Une journée pas comme les autres

Après une préparation soigneuse de quelques jours, je me sentais fin prêt. Madame étant naturellement joueuse, l'occasion de lui proposer une journée soumission c’était présentée rapidement.

Nous somme le soir.

En partant nous coucher,  j'informais ma soumise que le lendemain , elle devra se lever tôt, se faire belle, mettre la petite tenu que j'ai posé dans la salle de bain et attendre mon accord pour déjeuner.

Je lui apportais également l'une de nos boites à jouets , lui expliquant qu'elle pouvait retirer un objet de son choix et que je ne pourrai pas l'utiliser pendant notre petite aventure.

J’avais soigneusement sélectionné son contenu, une idée bien précise en tête. Elle prit un objet lambda, dont elle appréciait peut l'utilisation.

Parfait, l’opportunité que je souhaitais, venait de se créer.

Le lendemain, au réveil, alors qu'elle se préparait, je l'interrompis momentanément. Je devais partir une vingtaines de minutes.

"Tu devras m'attendre, à genoux dans le salon, et m'envoyer un message pour me dire que tu es prête".

Je parti, la laissant finir.

Sur la route, ma poche vibra, elle était en position.

J'envoyais une demande de photo quelques minutes plus tard,  via le réseau de surveillance. Elle avait le téléphone dans les mains.

Réaction immédiate, je me mit à tapoter sur l'écran.

"Poses ton téléphone et attends moi"

J'avais oublié de préciser ce petit détail. Maintenant elle sait que je la surveillais.

À mon retour,  je montais à l’étage sans faire attention à ma soumise. Je pris une cravache,descendis et en lui tournant autour, je la caressai de l'outil, afin de l'admirer, là, à mes pieds. La jaugeant, voyant qu'elle ne bougeait pas, je me mit à préparer un café. Un mouvement de ses jambes me ramenai à elle , l'inconfort la gagnait.

Je lui dit de tendre la main.

Je commençais à énumérer les règles de la journée.

Première règle, un code : "Si je te dit "soumise" , tu dois t’agenouiller, me demander ce que je souhaite et obéir au moindre de mes ordres, si je dit "libérée" tu pourras retourner vaquer à tes occupations."

Deuxième règle: "Tu dois, une foi toutes les heures, venir te mettre à genoux prêt de moi , et me demander si tu peux faire quelque chose pour moi."

Elle me confirme avoir comprit. Bien, le socle de la journée était posé.

"Tu devras garder ta tenu, toute la journée, sauf si je te dit de faire autrement."

Petite protestation, elle risquait d'avoir froid.

Un petit claquement dans le creux de la main se fit entendre.

"Je vais mettre les chose au clair immédiatement", voix ferme de rigueur.

"J'ordonne, tu exécutes, si tu veut savoir pourquoi , parce-que je te le demande. Si tu a besoin de motivation, dit toi que je te l'ai demandé."

Quelques petites précisions plus tard,  je lui dit... "soumise" , et m'installais sur le canapé.

"Met toi a genoux, ici et occupe toi de moi."

Café en main , regardant la télé, je lui ordonnais de me sucer , l'observant distraitement s'affairer.

Elle prit un soin tout particulier a lustrer mon gland, se qui n’était pas pour me déplaire. Je finis par tirer légèrement sur sa chevelure, lui faisant comprendre d'aller plus profond. Une fois mon sexe bien lubrifié, je lui accordai une pause en lui intimant d'utiliser ça poitrine généreuse. La caresse de ses seins doux était un bonheur.

Puis, je la redressais légèrement plus au dessus de moi. Position plus confortable pour moi, afin que je puisse lui baiser la gorge.

Je sentais ses muscles se resserrer sur moi. Le plaisir me gagnait alors que sa salive commençait à dégouliner sur mon bas ventre. Je lui dit de se remettre face à moi , jouant avec mes main sur ma queue.

"Quand je te le dirai, avales ma bite, que je me vide dans ta gorge." Ce qu'elle fit goulûment. Son corps combattait l'intrusion que le lui imposais, quel délice!

Le temps de reprendre mon  souffle, je la libérai et lui dit qu'elle pouvait déjeuner.

