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La Punition

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En terminant mon dessert, la tête me tourne.
Je ne puis dire si c’est de vin dont je suis ivre, ou si ce sont ses paroles qui me saoulent de plaisir et d’envie.
Depuis une heure maintenant, il m’entrouvre les portes d’un monde de plaisirs, de luxure et d’envies. De discipline et de douleur aussi. Et j’ai envie d’y plonger. De m’y noyer.
Qu’il fasse de moi sa soumise, son esclave, sa chienne s’il le veut.
Ma décision est prise.
Elle l’était déjà en partie au terme de huit semaines d’échanges épistolaires, de journées à guetter ses messages, comme une gamine le Père Noël, de soirées de plaisirs solitaires à lire et relire encore sa prose perverse mais qui sait si bien allumer le feu dans mon ventre.
Ivre de vin, de paroles et d’images, je n’aspire plus qu’à une chose : être sienne.

Mais soudain un doute m’assaille : voudra-t-il de moi ?
Il a été très clair : il ne cherche pas un coup d’un soir et sait précisément ce qu’il veut.
Serais-je à la hauteur ?
Ne va-t-il pas me trouver trop … inexpérimentée ?
Oh bien sûr, tout cela n’est pas totalement nouveau pour moi.
Mais mes petits jeux font bien pâle figure à côté de ce qu’il semble attendre de moi.
Serais-je seulement à la hauteur ?

- « Julie ? Julie ? Tu es avec moi ? A quoi penses-tu ».

D’un geste de la main, j’élude la question. Bien sûr que je serai à la hauteur. J’apprendrai.
Il réitère sa question, je lui fais part de mes doutes. Il sourit. Approche son visage du mien, et dans un souffle …

- « Que veux-tu petite Julie ? ».

- « Etre vôtre ».

Ma voix est mal assurée et je m’en veux.
Il m’impressionne en fait.

- « Ca manque un peu d’intimité … allons-nous-en ».

Je me rajuste tant bien que mal et récupère discrètement mon string que je fourre dans mon sac.
Il règle et nous quittons le restaurant sous le regard professionnel du Maître d’hôtel et envieux du petit serveur.
Dehors, il fait déjà bien noir. La nuit est délicieuse, douce et câline.
Une légère brise caresse mes jambes.
S’immisce sous ma robe et vient au passage lécher mon sexe dénudé.
Les petits picotements, encore.
Il m’offre son bras et nous nous éloignons vers le parc.
Nous discutons de choses et d’autres lorsqu’il avise un banc.

Il s’y assied mais au moment où je fais mine de faire de même, il me demande d’une voix douce de m’agenouiller devant lui.
Le parc est désert, baigné par le clair de lune.
Je m’exécute. La rudesse du sol est atténuée par l’herbe fraichement coupée.

- « Répète-moi ce que tu m’as dit là-bas … Que veux-tu Julie ? »

- « Etre vôtre ».

Cette fois ma voix n’a pas flanché. Elle est claire et limpide.

- « Tu sais ce que ça implique » ?

- « Je le sais ».

- « Veux-tu être ma muse Julie ? Mon amante, ma sœur, mon ange, ma tentatrice, mon exutoire, mon repos ? Veux-tu être tout ça » ?

- « Je le veux ».

- « Veux-tu être ma Chienne, ma Salope, ma Putain ?

- « Je le veux ».

- « Dis-le alors ».

- « Je veux-être votre chienne, votre salope, votre putain ».

Ma voix est d’une clarté cristalline. Les mots coulent tout seul, sans la moindre hésitation.

- « Relève ta jupe et accroupis-toi juste là ».

Il écarte les genoux et je m’exécute.
Relevant ma robe jusqu’à la taille, je m’accroupis juste devant lui, assis sur son banc.

- « Caresse-toi ».

- « Donne-moi ta queue ».

Schlack !
La gifle a fusé sans que je m’y attende. Pas bien méchante, une petite gifle presque symbolique qui m’excite plus qu’elle ne me freine.

- « C’est moi qui décide maintenant. Et ne me tutoie pas sans que je t’y autorise. Caresse-toi maintenant ».

Ma main glisse vers mon entre-jambe et s’exécute.
Elle joue avec mes chairs, joue avec mon bouton magique …

- « C’est bien. Introduis-toi deux doigts. Et continue ».

Mes doigts s’immiscent au plus profond de ma féminité et commencent leur travail de sape. Je suis trempée.

- « Répète maintenant ce que tu m’as dit tout à l’heure ».

- « Je serai votre chienne. Votre putain. Votre salope ».

