui en quoi ?
Aucune idée...!! Pour l'hémorragie, j'imagine que les capteurs de pression de "j'ai envie de pisser" ou "là j'ai vraiment méga envie de pisser" suffisent ?
Mais quelle analyse de contamination prend une semaine ?! Ils ont fait quoi au labo ?!
A la base, c'est moi qui est mis une semaine avant de me dire qu'aller voir un toubib était une bonne idée...
Puis en période de noël, la réactivité n'était pas au top, du coup entre le temps des analyses, de la transmission au toubib et sa réponse pour les antibio, j'étais guéri.
Pour l'hémorragie, j'imagine que les capteurs de pression de "j'ai envie de pisser" ou "là j'ai vraiment méga envie de pisser" suffisent ?
Sauf que si c'est justement la sensation recherchée et que je trouve grisante, à quel point mon hyposensibilité proprioceptive suspectée risque de me jouer des tours ? Enfin jusqu'ici tout va bien les signaux corporels suffisent.
Et merci beaucoup pour les autres éclairages et témoignages !
Laisser une réponse