Un peut frustrée que je ne m'occupe pas d'elle en retour. On reprit notre petit quotidien. Un petit oubli de vouvoiement lui valu une volé de fessées. Elle finit par nettoyer la table, je soufflais alors à son oreille,  "soumise".

"Oui maître , que puis-je faire pour vous."

"Penche-toi sur la table", elle s'exécuta, lui écartant les jambes avec mon pieds , une rapide vérification me confirma qu'elle était déjà très excitai.

"Demande moi de te baiser"

"Baisez moi maître". Et je ne me fit pas prier.

Au bout d'un moment ,haletant, je me penchais en embrassant son coup.

"Libérée..."

Pendant note train-train, elle fit un autre oublie de vouvoiement , réprimandé avec le petit fouet cette foi, ce qui me valu une petite protestation. le fouet c'est le truc qu'elle aime le moins , cravache fessé ceinturons tout comprit.

"Vous montez vite le cran!!"

CLAC!!! "Oui et alors ?"

"Non rien maître"

Résultat, il n'y a plus eu ce genre d'oublie pour le reste de la journée.

J'ai ensuite patiemment attendu 10h, qu'elle vienne me demander si je souhaitais quelque chose.

Je l'ai emmené dans la chambre , sous prétexte de vouloir l'observer. Je lui ai fait essayer plusieurs tenu. Mon choix c'est porté sur une robe , qui lui arrivé au genou.

Elle ne comprenait pas ou je voulais en venir. Et une remarque, qui ne convient pas à la bouche d'une soumise lui échappa. Je lui fit remarquer, elle balbutia quelque chose entre ses lèvres, je ne dit mot , mais je m'en rappellerai.

En redescendent, de nouveau résonna à son oreille le doux mot "soumise"

Je la fit s'asseoir dans le canapé, et me glissais derrière elle. J'avais une plume , je me mit à effleurer son dos tantôt avec les lèvres tantôt avec la plume , madame frissonnai de plaisir.

Une foi bien détendu je l'a laissé ce prélasser dans le canapé, et attendit 11 h ..." que puis je faire pour vous maître ?

Allonges toi sur le dos et attend moi , je partie à l'étage ouvrir notre coffre à trésor. Je prit les petites boules de geisha, celles avec des billes à l'intérieur qui bougent pendant les déplacements, ainsi qu'un petit plug.

Une foi redescendu je me suis installé et entreprit un petit cuni, j'utilisais alors l'humidité ainsi apparu pour lubrifié mon doigt , que je mit dans son anus, entreprenant par la même occasion de placer les boules. Je lui rappelai alors la scène de la "remarque" à l'étage.

"Pour te punir je rajouterai ce plug."

Elle était perplexe, mais allai comprendre ou je voulais en venir , 11h30 sonner.

"Prend ton sac à main on sort , j'ai envie d'un restaurant"

"Quoi , avec ça?"

Le son de ça voix ne correspondait pas a celui d'une soumise , presque offusqué. La surprise ayant fait son œuvre, je ne lui en tins pas rigueur.

"Oui comme cela. Un problème ?"

"Si ça tombe?"

Je m'amusais comme un fou. "Je t'autorise à mettre une culotte , sexy évidemment."

Un peut gêné dans ses déplacement, l'équipement faisant son petit effet, et un peut gêné de sortir ainsi équipé, nous nous dirigions vers la voiture.

Quelque minute plus tard nous étions sur la route.

Assise sur le siège, elle se dandiné.

Elle m'avoua "je suis complètement trempé"

Tant mieux !!!

Nous descendons de la voiture pour nous diriger vers le restaurant à 5 bonnes minutes de marche, madame avait rougi,  être ainsi exposée en publique n’étant pas dans ses habitudes.

"je marche comme un canard , si les gens le remarque ?"

Je la rassurai , en lui disant

"C'est une impression, et aux pires qu'est que ça peut faire ? Tu penses qu'ils vont te le faire remarquer ? Ils n'en sauront pas plus."

Alors que nous nous installation dans le restaurant elle se détendit un peut.

Petit apéritif... sonna alors les 12 coups de midi.

Quelque instant plus tard madame prie, son téléphone , je savait qu'elle m'envoyé le petit message me demandant si il me fallait quelque chose.