Il se déboutonne et sort son sexe. Je ne peux retenir un gloussement à la vue de l’engin, qui dresse sa taille respectable droit vers les étoiles.
Je m’approche …
Entrouvre les lèvres.
M’arrête à quelques millimètres.
Je veux que mon souffle tiède se mêle à la brise fraîche, qu’il le sente et que ça affole son gland.
J’y pose mes lèvres, toujours entr’ouvertes, le laisse entrer d’un à deux centimètres à peine et darde ma langue raidie sur son méat.
Je relâche la tension dans ma bouche et le laisse entrer tout doucement.
Il doit bien falloir une trentaine de secondes pour que le gland disparaisse derrière mes lèvres.
Mes doigts sont toujours en moi.
De mon autre main, je guide son sexe plus loin dans ma bouche.
Le retire.
Commence mon va-et-vient avec une infinie lenteur.
Son membre est dur comme la pierre, je le ressors pour l’admirer.
Couvert de salive, il luit sous les étoiles, magnifique.

- « Relève-toi, vite !!! ».

Je bondis, il m’attrape et m’assied d’autorité sur ses genoux, m’enserrant de ses bras.

- « Ne bouge plus ! ».

J’entends des gens parler. Vingt mètres plus loin, un couple se dirige vers nous. Mon cœur bat la chamade. Ma robe est encore toute troussée, je suis assise sur lui les fesses à l’air tandis qu’il tente de dissimuler ma nudité de ses bras tout en rajustant tant bien que mal ma robe.
Je sens son sexe tendu sous mes fesses.
Nous restons immobiles, le couple qui passe devant nous doit nous prendre pour des amoureux enlacés sur ce banc.
Et moi, j’en profite pour enfouir mon visage dans ses cheveux.
Le couple s’éloigne, il me murmure à l’oreille :

- « Tu vois ce que tu me fais faire petite cochonne. Tu n’as pas honte » ?

Je pouffe de rire dans son cou.
Une fois le couple hors de vue, il me relève sans ménagement, me tire par le bras vers l’arrière du banc et attrape une paire de menotte dans un étui fixé à sa ceinture.
Il m’attache au banc et me voici, accoudée et menottée au dossier, cul en arrière et les fesses à l’air.
Il se bat avec un préservatif puis m’empale sans ménagement.
Ce pieu qui écarte mes chairs est presqu’un soulagement après près de quatre heures de flirt avec les limites de l’orgasme.
Accroché à mes hanches, il me prend de manière presque mécanique, comme un animal. Juste un va-et-vient de plus en plus rapide, comme si seul comptait de mener à terme cet accouplement aussi bestial que clandestin.
Mais déjà, le plaisir m’envahit.
Je jouis en silence, les dents serrées pour ne pas faire de bruit.
Il ne jouit qu’un peu plus tard.
Me détache.
Je me rajuste une dernière fois et nous nous éloignons tous les deux, sans rien dire.
Il me raccompagne jusqu’à un taxi, m’embrasse tendrement avant de m’y laisser.

- « C’est moi qui te contacterai. Tu m’appartiens désormais ».

Dans le taxi, l’excitation retombée, la réalité me rattrape, implacable.
Je prends toute la mesure de mon inconséquence.
J’ai trompé Bernard.
Pire, j’ai pour ainsi dire pactisé avec le diable.
Je vais devoir mentir à mon homme.
Mon Dieu, faites qu’il soit déjà endormi quand j’arrive.
L’euphorie que suscite en moi les perspectives de cette liaison hors norme se dilue progressivement dans un océan de doutes et de culpabilité.
Comment vais-je bien pouvoir gérer tout ça.
Comment ai-je pu faire ça à Bernard ?
La boule grandit dans ma poitrine tandis qu’une larme coule sur ma joue.

 
Posté : 10 mars 2021 09:51
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Bruxelles, 1993

Je ne veux plus jamais aller à Amboise.
C’étaient les vacances les plus horribles de ma vie.
Elle est foutue d’ailleurs, ma vie.
Je sais maintenant pourquoi Pierre ne m’aime pas : il est beaucoup trop bien pour moi.
Il est beau, grand, gentil, rigolo … il peut avoir toutes les filles qu’il veut.
Qu’est-ce qu’il en a à faire d’une fille comme moi ?
Je suis petite et moche. J’ai des boutons.
Peut-être aussi qu’il me trouve trop grosse.
Maman dit que je ne mange pas assez et qu’on voit mes côtes.
Elle peut bien parler elle, on ne risque pas de voir les siennes …

J’en suis certaine maintenant : tout ça, c’est ma faute.
J’ai décidé de manger beaucoup moins.
L’autre jour, j’ai voulu me punir d’avoir été si nulle.
J’ai pris un couteau et j’ai tracé des lignes sur l’intérieur de mon avant-bras gauche.
Ca n’a même pas fait mal. Ca a juste piqué un peu.
Mais le soir, dans mon lit, j’étais bien, parce que le picotement me faisait penser à Pierre.
Je l’ai fait pour lui.
Enfin, surtout pour me punir de ne pas être assez bien pour lui.