J'attendit que mon téléphone vibre , "et bien oui, regarde dans ton sac.". En farfouillant dedans elle fini par trouver le sexe toy, que j'avais placé plus tôt, le genre avec un petit système d'aspiration et une petite languette qui vibre.

J'ai immédiatement vu la monté d’adrénaline en elle.

"Quoi !!! ici ?"

Je ne lui répondit pas me contentant de lui sourire , je la laissé a son imagination quand a la raison de la présence de cette objet.

Le plat principale arriva alors que nous reprenions notre discussion.

Les assiettes se vidant , je me mit a écrire un message.

"soumise

quand tu aura terminé ton assiette , lève toi , prend ton sac , et va au toilette.

Je veux que tu utilises le jouet, arête toi quand tu le souhaites.

Appel moi sur messenger, que je puisse t'observer."

Son cœur devait sérieusement s'emballer a cette instant.

" Si on m’entendait ?"

"Entends tu la discutions de la table d'à coté ?" Le brouhaha ambiant couvrait largement les voix proche, elle se remit dans ses pensées.

"Je peut enlever le plug ?", je lui accordé volontiers , vu l'épreuve qui se jouait en elle, je pouvais bien faire un petit effort.

Elle fini son assiette lentement , essayant d’emmagasiner son courage.

Finissant par ce lever et allai au toilette.

Rapidement je reçus un appel , elle était assise et avait mit la languette vibrante sur son intimité ...

je laissé mon téléphone à peine ouvert pour la surveillé du coin de l’œil , au bout de deux ou trois minute, l'appel coupa.

Je la vit revenir quelque instant plus tard, un très large sourire sur son visage , mélange de fierté et de joie d'avoir exécuté mes ordres.

"Quelqu'un ai rentré , javai l'impression que çà résonné. j'ai arrêter a se moment."

A vrai dire je me moquais un peut de ça sur le moment. Elle c’était dépassé pour moi et j’étais envahi d'un plaisir que je n'avait pas vu venir. Moi aussi je prenais mon pied.

Nous avons ensuite tranquillement fini notre repas. partageant des regards complices.

Nous somme repartie.

" J'ai du m'essuyer , je crois que j'aurai taché le cuir du resto"

Je ne répondit pas , je me contentai d'observer ses émotions. Avant de reprendre une conversation plus normal.

Nous somme arrivé a la voiture et nous somme installé.

Je la prie une nouvelle foi sous mon contrôle .

"Enlève ta culotte et donne la moi" ... Je mit mon doigt sur sa fente , elle dégouliné littéralement. "reprend le jouet et amuse toi avec le temps que l'on rentre ." Elle releva sa robe, me laissant le champ de vision pour pouvoir observer ses gestes .

On a reprit la route , elle commençait à se faire vraiment plaisir , j’endentais son souffle devenir de plus en plus saccadé alors que nous arrivions chez nous .

Encore dans la voiture, je lui proposé une sieste pour ce remettre de cette mâtiné, elle accepta.

J'ouvris la porte de la maison et la refermai, au moment ou la poignée se relevait, j'entendit derrière moi:

"Puis je faire quelque chose pour vous ?" bien elle n'avait pas oublié.

"Monte dans la chambre , déshabille toi , met toi à l'aise et continu d'utiliser le jouet, tu peux retirer les boules , j'arrive.

Quelque petite bricole plus tard je la rejoignais.

Elle était étendu sur le lit , c’était inséré le sex toy , puisque les boules ne la gênai plus.

Je m’approchai d'elle et m'installais entre ces jambes. "Tu as étais très obéissante ce midi , détend toi et profite de ta récompense."

J'entreprit alors de lui faire autant de bien qu'il se peut avec ma langue.

Elle trempa les draps , bon... faudra les changer, oups. Nous nous somme installés, elle vint se blottir contre moi, je l'ai prise dans mes bras et nous nous somme endormi ainsi.

14h15 , le réveil sonne.

A peine le temps de m’étirer que madame était descendu du lit, et me fit ça demande habituelle.

"Prend le temps de te réveiller, j'ai des choses a préparer." Elle ce remit dans le lit et alluma son téléphone, probablement pour regarder quelque vidéo sur les réseaux.

Je descendit donc , installant une couette sur le sol du salon , avec une bâche de protection au dessus.

J'entreprit de préparer de quoi lui faire un lavement. Je m’étais bien renseigné sur le sujet et madame m'avait dit ne pas être contre , c'est même elle qui avait acheté la poire, au début de notre découverte des pratiques anal.

Mais je n'avais jamais ressenti le besoin de l'utiliser. De plus, la veille j'avais volontairement mit la poire dans la boite , elle m'avait juste dit que l'on ne s'en était toujours pas servi, mais n'avait pas choisi cette objet, bon a priori elle n'était pas contre un test.

Voyons voir si c'est toujours d'actualité. "Tu pourras descendre ."

Elle vit d'abords le terrain de jeu . ensuite la poire posée .

"Je m'en douté !!" me dit elle , sur ce coup, ça m’étonnerai, je ne lui est jamais fait part d'un quelconque souhait d’essayer. mais ayant changé d'avis il y a peut , comprenant un peut mieux une relation D/S , javai une autre vision de cette pratique, et de pourquoi la faire, en particulier sur un plan plus mental qu’hygiénique.

Je la fit s'asseoir tranquillement , il fallait qu'on établissent quelque règle supplémentairement .

"Tu pourras m’arrêter si tu le souhaite , sans avoir a utiliser les mots d'alerte" je préférais rester prudent sur ce coup. J'en profitais pour faire un point sur ce que j’avais lut et prévu , comment, pourquoi etc, et répondre a ses questions.

Elle accepta , je la voyait détendu , bon très bien elle ne panique pas , je lui dit de s’installer sur la couette.

Lui laissant le temps de se préparer mentalement , terminant mes préparatif , je revint a ces coté.

"Es tu prête ?"

"Oui maître."

Je me mit donc à la remplir lentement , redoublant de concentration pour jauger ces réactions .

"Donne moi tes impressions , en allant."

Ce qu'elle fit , rien d'inhabituelle, ce qu'elle me disait correspondait bien a ce que j'avait pu lire.

Je fini donc de vidé mon stock d'eau.

"et maintenant ?"

"Et bien va au toilette"

Elle ne se fit évidement pas prier. je préparé rapidement pour un deuxième passage, ayant convenu que si cela se passait bien , on recommencera une foi.

Elle me vit ouvrir la porte des toilettes. Grande surprise sur son visage, quand après lui avoir demandé si tout allai bien, elle comprit que je n'avait pas l’intention de bouger , mon épaule s’étant calée. sur l'encadrement de la porte.

Je l'observai patiemment , elle se mit a rougir très sérieusement.

"Pourquoi m'observez vous ?"

"Parce-que j'en ai envie" , réponse d'un calme olympien, je restai quelque minute a la regardé , fragile et exposé.

Au bout d'un moment je lui demandé si elle souhaitait retenter l’expérience.

Elle me répondit affirmativement , je partie donc continué la préparation alors qu'elle sortait , et s'installé confortablement sur le sofa.

Lui laissant un peut de répit.

je fini par lui demander si elle était prête.

"Oui maître."

Elle se remit en place , un changement subtile dans ça positon me confirma qu'elle était moins anxieuse. plus cambrai que la première foi , ses fesses bien offertes.

Je recommençai donc l’opération.

Après avoir vidais quelque fois la poire, un fou rire la gagna ... voila ça dernière barrière. Bon je ne m'attendais vraiment pas à la voir a cette instant.

J’arrêtai donc ce que je faisait , retirant lentement l'embout de son anus .

Lui laissant le temps de reprendre ses esprits. Une foi calmé je put finir ce que j’avais entreprit.

Une nouvelle foi je resté à l'observer, assise sur les toilettes, elle était gêné et c’était bien là mon objectif.

Je partie au bout d'un moment. En sortant, elle vint se remettre a genou, à coté de moi pour me réitérer sa demande.

"Oui , je vœu que tu te détende , installe toi confortablement et attends que je te demande autre chose."

Je laissait le temps s’écouler , elle retourna quelque foi se soulager.

Je fini par lui redire le code . "oui maître ?"

"Va t’allonger dans le lit."

Une foi installé, je continuai.

"Relève tes jambes et tiens les." Elle était très excitée à première vu, son entrejambe luisant de ça mouille .