Au matin pourtant, je ne sentais plus rien.
Alors aujourd’hui, j’ai décidé de montrer à quel point je l’aime et à quel point je m’en veux.
Et je suis là, avec le couteau, à tracer un « P » sur mon avant-bras.
Plus profond que la première fois.
Ca saigne un peu, mais ça ne fait pas fort mal.
Moins que ce que je pensais en tous cas.
Le « P » n’est pas terrible, je l’ai fait assez grand mais il ressemble plus à un de ces caractères égyptiens qu’à un beau P.
C’est pas grave, on voit quand même bien que c’est un P.
Pour que la punition fonctionne, il faudra que ça fasse mal.
Sinon ce n’est pas une punition.
Alors j’ai récupéré une boite d’allumettes et j’ai gratté tout le souffre, que j’ai bien écrasé en une fine poudre avec un pilon dans un bol.

J’ai disposé la poudre en une fine ligne sur le P, tout le long, en veillant bien à ce qu’il n’y ait aucune interruption.
C’est un garçon a l’école qui m’a expliqué comment faire.
J’espère que ça marchera, parce que par endroits la poudre jaune des allumettes est rougie à cause du sang.
A ces endroits-là, j’en mets un peu plus.

Faut pas que je bouge mon bras.
J’ai gardé quelques allumettes pour allumer le P.
J’ai bien pensé à tout, j’ai écrasé la boite vide et je l’ai collée sur mon bureau avec du scotch, pour qu’elle ne bouge pas quand j’y gratterai l’allumette.

Je suis prête.
J’ai l’allumette en main mais je n’ose pas la frotter.
Allez, idiote, comment veux-tu intéresser quelqu’un comme Pierre si tu n’es même pas capable d’allumer une allumette !!!
Je la craque et je l’approche de la poudre sur mon bras.

J’ose pas.
Elle s’éteint.
Heureusement, j’en ai préparées quelques-unes au cas où …
J’en rallume une.
L’approche de mon avant-bras.
Je regarde la flamme, fascinée.
Je peux le faire.
Pierre mon Amour …

Tout s’enflamme dans une lumière aveuglante, dans un « ppssssccht » assourdissant.
Je suis si surprise par la flamme et l’intensité que je tombe de ma chaise.
Je hurle de douleur.
Mon bras ! Mon bras !
Un milliard de morsures.
C’est horrible.
Maman … Mamaaaan …
Je reste prostrée au sol, le bras plaqué contre mon ventre.
Ca sent horriblement mauvais, l’odeur des allumettes en même temps que l’odeur de quand Maman cuit les lardons.
Et ça fait horriblement mal.
J’ai envie de vomir.
J’ai mal, mal, mal.
Pitié, faites que ça s’arrête.
Faites que ça s’arrête.

 
Posté : 23 mars 2021 18:18
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Vous avez un nouveau message ...

From : Seagull@hotmail.XX
To : Julie.XXX@live.com
26 mai 2008 à 09:52
Objet : Confirmation

Chère Julie,
Je tenais particulièrement à te remercier pour la soirée exquise passé hier soir en ta compagnie.
Dire que je suis sous le charme serait somme toute bien loin de la vérité.
Je serais donc heureux de te servir de guide pour ce voyage exploratoire qui, j’en suis sûr, ne manquera pas de nous faire découvrir à tous deux de nouveaux rivages.
Mes premières directives sont les suivantes :
Je veux que dès maintenant tu te choisisses un safe word et que tu m’en fasses part.
Quelles que soient les circonstances, lorsque tu le prononceras, le jeu s’arrêtera et ne reprendra qu’après une courte concertation commune.
Il sert avant tout à te protéger toi mais ne devra être prononcé que lorsque tu t'estimeras sur le point de franchir les limites que tu t’es toi-même imposées.
Je te demande également de me faire un court compte-rendu de la soirée d’hier.
Sois concise mais créative, et surtout franche.
Enfin, je veux que dès aujourd’hui, tu me tiennes systématiquement au courant des orgasmes que tu ne manqueras pas d’avoir en mon absence.
Je veux savoir quand, comment et avec qui tu jouis.

V.
PS : il me tarde de me perdre à nouveau dans ta bouche douce et tiède. La soirée d’hier m’a laissé un goût de trop peu …

______________________________​___________________________

From : Julie.XXX@live.com
To : Seagull@hotmail.XX
26 Mai 2008 à 10:28
Objet : RE : Confirmation

Cher V.,
Je ne vous cache pas que j’ai eu bien du mal à trouver le sommeil.
Tout mon être aspire à s’en remettre à vous.
Sachez aussi que j’ai encore des doutes, des questions, des angoisses même …
Bien que très déterminée, je ne suis pas sûre d’être à la hauteur.
Je m’interroge en particulier sur la manière de gérer notre relation, de la concilier avec ma vie sociale et familiale … sur la façon dont vous envisagez de « m’éduquer » (c’est bien le terme que vous utilisiez lors de nos échanges, n’est-ce pas ?) …
Tout pose question :
Comment devrais-je dorénavant vous appeler ?
Serais-je assez forte ?
Jusqu’ou irons-nous ?
Comment distinguer le « jeu » (ce sont vos mots) de la réalité ?
A mes yeux d’ailleurs, il ne s’agit pas d’un simple jeu. C’est probablement pour ça que je me pose tant de questions.
Je ne veux pas de votre safe word. Je veux être à vous, totalement, entièrement, sans limite.