Je lui caressais du doigt le sexe, Pour ensuite le mettre dans son petit trou.

Commençant a la doigté je lui dit:

"Bien on va tester ta résistance."

"Comment ca ?"

"Combien de doigt, penses tu que je puisse mettre?"

"Euh... deux, trois çà passera pas."

Je ne répondit pas . je savais pertinemment pouvoir faire plus puisqu'on l'avait déjà fait ... elle ne s'en était donc pas rendu conte.

Je me mit donc a la doigté , vidant quelque peut le tube de lubrifiant .

Arrivé aux deuxième doigt , juste avant de commençait à mettre le troisième, j'allumai mon téléphone et mit la camera , je le plaçais de sorte qu'elle puisse bien voir ce que je faisais, cette foi tu sauras exactement où l'on en ai.

Je commencé donc avec un troisième doigt, elle était concentré a gérer ça douleur, et en même temps concentrai sur le téléphone. Curieuse ?

Je jouai donc a dilater son orifice , lentement , tranquillement, avançant plus ou moins mes doigts en fonction de ses réactions.

Elle regardait beaucoup moins le téléphone , ce concentrant sur elle même . S'entend de moins en moins de résistance je commencé a mettre un quatrième doigt.

Concentration total de sa part , je ralentissait sérieusement le rythme pour la laisser s'habituer , un de plus que la dernière foi me dit-je.

En allant, je put , mettre une phalange supplémentaire ... une autre, jusqu’à mettre la dernière.

Je sentait une résistante un peut plus forte qu'à l’accoutumé . je n'irai pas plus loin . Je continué donc à, délicatement, me ramené a cette petite résistance , avant de relâcher la pression, appuyant légèrement sur la paroi proche de son vagin , madame eu quelque soubresaut , elle ne si attendait pas et elle aimait ça .

je voyais aux réactions de madame , qu'elle était vraiment très concentré. bougeant a peine quand je mettait mes doigt a bord de cette limite que j’avais identifié. elle résistait au mélange de plaisir et de douleur qui devait l’envahir à ce moment.

Quelque instant plus tard, elle eu un nouveau fou rire.

Ces barrières commençaient lentement à s’effondrer.

Je retiré ma main très délicatement. La laissant finir de rire , je lui caressait de nouveau ça petite chatte.

Je remis mes doigts, pas très longtemps, je voyais sur son visage un petit changement, que j’interprétais comme un "j'en ai assez"

Je la fit donc ce mettre à quatre pattes.

"Cambre toi , et demande moi de te baisé le cul"

Elle s’exécuta immédiatement.

Je me mit donc a la sodomisé sans ménagement.

Elle prenait vraiment son pied , plus que lors d'autre sodomie. Je fini par sentir un liquide chaud coulé sur ma jambe. un pique d’excitation ma submergé a cette instant et je me vidé a mon tour.

"Tu m'as fait jouir , par le cul !" effectivement c’était une première, même avec un certain plaisir on en était jamais arrivé la.

On s’installa quelque minute le temps de reprendre des forces. Elle me dit ne plus sentir ses jambes .

C'est l'heure de la pause, il allai être 17h , et elle me redemanda ce que je voulait.

"Repose toi , reprends des forces , nous attendrons ce soir. N'oublie pas de me faire ta demande toute les heures ."

"mmmh pourquoi ? Si nous ne faisons rien d'autre ?". Je laissait passé cette petite entorse aux : parce-que je te le demande, et lui fit remarqué que je pouvait simplement lui demander un café ou autre.

La pause c'est bien déroulé, je lui ai demandé divers chose, dont le fameux café.

20h... une nouvelle foi à mes genoux , je lui dit de se mettre dans le sofa , je lui tendais mon téléphone que j'avais mit sur la vidéo prise précédemment.

"Comme tu as eu l'air curieuse et que tu en as raté une partie, regarde la vidéo."

Je la laissé là, j’avais des préparatif a faire.

Arrivé dans la chambre , je prit la table basse , mit un pouf dessus.

Mit des cordes , afin de la mettre son ventre sur le pouf, genoux posé d'un coté sur la table d'un coté et mains de l'autre, de bien restreindre ses déplacements et d'avoir ces fesses a ma hauteur.