Quant à la soirée d’hier, puisque vous me demandez d’être concise …
J’ai adoré pouvoir m’en remettre à vous. C’est particulièrement « confortable » de pouvoir se dédouaner de la responsabilité de ses actes sur le compte d’un autre. Je n’aurais jamais osé me livrer, de ma propre initiative, au quart, au dixième de ce que nous avons fait. Je me suis comportée comme une véritable dévergondée, sans avoir à en porter la responsabilité, et ça me plait beaucoup.
Je commence dès lors à entrevoir tout le potentiel de ce que vous appelez « ce jeu », même si pour moi ce n’en est pas un.
J’ai adoré aussi la façon dont vous m’avez protégée sur ce banc.
Je me suis sentie en sécurité, malgré le risque insensé que vous nous avez fait courir.
J’ai par contre détesté le sentiment de culpabilité qui s’est emparé de moi dans le taxi.
Cela fait deux ans maintenant que Bernard et moi nous sommes éloignés l’un de l’autre au point de ne plus partager grand-chose, mais hier tout comme aujourd’hui je me sens tout simplement … adultère.
Votre Julie
______________________________​___________________________

From : Seagull@hotmail.XX
To : Julie.XXX@live.com
26 mai 2008 à 12:13
Objet : RE : RE : Confirmation

Julie,

Je conçois parfaitement que certains de mes souhaits ou l’une ou l’autre de mes demandes puissent prêter à interprétation.
Cependant, lorsque j’édicte des directives (c’est le terme exact que j’ai utilisé), j’entends qu’elles soient respectées.
A fortiori si la phrase commence par « je veux ».
Tu vas donc te choisir un safe-word dont tu me feras part à notre prochaine rencontre.
Ce n’est tout simplement pas discutable.
Nous avons tous nos limites, toi comme les autres, j'en ai d'ailleurs moi aussi et sois certaine que je t’amènerai à les approcher de très près.
Libre à toi de les transgresser ou de les repousser, mais cette responsabilité t’appartient à toi seule. C’est la raison d’être de ce mot de sécurité.

Tes inquiétudes quant à ton couple sont plus que légitimes. Tu semblais avoir fait le point là-dessus bien avant-hier soir, il n’appartient qu’à toi de décider. Je ne te demande rien à ce propos, ni dans un sens, ni dans l’autre. Quelle que soit ta décision, elle n’appartient qu’à toi et je la respecterai. Que tu décides de vivre cette liaison au grand jour ou dans la clandestinité. Dans les deux cas, il te faudra être forte, mais pas pour les mêmes raisons.
Tu sais que quelle que soit ta décision, je te soutiendrai du mieux que je peux.

Ceci dit, lorsque tu te qualifies de « dévergondée », il me semble que tu es bien clémente envers toi-même. Chère Julie, tu t’es tout simplement comportée comme une catin, ne viens pas nier l’évidence. Je ne serais d’ailleurs pas le moins du monde étonné que ce mot éveille en toi quelque chose.

Ceci m’amène d’ailleurs à ma deuxième série de directives.
Je me donne trois à six mois pour parfaire ton éducation.
Lorsque je t’en estimerai digne, et si tu t’en remets toujours à moi, je ferai de toi Ma Soumise en te posant officiellement ton collier.
D’ici là, tu resteras une « novice ».
Tu ne prononceras plus ton prénom en ma présence, tu ne l’utiliseras plus non plus dans notre correspondance. Je serai le seul à pouvoir l’utiliser.
Tu m’appelleras « Monsieur ».
Bienvenue dans mon monde ma Chère Julie.
Je te verrai demain 18h au dernier étage du parking Rogier.
V.

 
Posté : 23 mars 2021 23:36
intime_photographie
(@intime_photographie)
Posts: 1069
Noble Admin
 

Un passage dur... Réaliste... Et une correspondance intime !!

 
Posté : 27 mars 2021 12:42
(@carole13)
Posts: 1
Tout juste arrivé(e) à bord Registered
 

Bonjour,

 

Je suis Carole, une nouvelle sur le forum :) J'adore cette annonce et le récit m'a l'air vraiment pas mal. 

 
Posté : 29 août 2022 10:10
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