J'ajoutai l'un de ces "micro" vibrant, solidement fixé sur le pouf. Il allait être pile au bon endroit.

Préparatif achevé , je suis redescendu , elle avait fini la vidéo.

"soumise"

"suis moi" , on monta à l’étage.

Quand elle vit ce que j’avait préparé , une curieuse expression traversa son visage , elle se demandé sérieusement si elle allai tenir le choc. Nous avions déjà utilisé cette position mais pas après une tel journée.

"Déshabilles toi" , je lui mit ensuite des bracelet aux chevilles et aux poignées .

"Installes toi" , je la fixais solidement, elle ne pourra pas bouger , mais sera très facile a libérer. Après quelque petit réglage, tout était prêt.

Je me mit face à elle , redressant ça tète en la prenant par les cheveux, je mit mon sexe dans ça bouche. M’enfonçant et ressortant lentement dans ça gorge. après quelque instant je repartie derrière elle. mettant mon doigt entre ses lèvre , sur le peut dont j'avait axé, le micro prenant quasiment tout la place.

Je mit ensuite mon doigt a l'entré de son cul et mit le micro en marche, puissance faible ... mon doigt s’inséra dans son cul, commençant à le préparer. rapidement je retournai lui prendre la gorge , je me suis ainsi lubrifié de sa salive, laissant ensuite sa tète ce reposer sur le pouf.

Une claque sur les fesses , j'augmentai la puissance des vibrations.

Je me mit délicatement , en place dans son cul.

Je l'enculais de nouveau, lentement .

Je coupé le micro quand le plaisir montait plus que nécessaire , et mes coups de rein furent plus violant remettant en place une petite dose de douleur, de nouveau je remettais en marche son outil de torture, ralentissant mes va et viens . J’intervertissais comme cela quelque fois.

Madame commençait a perdre la tète.

Très bien , j'augmentait une nouvelle foi la puissance des vibrations , mais à partir de cet instant , je la prenais sans ménagement.

Elle trouva la force de dire " je suis vide" , je comprit qu'elle était en trin de jouir mais que cette foi elle n'allai rien trempé , pas étonnant vu la journée.

je redoublait donc d'effort, quelque instant plus tard , elle se mit de nouveau à rire .

Un peut différent cette foi, je n'est même pas eu le temps de réagir , quel c’était arrêter d'elle même.

Quelque instant plus tard je me stoppais , avait elle baissé les armes ?

Me nettoyant rapidement avec les lingette, toujours proche dans ce genre d'activité, elle reprenait son souffle , je lui enlevé les menottes rapidement , l'aidant a se relevé je la dirigeai ver le lit, pour l'y allonger, elle ne devait plus sentir ses jambes, je l'aidais un peut. Elle n'avait rien dit depuis son petit commentaire sur l’état de son sexe.

Elle haletai sérieusement. je mit mon gland sur son clitoris, le frottant légèrement , elle était extrêmement sensible, je vit sur son visage qu'elle se perdait.

Je la pénétrai doucement , je confirmai mon impression , elle était en train de partir très loin.

je me penchai plus sur elle l'enserrant dans mes bras , et cette foi , oubliant mon poste de dominant , je lui fit l'amour tendrement.

J'était vraiment très excitai, elle c’était abandonnée a moi, et au bout de quelque va et viens , je me vidé une dernière foi, pour cette journée.

je me suis retiré , me mettant sur son coté. Je me mit a joué du bout des doigt sur ça peau la caressant doucement, aucune réaction, je continuai donc, tout aussi doucement elle reprit ses esprits. Quelques minutes plus tard , je l'invitai à se lever , je dut très sérieusement la soutenir, elle était vide d’énergie . Nous dirigeant vers la salle de bain, je l'ai assise dans la baignoire.

L'eau chaude ce mit a coulé sur ça peau, d'abords sur ces mains, qui étaient posé sur le fond de la baignoire, remontant jusqu’à ces épaules , pour ruisseler sur son dos et entre ses seins. La rappelant un peut plus à la réalité , je prit l’éponge et entreprit de laver son corps, tendrement.

L'eau commencer a monter et elle se mit contre mon torse , nous somme restés là un petit moment profitant de cette instant.